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    Le Géant égoïste
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    129 critiques spectateurs

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    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    138 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2014
    Le destin de ces deux gamins résonnera pour un temps dans ma mémoire mais dieu que c'est triste.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 décembre 2013
    Du cinéma social d'auteur à l’anglaise avec tous ses clichés. Quelques bon éléments ici et là se viennent pas sauver ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 décembre 2013
    Sans aucune fioritures ni édulcorants, Le Géant égoïste nous fouette le visage sans prévenir avec toute l'amertume d'une Angleterre ouvrière et misérable. Clio Barnard nous dresse un tableau d'un réalisme saisissant. Un film aussi immersif que bouleversant. à aller voir sans hésiter !
    andreasy
    andreasy

    6 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2014
    C'est ce genre de films qui me donne encore envie de m'intéresser au cinéma. Un film percutant, bien filmé avec des acteurs remarquables, de très belles images et un scénario poignant.
    Un film qui dérangera ceux qui veulent penser que cette misère sociale n'existe pas, ils auront toujours
    beau jeu pour argumenter d'épingler certaines invraisemblances (et il y en a) mais ces invraisemblances sont compensées dans la réalité par le fait que 1000 autres misères semblables existent réellement dans nos sociétés. Qui donc se préoccupe des enfants de drogués, de délinquants, de détraqués sexuels qui vivent (ou plutôt survivent) dans certaines banlieues où rentrer chez soi après l'école est un enfer ? (on me dira bien sûr que j'exagère en agitant le cliché des banlieues).
    Oui, un film qui dérangera à coup sûr ceux qui pensent que le summum de la misère chez nous, pour un enfant, c'est de recevoir une fessée et qui s'agitent pour l'interdire, croyant sortir ainsi l'enfance de la pire des violences.
    La pire des violences pour un enfant, c'est de le laisser faire à peu près ce qu'il veut comme c'est le cas dans ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 février 2014
    En sortant de la salle d'ou je ne me suis pas attardé j'ai pensé que c'était un film à voir sur Arté en fin de soirée au coeur d'un hiver froid et rigoureux et encore...
    A proscrire si l'on est deprimé; Plutôt fan du cinéma anglais et de celui qui depeint la vie "pas toujours facile" des basses classes sociales, j'ai là été très deçu par une histoire, un contexte et des personnages dont on peine vraiment à s'interresser.
    Paumés nous sommes dans un quart-monde anachronique et humide ou mine de rien y'a du blé à se faire dans la recup' et la feraille (mais on s'en fout il fait froid, rien n'est beau, rentrons nous rechauffer)
    Par ailleurs, le personnage principal du film est un jeune garçon prepubère et violent, il pèse 12 grammes et est au moins aussi charismatique qu'un David Cameron en short.

    Bref, je n'ai pas aimé ce film, il ne suffit pas de filmer la misère pour qu'elle soit belle.
    Richard L.
    Richard L.

    15 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 décembre 2013
    Le géant égoïste ce doit être le producteur de ce film digne d'une série de télé-réalité sur la vie du lumpen prolétariat anglais, c'est long comme un jour sans fin. Je me suis rarement aussi ennuyé, heureusement que je suis abonné car dans le cas contraire j'aurais aussi regretté mes 9,50 euros.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 149 abonnés 5 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2015
    Terrible drame humain. Un sacré coup de poing. On est dans la lignée du film social de Ken Loach et j'aurais du mal à différencier les deux réalisateurs. Mais ici ceux qui essaient de sauver cet enfant ne le peuvent pas contre lui-même. Il faudra ce choc avec un retour en arrière impossible pour lui faire prendre conscience de son état sauvage. Assez dur avec une fin très belle empreinte de regrets
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2020
    Une chronique sociale touchante qui lorgne chez Ken Loach, portée par un tandem de comédiens attachants.
    velocio
    velocio

    1 303 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 décembre 2013
    Il y a 3 ans, la réalisatrice britannique Clio Barnard s'était fait connaître avec "The Arbor", un documentaire consacré à Andrea Dunbar, une dramaturge originaire de Bradford, dans le Yorkshire, film présenté et récompensé dans de nombreux festivals mais jamais sorti en salle dans notre pays. C'est dans cette même région de Bradford, dont elle est originaire, que Clio Barnard est allée tourner "Le géant égoïste", son premier véritable long métrage de fiction, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes 2013 et primé au Festival de Film Britannique de Dinard 2013 ainsi qu'au Festival des jeunes réalisateurs de Saint-Jean de Luz 2013. Dans ce film, Clio Barnard n'hésite pas à nous montrer une image de l'Angleterre du Nord contemporaine digne de Dickens, ce qui, malheureusement, n'est pas totalement faux. A côté de "Le Géant égoïste", les films de Ken Loach, même les plus durs, font presque figures de bluettes sentimentales. Cela étant, il manque encore quelque chose à cette jeune réalisatrice pour qu'on puisse la ranger au même niveau que celui qui, manifestement, est un modèle pour elle.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 novembre 2013
    Un chef d'œuvre de mise en scène. Ce premier film annonce une réalisatrice digne des Ken Loach ou Frears. Si le propos est profondément dramatique, la part d'enfance offre une bouffée d'air pur à la manière d'un conte.
    Hastur64
    Hastur64

    223 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2015
    Avec “Le géant égoïste” Clio Barnard nous offre un film qui n’est pas sans rappeler Ken Loach : même réalisme social, même regard tendre porté sur les classes les plus défavorisées de Grand-Bretagne, même personnages en lutte contre leur réalité et même humanisme dans l’intrigue du long-métrage. Ici, en adaptant un conte d’Oscar Wilde, la réalisatrice nous évoque les ratés du système éducatif, l’impuissance des parents face à des enfants un peu hors-normes, les petits trafics, l’amitié… Le film, bien que souvent un peu âpre, ne fait pas dans le misérabilisme, et ce, grâce à l’amitié entre ces deux garçons qui cherchent, souvent de façon différente, à s’en sortir. Entre les deux vient se dresser Kitten, propriétaire de casse, trafiquant de métaux, propriétaire de chevaux qui n’hésite pas à exploiter des enfants pour se remplir les poches. Les deux amis vont lui taper dans l’œil pour des raisons différentes et se retrouver alors en conflit. Le film doit beaucoup à l’interprétation des deux jeunes garçons et particulièrement à celle de Coner Chapman qui nous offre un Arbor en guerre contre le monde, mais en même temps plein d’amour pour sa mère et pour son pote, même s’il est parfois injuste voire violent avec eux. Le film m’a évoqué “Sweet sixteen” de Ken loach avec qui il partage cette figure de jeune garçon inadapté à la société, mais qui sous des dehors rebelles cache un besoin de compréhension et d’amour. Un beau premier film plein de force qui appelle à une surveillance de la carrière de cette jeune réalisatrice prometteuse.
    orlandolove
    orlandolove

    135 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2014
    Un film social âpre qui s'il n'apporte pas grand chose de nouveau au genre fait preuve d'un vrai densité scénaristique. Les jeunes acteurs sont épatants.
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2014
    Film misérabiliste. Trop? Limite. C'est du Ken Loach à la puissance Ken Loach..... Disons que la jeune réalisatrice, Clio Barnard, reprend avec brio cette tradition de cinéma anglais social. Et le résultat est poignant, mais beau aussi. Elle sait faire naitre la beauté d'une ligne d'horizon engrisée sur laquelle se détachent des silhouettes de chevaux...

    Nord de l'Angleterre. Un paysage lugubre, animé seulement par les gigantesques tours de refroidissement de centrales. On est chez les prolos de chez prolos. Personne ne travaille. On vend le canapé (pas fini de payer) pour rétablir l'électricité. Deux enfants, deux amis. Arbor (Conner Chapman, For-mi-da-ble!) vit avec sa mère et son frère junky. Il est caractériel -hyperactif serait un mot faible.... Malgré ses médicaments, il pique des crises de rage; à l'école il insulte les professeurs. C'est un peu l'âme damnée de son inséparable Swifty (Shaun Thomas). La famille de Swifty est d'origine gitane, alors on se moque de lui. On dit qu'il pue. (A noter que le rôle de sa mère, légèrement débile, est interprété par une des actrices de Downtown Abbey, Siobhan Finneran

    A la suite de la bagarre de trop, les deux enfants sont exclus du collège. Arbor s'en réjouit, car il va pouvoir faire ce qui l'amuse le plus et, qui d'après lui, rapportera de la thune (qu'il donnera à sa mère, c'est un bon fils!): ferrailler. Les deux enfants apportent leurs trouvailles à un ferrailleur, Kitten (Sean Gilder).

    La collecte des objets se fait en carriole à cheval. Et Kitten a une passion: les trotteurs, et les courses clandestines qu'on organise sur des routes, bloquées par une rangée de voitures qui suivent (de dangereusement près....) les concurrents, et les encouragent. Il y a pas mal d'argent en jeu sur ces paris. Et Swifty a un vrai don avec les chevaux.... Avec Diesel, le trotteur de Kitten, il a tout de suite su y faire.

    Mais ce qui rapporte vraiment, c'est le cuivre des conducteurs électriques, en particulier celui des chemins de fer. Il faut faire cramer l'isolant, qui est marqué, pour récupérer cette matière première inestimable.... Il y a aussi les lignes de transport d'électricité, qui restent peut être sous tension même si la centrale a fermé. Donc, il y a danger. Et Kitten le sait.

    Il y a là tous les éléments d'un drame. Que vous découvrirez, grâce au Festival Télérama.... Mais, les figures de ces deux enfants paumés, perdus au milieu d'adultes démissionnaires, ces enfants foutus avant d'avoir connu la vie sont inoubliables, et leurs deux jeunes acteurs, exceptionnels.

    Décidemment, le cinéma anglais continue à faire bien ce qu'il sait bien faire....
    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2013
    Finalement, Le géant égoïste finit sur la longueur par plaire. Conner Chapman parvient à dépasser Ken Loach auquel on peut penser par la vision sinistre et pessimiste de l'Angleterre. La cinéaste ajoute une touche naturaliste en montrant l'univers de la ferraille, rarement usitée au cinéma, les débrouillardises multiples des personnages, les limites avec les lois ... Elle ajoute aussi une petite touche poétique et puis cette forte amitié entre les deux pré ados touchent quelque peu. Conner Chapman est exceptionnel, une vraie révélation, une boule de nerf exacerbée dans une famille qui part en capilotade. La mise en scène est bien (superbe photo). Mais le film a ses limites, le scénario est vraiment faiblard et tourne en rond, les surprises sont rares mais au moins Chapman ne recule pas à montrer la violence et ne juge pas trop ses personnages. Mais la critique semble bien trop gentille envers ce film surestimé mais loin d'être désagréable à voir.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    68 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 novembre 2014
    Un film sans idées qui manque de finesse et marche sur des sentiers battus et rebattus. Clio Barnard met en scène un film social dans la plus pure tradition britannique. Cité glauque, enfants perdus et puis tout dérape... C'est vu et revu et n'arrive pas à la cheville du splendide Sweet sixteen, tout simplement parce que l'écriture manque de punch, l'histoire est cousu de fil blanc et les personnages sont superficiels et caricaturaux. Il manque un quelque chose au film pour lui donner une dimension supplémentaire au tout venant britannique du genre qu'on est habitué à voir. La splendide photo et la lumière absolument superbe n'y changeront rien, on se fout de ce qui arrive aux deux héros. Dommage.
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