Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Critikat.com
par Ursula Michel
Sans jamais forcer le trait par une mise en scène ostentatoire ou démonstrative, Marcela Said choisit l’esquisse plutôt que le portrait.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Flirtant avec le fantastique, l’écologie et le suspense, cette première fiction de la documentariste Marcela Said captive avec ses atmosphères entre chien et loup, ses dialogues coupants, ses personnages énigmatiques souvent à double fond.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Sandrine Marques
Un arrogant propriétaire terrien (...) s'attire la colère des Indiens Mapuche qui vivent sur son domaine. Le même été, sa fille fait un douloureux apprentissage amoureux. En filigrane, apparaît le fantôme de la dictature de Pinochet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Angèle Essahli
Sensoriel et nébuleux, la beauté plastique de “L'Été des poissons volants” prend le pas sur un récit inégal, où une sourde tension habilement distillée, à regret, disparaît.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Beau film d’ambiance chilien, où la nature s’immisce dans le conflit larvé entre deux communautés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
A tous égards, Marcela Said a réalisé un film de matières et d’essences, dont la consistance varie du très dense au très volatil. Elle s’absorbe avec grâce dans un paysage si étrange et beau qu’il nous porte aux confins de mondes imaginaires.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Avec un vrai sens du hors-champ et du cadre utilisés comme élément fantastique, la cinéaste compose un puzzle mental qui se déploie lentement, pièce après pièce, pour mieux nous faire ressentir la violence sociale et politique d'un pays où les riches propriétaires terrains se croient toujours au-dessus des lois.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Avec ses airs de western écologique, le film dévoile une quantité de visions fortes flirtant avec le fantastique.
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Pour autant, la cinéaste maintient in extremis l’ensemble sous tension, par son indéniable élégance formelle et une maîtrise savante du hors-champ.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Refusant de livrer les clés de son premier film, Marcela Said signe un objet métaphorique souvent somptueux sur le plan visuel, mais un brin nébuleux dans sa définition des personnages. Un peu plus de poésie et moins de théorie en auraient fait une œuvre majeure.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Nicolas Bauche
Un film éthéré qui n'existe, au fond, que par Alexander Zekke, son compositeur démiurge de la double croche. Le film dilue plus qu'il ne laisse respirer; camoufle plutôt qu'il ne fait sentir ou deviner. Bref, c'est un jeu de cache-cache avec le cinéma que la musique de Zekke emplie de sens et d'une musicalité fascinante.
Télérama
par Frédéric Strauss
Avec une mise en scène fondée sur les silences et les vides, la jeune réalisatrice Marcela Said signe un film trop secret et un peu prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Sans jamais forcer le trait par une mise en scène ostentatoire ou démonstrative, Marcela Said choisit l’esquisse plutôt que le portrait.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
Flirtant avec le fantastique, l’écologie et le suspense, cette première fiction de la documentariste Marcela Said captive avec ses atmosphères entre chien et loup, ses dialogues coupants, ses personnages énigmatiques souvent à double fond.
Le Monde
Un arrogant propriétaire terrien (...) s'attire la colère des Indiens Mapuche qui vivent sur son domaine. Le même été, sa fille fait un douloureux apprentissage amoureux. En filigrane, apparaît le fantôme de la dictature de Pinochet.
Les Fiches du Cinéma
Sensoriel et nébuleux, la beauté plastique de “L'Été des poissons volants” prend le pas sur un récit inégal, où une sourde tension habilement distillée, à regret, disparaît.
Les Inrockuptibles
Beau film d’ambiance chilien, où la nature s’immisce dans le conflit larvé entre deux communautés.
Libération
A tous égards, Marcela Said a réalisé un film de matières et d’essences, dont la consistance varie du très dense au très volatil. Elle s’absorbe avec grâce dans un paysage si étrange et beau qu’il nous porte aux confins de mondes imaginaires.
Paris Match
Avec un vrai sens du hors-champ et du cadre utilisés comme élément fantastique, la cinéaste compose un puzzle mental qui se déploie lentement, pièce après pièce, pour mieux nous faire ressentir la violence sociale et politique d'un pays où les riches propriétaires terrains se croient toujours au-dessus des lois.
Première
Avec ses airs de western écologique, le film dévoile une quantité de visions fortes flirtant avec le fantastique.
TéléCinéObs
Pour autant, la cinéaste maintient in extremis l’ensemble sous tension, par son indéniable élégance formelle et une maîtrise savante du hors-champ.
aVoir-aLire.com
Refusant de livrer les clés de son premier film, Marcela Said signe un objet métaphorique souvent somptueux sur le plan visuel, mais un brin nébuleux dans sa définition des personnages. Un peu plus de poésie et moins de théorie en auraient fait une œuvre majeure.
Positif
Un film éthéré qui n'existe, au fond, que par Alexander Zekke, son compositeur démiurge de la double croche. Le film dilue plus qu'il ne laisse respirer; camoufle plutôt qu'il ne fait sentir ou deviner. Bref, c'est un jeu de cache-cache avec le cinéma que la musique de Zekke emplie de sens et d'une musicalité fascinante.
Télérama
Avec une mise en scène fondée sur les silences et les vides, la jeune réalisatrice Marcela Said signe un film trop secret et un peu prétentieux.