Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Ouest France
par La Rédaction
Du cinéma venu d'ailleurs.
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
36 minutes de fantaisie (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
Célébration anarchique des excès et des débordements du cinéma, le film avance ainsi sur une ligne de crête dissonante que Bernard Hinault et Christophe, en guest star, arpentent la tête dans les étoiles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
Ceux qui apprécient le jeu décalé mais subtil de Bernard Menez adoreront l'atmosphère de « le Quepa sur la vilni », une échappée belle entre originaux de talent, aussi décoiffante que le vent qui souffle sur la garrigue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Yann Le Quellec fait souffler une brise rafraîchissante sur le cinéma, avec un Christophe prophétique et deux Bernard - Menez et Hinault - touchés par la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Deux moyens pour le prix d’un long, c’est une bonne affaire qui rappelle que le bon cinéma ne se réduit pas au format standard de 1 h 30.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
A l’image de "La Fille du 14 juillet" d’Antonin Peretjatko, il y a dans "Le Quepa sur la Vilni !" un amusement permanent, une cocasserie parfois usante, un esprit à la Benny Hill, dû aux méandres à deux roues des héros comme aux pedigrees popus de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Ode au lâcher-prise, poésie burlesque, calembours et mélancolie rétro ; l’esprit des deux Jacques (Rozier et Tati) et des deux Pierre (Etaix et Richard) plane sur ces fantaisies provinciales, doucement prometteuses – Le Quellec prépare son premier long.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Le deuxième moyen métrage de Yann Le Quellec exploite la veine comico-absurde qui faisait le piquant du précédent ("Je sens le Beat qui monte en moi", qui ressort en même temps). Du Rozier sous acide ou, plutôt, sous EPO.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Au nom du sacro-saint non-sens, le film délaisse timing et précision des gags : la détente fantaisiste séduit un moment, puis se fait contre-productive.
Ouest France
Du cinéma venu d'ailleurs.
Le Figaroscope
36 minutes de fantaisie (...).
Le Monde
Célébration anarchique des excès et des débordements du cinéma, le film avance ainsi sur une ligne de crête dissonante que Bernard Hinault et Christophe, en guest star, arpentent la tête dans les étoiles.
Le Parisien
Ceux qui apprécient le jeu décalé mais subtil de Bernard Menez adoreront l'atmosphère de « le Quepa sur la vilni », une échappée belle entre originaux de talent, aussi décoiffante que le vent qui souffle sur la garrigue.
Les Fiches du Cinéma
Yann Le Quellec fait souffler une brise rafraîchissante sur le cinéma, avec un Christophe prophétique et deux Bernard - Menez et Hinault - touchés par la grâce.
Les Inrockuptibles
Deux moyens pour le prix d’un long, c’est une bonne affaire qui rappelle que le bon cinéma ne se réduit pas au format standard de 1 h 30.
Libération
A l’image de "La Fille du 14 juillet" d’Antonin Peretjatko, il y a dans "Le Quepa sur la Vilni !" un amusement permanent, une cocasserie parfois usante, un esprit à la Benny Hill, dû aux méandres à deux roues des héros comme aux pedigrees popus de ses interprètes.
TéléCinéObs
Ode au lâcher-prise, poésie burlesque, calembours et mélancolie rétro ; l’esprit des deux Jacques (Rozier et Tati) et des deux Pierre (Etaix et Richard) plane sur ces fantaisies provinciales, doucement prometteuses – Le Quellec prépare son premier long.
Télérama
Le deuxième moyen métrage de Yann Le Quellec exploite la veine comico-absurde qui faisait le piquant du précédent ("Je sens le Beat qui monte en moi", qui ressort en même temps). Du Rozier sous acide ou, plutôt, sous EPO.
Cahiers du Cinéma
Au nom du sacro-saint non-sens, le film délaisse timing et précision des gags : la détente fantaisiste séduit un moment, puis se fait contre-productive.