Note moyenne
3,2
19 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Positif
Atypique, audacieux et modeste.
CinemaTeaser
Un cinéaste naissant, plein de promesses, sur lequel on est prêt à miser gros pour les prochaines années.
Critikat.com
Ni passéiste ni superficielle, cette galerie de portraits gouailleurs et tragiques illustre une vision du cinéma sincère et résolument passionnée – une vision communicative.
Le Parisien
(...) "Nos héros sont morts ce soir", un hommage original, en noir et blanc, aux polars des années 1960 et au sport roi de l’époque, le catch.
Les Inrockuptibles
Les héros de cinéma de Perrault sont morts bien avant ce soir, mais la tentative de leur accorder une petite prolongation fantomatique est un geste de cinéma romantique et touchant.
Mad Movies
Si les paraboles voulues par le metteur en scène laissent un peu de marbre, on prend plaisir à l'illustration fétichiste de cette France des bistrots poussiéreux et de la Cinzano.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Le Figaroscope
Un beau film en noir et blanc auquel il manque un scénario solide.
Les Fiches du Cinéma
Le premier film de David Perrault fait revivre le Paris des années 1960 et un cinéma révolu. Mais l'agglomérat de motifs, d'archétypes et de références évoque davantage la manie du cinéphile que le regard d'un cinéaste.
Libération
"Nos héros…" dévoile entre les cordes un léger complexe tant il étale ses références (...). Comme si le film nous avouait en creux sa volonté d’académisme. C’est pourtant en sortant des références que "Nos héros…" donne sa mesure. (...) Une œuvre à part, originale et attachante.
Paris Match
Ce film en noir et blanc nous propulse d’une bonne manchette dans la France des années 1960. La reconstitution est soignée, les acteurs impliqués. Dommage que le scénario et les dialogues ne soient pas à la hauteur des ambitions du réalisateur.
Première
(...) un récit classique sur les faux-semblants, que soulignent le symbolisme des masques et leurs significations.
TéléCinéObs
Une ambition extrême habite le premier long-métrage de David Perrault, plongée conjuguée dans le milieu du catch (...) et des séries B au noir et blanc stylisé. (...) Un film moins à l’aise avec sa narration qu’avec son atmosphère, qui (...) suscite davantage l’admiration esthétique qu’un amour vraiment franc.
Télérama
(...) une réflexion troublante sur le spectacle.
aVoir-aLire.com
A la fois ultra-référentiel et en même temps totalement original, ce premier film de David Perrault a le mérite de sortir des sentiers battus d’un certain cinéma français. Et ceci malgré ses détours par des impasses bien hasardeuses.
L'Ecran Fantastique
Si l'ambiance est là, les personnages crédibles et attachants, on ne peut pas en dire autant de l'intrigue qui avance certes sans temps mort, mais sans grande surprise non plus.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
Il y a quelque chose d’affreusement clinique dans ce premier film rétro-fétichiste, copiant avec application le cinéma populaire de l’époque qu’il illustre. Ça ne vit pas.
Le Monde
Ce premier film stylisé de David Perrault peine à dépasser son propre geste maniériste, faute d'un scénario suffisamment étoffé.