Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Positif
par Ariane Allard
Où se niche la vérité dans ce dédale perturbé (un rien ostentatoire) et perturbant ? Telle est la belle question posée par cette première oeuvre insensible.
La critique complète est disponible sur le site Positif
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Premier film de l'Écossais Paul Wright, "For Those in Peril" est également un premier choc... émotionnel.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Servi par une photo magnifique, qui ne trahit pas l’ambiance de cette Ecosse laborieuse et sévère, "For those in peril" est un film original, poignant et intime qui s’offre le luxe d’une fin hallucinante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Paul Wright signe un premier long métrage original, au récit polymorphe, d'une impressionnante qualité visuelle et romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Eric Vernay
Un film instable, cru et écorché vif comme un teen movie de Larry Clark.
Télérama
par Mathilde Blottière
Si le film cède parfois au maniérisme, ce télescopage entre une mise en scène viscérale et l'univers flottant des contes dégage une vive émotion. On en sort glacé jusqu'aux os, mais avec la sensation d'avoir respiré l'air du large.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Noémie Luciani
Très inventif formellement et narrativement, mais inégal, ce film met en scène un beau duo d'acteurs (...) et atteste du potentiel d'un réalisateur à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Bruno Icher
Ces bouts de souvenirs, sous forme de films super 8 des deux frères, d’actualités télévisées relatant le drame, de vidéos amateurs d’ados turbulents, sont les motifs obsédants qui finissent par pulvériser la raison d’Aaron et qui construisent la belle singularité du film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Malgré quelques scènes véritablement saisissantes – dont une rixe dans une nature hostile et un suicide frappant –, il est permis de rester au bord de ce cauchemar expérimentalo-fantastique sur un trouble mental qui passe la démultipliée : trop d’effets tuant l’effet.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Pierre-Edouard Peillon
Paul Wright torpille l’équilibre fragile de son film avec tout un arsenal d’images fraîchement débarquées de nulle part.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec le souci de faire partager au spectateur les émotions et le vécu du jeune homme, le film multiplie les effets de sons atténués, les contre-jours, les flous, jusqu’à la saturation.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
aVoir-aLire.com
par Camille Lugan
Tissant le mythique et le social dans cette fable côtière, le premier long-métrage du cinéaste britannique Paul Wright propose un collage intéressant de genres et de formes, mais peine à nous emporter dans sa vision épique et fantastique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Le liant d’un point de vue identifiable qui donnerait son sens au déferlement manque cruellement, et son absence ennuie si on refuse (et on refuse !) de s’abandonner à la seule esbroufe de ce court gonflé : l’audace n’est pas de l’audace, quand elle n’est celle de personne.
Positif
Où se niche la vérité dans ce dédale perturbé (un rien ostentatoire) et perturbant ? Telle est la belle question posée par cette première oeuvre insensible.
CinemaTeaser
Premier film de l'Écossais Paul Wright, "For Those in Peril" est également un premier choc... émotionnel.
Franceinfo Culture
Servi par une photo magnifique, qui ne trahit pas l’ambiance de cette Ecosse laborieuse et sévère, "For those in peril" est un film original, poignant et intime qui s’offre le luxe d’une fin hallucinante.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Les Fiches du Cinéma
Paul Wright signe un premier long métrage original, au récit polymorphe, d'une impressionnante qualité visuelle et romanesque.
Première
Un film instable, cru et écorché vif comme un teen movie de Larry Clark.
Télérama
Si le film cède parfois au maniérisme, ce télescopage entre une mise en scène viscérale et l'univers flottant des contes dégage une vive émotion. On en sort glacé jusqu'aux os, mais avec la sensation d'avoir respiré l'air du large.
Le Monde
Très inventif formellement et narrativement, mais inégal, ce film met en scène un beau duo d'acteurs (...) et atteste du potentiel d'un réalisateur à suivre.
Libération
Ces bouts de souvenirs, sous forme de films super 8 des deux frères, d’actualités télévisées relatant le drame, de vidéos amateurs d’ados turbulents, sont les motifs obsédants qui finissent par pulvériser la raison d’Aaron et qui construisent la belle singularité du film.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Malgré quelques scènes véritablement saisissantes – dont une rixe dans une nature hostile et un suicide frappant –, il est permis de rester au bord de ce cauchemar expérimentalo-fantastique sur un trouble mental qui passe la démultipliée : trop d’effets tuant l’effet.
Critikat.com
Paul Wright torpille l’équilibre fragile de son film avec tout un arsenal d’images fraîchement débarquées de nulle part.
La Croix
Avec le souci de faire partager au spectateur les émotions et le vécu du jeune homme, le film multiplie les effets de sons atténués, les contre-jours, les flous, jusqu’à la saturation.
aVoir-aLire.com
Tissant le mythique et le social dans cette fable côtière, le premier long-métrage du cinéaste britannique Paul Wright propose un collage intéressant de genres et de formes, mais peine à nous emporter dans sa vision épique et fantastique.
Cahiers du Cinéma
Le liant d’un point de vue identifiable qui donnerait son sens au déferlement manque cruellement, et son absence ennuie si on refuse (et on refuse !) de s’abandonner à la seule esbroufe de ce court gonflé : l’audace n’est pas de l’audace, quand elle n’est celle de personne.