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Votre avis sur Arrête ou je continue ?
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Le duo Devos-Amalric fonctionne à la perfection et le film retranscrit assez bien la crise d'un couple qui n'arrive plus à communiquer qu'en se lançant des piques.
Un film ou on s'ennuie après les 15 premières minutes. Le scénario est très bizarre, il y a beaucoup de blanc
Loïck G.
Pour aller au fond des choses, au cœur du problème, du désamour le plus absolu, Sophie Fallières donne le change d’une comédie qui ne s’annonce pas comme telle. Des dialogues souvent minimalistes, superbes, étonnamment décalés, en marge de situations dramatiques où deux êtres s’entre déchirent sans jamais se toucher, se faire du mal, sinon par les mots qui fracassent leur quotidien. Emmanuelle Devos et Mathieu Amalric reforment un couple cette fois dissonant, mais si vrai que le cinéma n’ose même plus en parler. Le genre de film que tout cinéphile se doit de voir, il appartient à la version vitale du septième art.
Avis bonus Trois entretiens avec la réalisatrice et les comédiens qui donnent un éclairage supplémentaire à un film qui s’en nourrit forcément, tellement il est dense et construit.
Pour en savoir plus
Avis bonus Trois entretiens avec la réalisatrice et les comédiens qui donnent un éclairage supplémentaire à un film qui s’en nourrit forcément, tellement il est dense et construit.
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Pas besoin de les entendre s’asticoter longtemps : Pomme et Pierre ne communiquent plus que par remarques vachardes et mots désenchantés. A défaut de tendresse, cela donne lieu à un ping-pong verbal assez brillant. L’un comme l’autre peuvent dire : « arrête ou je continue »… où l’inverse : « si tu continues, j’arrête » ! En tout cas, le désamour est en vue. Couru d’avance.
C’est au cours d’une promenade en forêt que Pomme va finalement choisir son propre chemin, laissant Pierre rentrer seul. Exit la vivacité du début, commence alors une longue séquence d’abandon à la nature, ou il ne se passe pas grand-chose avec la solitaire des sous-bois. Elle tourne en rond, jusqu’à ce qu’on comprenne que la chlorophylle est parfaite pour remettre les idées au clair.
La forêt comme catharsis, ça fait quand même court pour un couple au bord de la crise de nerfs. Heureusement, la comédie de Sophie Fillières a l’humour grinçant. Les dialogues brillants et le ton décalé. Heureusement aussi, il y a un sacré bon tandem d’acteurs, Emmanuelle Devos et Mathieu Almaric, dont c’est le sixième film en commun.
C’est au cours d’une promenade en forêt que Pomme va finalement choisir son propre chemin, laissant Pierre rentrer seul. Exit la vivacité du début, commence alors une longue séquence d’abandon à la nature, ou il ne se passe pas grand-chose avec la solitaire des sous-bois. Elle tourne en rond, jusqu’à ce qu’on comprenne que la chlorophylle est parfaite pour remettre les idées au clair.
La forêt comme catharsis, ça fait quand même court pour un couple au bord de la crise de nerfs. Heureusement, la comédie de Sophie Fillières a l’humour grinçant. Les dialogues brillants et le ton décalé. Heureusement aussi, il y a un sacré bon tandem d’acteurs, Emmanuelle Devos et Mathieu Almaric, dont c’est le sixième film en commun.
L'histoire de ce couple en fin de vie nous offre quelques très belles scènes mélangeant humour et gravité, mais la seconde partie plus contemplative dans la forêt souffre de trop de longueurs : dommage ...
Jeux d'acteur très mauvais, et le scénario est simplement inintéressant car aucun dénouement, la fin est une des pires que j'ai vu. Je ne recommande pas ce film...
L'usure d'un couple... ils ne se parlent plus que pour se critiquer, elle pense qu'il la trompe, il ne semble plus du tout attiré par son corps. Lors d'une randonnée, elle décide de rester dans la forêt et .... ça leur permet de réfléchir et ... arriveront ils aux mêmes conclusions ???? C'est un peu long, ça manque d'action, mais les acteurs sont bons.
L'idée de départ du film de Sophie Fillere était bonne, évoquer les problèmes et l'usure du couple du couple par la métaphore et la traversée d'une forêt. Avec des dialogues qui en disent plus que ce qu'ils sont censée dire. Le problème est que le ton décalé offre une histoire trop distanciée, et qu'il n' y a pas ou peu d'émotion, et encore moins de rires. La ou on aurait aimé être emporté, on a un un intellect pesant et endimmanché manquant de réalisme. Si Emmanuelle Devos s'en sort à peu près, on n'en dira pas autant de Matthieu Amalric qui se contente de rouler les yeux.
Positif le seul journal qui critique judicieusement ce film insipide, inutile.
S'il y avait un oscar de l'ennui : gagnant à 100%
S'il y avait un oscar de l'ennui : gagnant à 100%
Succession de scènettes sur le quotidien d'un couple qui ne marche plus, il est important de ne pas rater la bande annonce : tout est dit ! On croit autant a ces personnages adeptes de la marche et des séjours en forêt qu'au dahut !!
Un bon film sur le temps qui use une relation sentimentale.
L'homme devient aigri et méchant, la femme espère encore jusqu'au jour oû trop c'est trop....
Un classique dans lequel beacoup se reconnaitront après des années de vie conjugale.
L'homme devient aigri et méchant, la femme espère encore jusqu'au jour oû trop c'est trop....
Un classique dans lequel beacoup se reconnaitront après des années de vie conjugale.
Dommage que je ne puisse pas mettre moins, ils ont le don de nous partager leur ennuie. C'est mou est sans intérêt.
Deux superbes comédiens français, Emmanuelle Devos et Mathieu Almaric jouent respectivement dans ce film comme Pomme et Pierre. Malheureusement les personnages qu'ils incarnent et ni le film lui-même ne m'ont pas touché. Le thème principal étant la détérioration de la relation de couple. Pomme et Pierre semblent toujours se chamailler et se disputer. Pierre apparaît assez brusque et insensible et Pomme semble très malheureuse de vivre avec lui. Un jour, ils décident de faire une randonnée dans la pittoresque forêt de Chamoiselle quand après un autre querelle Pierre veut rentrer chez lui mais Pomme veut rester. Pierre au fil des jours refuse aussi obstinément de même admettre à qui que ce soit ce qui s'est passé jusqu'à ce qu'il le dise enfin à Romain puis il s'aventure dans les bois pour essayer de la retrouver. En résumé nous obtenons des scènes sereines de nature et de beauté situées dans la forêt de Chamoiselle tandis que le couple ne cesse de se chamailler. Une grande contradiction s'il en est. Ce film m'a semblé assez plat et malgré les acteurs formidables impliqués je n'ai jamais pu me connecter émotionnellement aux personnages qu'ils incarnent...
peut-être que ça serai bien à lire, peut être mais le film est.... bizarre, très bizarre.
A force de voir Mathieu Amalric et Emmanuelle Devos à l’écran, ils finissent usés par se détester cordialement, aimablement du moins au début.
Libérés des les premières minutes du passage raconté dans tous les médias pour bien nous prouver qu’ils ont vu le film, la scène du bus, on assiste à une première partie savoureuse car rythmée par des dialogues, des scènes courts et vifs. Certes la convention est partout tant dans la forme -Sophie Fillières renoue avec succès et amour avec un cinéma français des années quatre vingt- que dans le fond, le couple semble se détruire savamment. Un seul cerveau pour deux, un projet pour deux, bref la fusion…Ils en deviennent paralysés et même les gestes les plus usuels, ils ne parviennent plus à les faire naturellement. Ils s’automatisent comme leurs robots de cuisine. La moindre diversité qui pourrait entrer dans leur vie, ils l’évitent comme la peste: un élément aussi commercial et accessible , écouter de la musique est hors de question...
Libérés des les premières minutes du passage raconté dans tous les médias pour bien nous prouver qu’ils ont vu le film, la scène du bus, on assiste à une première partie savoureuse car rythmée par des dialogues, des scènes courts et vifs. Certes la convention est partout tant dans la forme -Sophie Fillières renoue avec succès et amour avec un cinéma français des années quatre vingt- que dans le fond, le couple semble se détruire savamment. Un seul cerveau pour deux, un projet pour deux, bref la fusion…Ils en deviennent paralysés et même les gestes les plus usuels, ils ne parviennent plus à les faire naturellement. Ils s’automatisent comme leurs robots de cuisine. La moindre diversité qui pourrait entrer dans leur vie, ils l’évitent comme la peste: un élément aussi commercial et accessible , écouter de la musique est hors de question...
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