Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
La comédie d’analysant retrouve ici une fraîcheur que l’on n’attendait plus.
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Comique de situation, plaisir du gag et sens de la littéralité burlesque viennent (...) ajouter à la subtilité des dialogues un soupçon de pitrerie opportun. Quand les extrêmes se touchent, la cinéaste conjugue finesse et bouffonnerie dans une fable de couple truculente et astucieusement ludique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Entre Pierre et Pomme, ça va si mal que souvent il leur arrive de rire quand tout les porte à pleurer. Tout, c'est-à-dire essentiellement la lassitude qu'ils éprouvent l'un de l'autre, dont Sophie Fillières fait son miel, au gré de dialogues souvent brillants, servis avec éclat par Mathieu Amalric et Emmanuelle Devos, tous deux plus que parfaits.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Franck Nouchi
Deux comédiens formidables pour quelques instants de cinéma qui ne le sont pas moins.
Le Parisien
par Alain Grasset
La réalisatrice Sophie Fillières a su ponctuer son film d'un humour salvateur, bien que souvent grinçant. Et, surtout, on se régale du jeu des acteurs. Ils nous offrent une version presque sympathique et drôle des derniers feux de leur amour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Un véritable match de ping-pong verbal où, sous la facétie habituelle de Sophie Fillières, pointe une aigreur nouvelle et une audace bienvenue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
La réalisatrice de “Aïe” signe un petit précis sur la fin de l’amour. Hilarant et secrètement tragique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Entre les mains de la cinéaste, les corps et âmes d’Emmanuelle Devos et Mathieu Amalric deviennent des instruments de musique d’une minutie fascinante. Jusque dans les couacs du couple qu’ils incarnent, leur duo d’acteurs si justement complices et désunis, produit une harmonie supérieure dont on ne voit pas d’exemple récent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
"Arrête ou je continue" a le goût habituel des films de Fillières où la gravité sait s'inviter sous un burlesque coq-à-l'âne qui s'exerce à propos de tout : montée dans un autobus, champagne manquant, pique-nique au tarama ou imposture intrusive dans un séminaire musical.
Télérama
par Jacques Morice
Une forme de libération fluide, non dénuée d'émotion, pour le coup totalement inédite dans le cinéma de Fillières. Ça se fête, non ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
par Anne Diatkine
Contrairement à ses précédents films, les situations sont aussi normalement incongrues que les dialogues, qui paraissent toujours logiques.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Arnaud Schwartz
Porté par deux excellents comédiens, plus qu’habitués à se donner la réplique, Arrête ou je continue ressemble d’abord à ces petits jeux pervers d’enfants, où l’on se pince à tour de rôle pour se faire de plus en plus mal.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Les deux comédiens tiennent debout malgré une narration inconsistante qui traîne en longueur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Avec ce mélange de légèreté et de gravité qui rythme ses films, Sophie Fillières analyse les petits et les grands maux de la vie à deux, le temps d'une fable qui prend des allures d'une fugue buissonnière, un peu contemplative.
Première
par Christophe Narbonne
C'est dans les séquences de solitude que Fillière traduit le mieux les états d'âme de son héroïne, plus que dans les scènes à deux où la recherche permanente du décalage génère un manque de sincérité et d'émotion.
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Après une première partie savoureuse dynamitée par un ton décalé du meilleur effet, le nouveau film de Sophie Fillières se perd dans la forêt qu’arpente inlassablement son héroïne. Dommage…
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Elise Lépine
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Ouest France
par La Rédaction
(...) une démarche qui sent le fabriqué, tout au long d'un processus décousu.
Positif
par Ariane Allard
Jamais son intrigue tournant autour de la fin d'un couple, ni tout à fait légère, ni tout à fait grave, ni tout à fait réaliste, ni tout à fait symboliste, ne parvient à trouver son centre. Donc son rythme.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
La comédie d’analysant retrouve ici une fraîcheur que l’on n’attendait plus.
Critikat.com
Comique de situation, plaisir du gag et sens de la littéralité burlesque viennent (...) ajouter à la subtilité des dialogues un soupçon de pitrerie opportun. Quand les extrêmes se touchent, la cinéaste conjugue finesse et bouffonnerie dans une fable de couple truculente et astucieusement ludique.
L'Obs
Entre Pierre et Pomme, ça va si mal que souvent il leur arrive de rire quand tout les porte à pleurer. Tout, c'est-à-dire essentiellement la lassitude qu'ils éprouvent l'un de l'autre, dont Sophie Fillières fait son miel, au gré de dialogues souvent brillants, servis avec éclat par Mathieu Amalric et Emmanuelle Devos, tous deux plus que parfaits.
Le Monde
Deux comédiens formidables pour quelques instants de cinéma qui ne le sont pas moins.
Le Parisien
La réalisatrice Sophie Fillières a su ponctuer son film d'un humour salvateur, bien que souvent grinçant. Et, surtout, on se régale du jeu des acteurs. Ils nous offrent une version presque sympathique et drôle des derniers feux de leur amour.
Les Fiches du Cinéma
Un véritable match de ping-pong verbal où, sous la facétie habituelle de Sophie Fillières, pointe une aigreur nouvelle et une audace bienvenue.
Les Inrockuptibles
La réalisatrice de “Aïe” signe un petit précis sur la fin de l’amour. Hilarant et secrètement tragique.
Libération
Entre les mains de la cinéaste, les corps et âmes d’Emmanuelle Devos et Mathieu Amalric deviennent des instruments de musique d’une minutie fascinante. Jusque dans les couacs du couple qu’ils incarnent, leur duo d’acteurs si justement complices et désunis, produit une harmonie supérieure dont on ne voit pas d’exemple récent.
TéléCinéObs
"Arrête ou je continue" a le goût habituel des films de Fillières où la gravité sait s'inviter sous un burlesque coq-à-l'âne qui s'exerce à propos de tout : montée dans un autobus, champagne manquant, pique-nique au tarama ou imposture intrusive dans un séminaire musical.
Télérama
Une forme de libération fluide, non dénuée d'émotion, pour le coup totalement inédite dans le cinéma de Fillières. Ça se fête, non ?
Elle
Contrairement à ses précédents films, les situations sont aussi normalement incongrues que les dialogues, qui paraissent toujours logiques.
La Croix
Porté par deux excellents comédiens, plus qu’habitués à se donner la réplique, Arrête ou je continue ressemble d’abord à ces petits jeux pervers d’enfants, où l’on se pince à tour de rôle pour se faire de plus en plus mal.
Le Figaroscope
Les deux comédiens tiennent debout malgré une narration inconsistante qui traîne en longueur.
Le Journal du Dimanche
Avec ce mélange de légèreté et de gravité qui rythme ses films, Sophie Fillières analyse les petits et les grands maux de la vie à deux, le temps d'une fable qui prend des allures d'une fugue buissonnière, un peu contemplative.
Première
C'est dans les séquences de solitude que Fillière traduit le mieux les états d'âme de son héroïne, plus que dans les scènes à deux où la recherche permanente du décalage génère un manque de sincérité et d'émotion.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
Après une première partie savoureuse dynamitée par un ton décalé du meilleur effet, le nouveau film de Sophie Fillières se perd dans la forêt qu’arpente inlassablement son héroïne. Dommage…
L'Express
Voir le site de L'Express.
Ouest France
(...) une démarche qui sent le fabriqué, tout au long d'un processus décousu.
Positif
Jamais son intrigue tournant autour de la fin d'un couple, ni tout à fait légère, ni tout à fait grave, ni tout à fait réaliste, ni tout à fait symboliste, ne parvient à trouver son centre. Donc son rythme.