Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Certaines scènes sont insoutenables et d'autant plus dérangeantes que le film emprunte au documentaire son côté frontal, tout en restant du cinéma. "Heli" met en lumière, avec beaucoup de talent, la cruauté d'un monde sans pitié.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Tout cela, esthétiquement tiré au cordeau, reste donc jusqu'au bout d'une noirceur délibérée, et se révèle tellement révoltant qu'on peut effectivement se demander s'il faut en blâmer ou en féliciter le cinéaste. Du moins ne pourra-t-on lui nier (...) l'audace d'un surréalisme rageur et froid (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Hendy Bicaise
Amat Escalante [...] sait clore ses films en beauté [...] à défaut de captiver tout du long, "Heli" laisse une marque profonde chez son spectateur.
TF1 News
par Romain Le Vern
Si tout paraît vrai, on reste au cinéma : les personnages existent parce qu'ils sont bien écrits entre compassion et mise à distance. Le plan final, d'une force unique, parvient à créer un apaisement inattendu dans l'enfer du monde.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Frédéric Strauss
POUR : Et pourtant, ce film courageux est tout entier tendu vers l'espoir. D'une consolation possible, d'une survie coûte que coûte. D'une lumière. Fragile et magnifique, comme Heli et sa soeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Camille Lugan
"Heli" est un film éminemment politique, d’une façon particulière : non pas directement, mais parce qu’il propose une réflexion éthique et incarnée sur ce que signifie le trafic de drogue dans le quotidien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
"Heli" tire pourtant son épingle du jeu grâce à sa seconde partie, qui substitue au récit de la descente celui de la survie de son personnage principal. Escalante mise beaucoup, trop même, sur la séquence choc de torture de son film, sans voir qu'il est bien meilleur et puissant lorsqu'il s'agit de ne rien montrer.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Tout est d’une beauté plastique tranchant radicalement avec la cruauté de l’histoire.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Sur un sujet grave - la remontée de cette violence jusqu'au plus intime de chacun et dans tous les aspects de sa vie - le cinéaste échoue à impliquer le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
Primé pour sa mise en scène à Cannes, “Heli” d'Amat Escalante témoigne d'une violence radicale, mêlée d'éclats d'étrangetés, offrant un cinéma neuf et sans concessions.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Dommage que ce sensationnalisme choc, cette brutalité spectaculaire gâchent un film où le cinéaste démontre par ailleurs un vrai sens plastique, un talent indéniable pour habiter intensément les plans et mener un récit avec peu de mots. La tension laconique, autre vertu du western.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Guillaume Tion
Dans les marges de cette mise en scène à explosion, "Heli" cache néanmoins de discrets atouts : un changement d’angle subit dans la façon de filmer le salon familial, une morale fataliste qui veut que rien ne change quand tout est bouleversé (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
"Heli" est en revanche beaucoup plus convaincant dans son approche documentaire, quand Amat Escalante exprime son talent de metteur en scène et de directeur d’acteur pour filmer un quotidien sans avenir que rythment les exécutions à la télévision.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Dans le genre, on a toutefois vu bien pire : au moins la rigueur du cinéaste génère jusqu’au bout une indéniable efficacité dramatique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Heli" est un film à la forme néo-réaliste, sauce chili, naturaliste, sinon misérabiliste,avec des instants de violence provocateurs.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Metro
par Mehdi Omaïs
Heli ne prend jamais le spectateur par la main. Et ne le caresse pas dans le sens du poil. Bien au contraire, il le tord en étirant les scènes jusqu'à l'ennui, lui vrille les entrailles et se tamponne des conséquences.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Dominique Martinez
La matière du réalisme social mexicain auquel prétend le film est féroce, tordue, insupportable. Elle ne justifie pas la surenchère de la mise en scène de la violence, qui refoule le spectateur en marge du récit.
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Le plus abject ce n’est pas tant l’abominable scène de torture (…) que l’indolence calculée de la mise en scène d’Escalante, qui ne frémit pas d’un iota à l’approche de l’horreur, nivelant par un régime égalisateur – distance et coupes franches – les pires sévices et les microévénements du quotidien. Pour dire quoi ? des banalités complètes.
Critikat.com
par Mathieu Macheret
Qu’y a-t-il avant et après la violence ? La réponse, simple et hautaine, est donnée par le film : encore et toujours de la violence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Pierre Murat
CONTRE : Il était doué, pourtant, ce jeune Mexicain qui, en 2006, réalisait Sangre, comédie noire, intimiste, absurde et minimaliste. Ici, il est totalement dans l'erreur : esthétiquement, philosophiquement, moralement, sa démarche est indéfendable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
Certaines scènes sont insoutenables et d'autant plus dérangeantes que le film emprunte au documentaire son côté frontal, tout en restant du cinéma. "Heli" met en lumière, avec beaucoup de talent, la cruauté d'un monde sans pitié.
Le Monde
Tout cela, esthétiquement tiré au cordeau, reste donc jusqu'au bout d'une noirceur délibérée, et se révèle tellement révoltant qu'on peut effectivement se demander s'il faut en blâmer ou en féliciter le cinéaste. Du moins ne pourra-t-on lui nier (...) l'audace d'un surréalisme rageur et froid (...).
Première
Amat Escalante [...] sait clore ses films en beauté [...] à défaut de captiver tout du long, "Heli" laisse une marque profonde chez son spectateur.
TF1 News
Si tout paraît vrai, on reste au cinéma : les personnages existent parce qu'ils sont bien écrits entre compassion et mise à distance. Le plan final, d'une force unique, parvient à créer un apaisement inattendu dans l'enfer du monde.
Télérama
POUR : Et pourtant, ce film courageux est tout entier tendu vers l'espoir. D'une consolation possible, d'une survie coûte que coûte. D'une lumière. Fragile et magnifique, comme Heli et sa soeur.
aVoir-aLire.com
"Heli" est un film éminemment politique, d’une façon particulière : non pas directement, mais parce qu’il propose une réflexion éthique et incarnée sur ce que signifie le trafic de drogue dans le quotidien.
Charlie Hebdo
"Heli" tire pourtant son épingle du jeu grâce à sa seconde partie, qui substitue au récit de la descente celui de la survie de son personnage principal. Escalante mise beaucoup, trop même, sur la séquence choc de torture de son film, sans voir qu'il est bien meilleur et puissant lorsqu'il s'agit de ne rien montrer.
CinemaTeaser
Tout est d’une beauté plastique tranchant radicalement avec la cruauté de l’histoire.
La Croix
Sur un sujet grave - la remontée de cette violence jusqu'au plus intime de chacun et dans tous les aspects de sa vie - le cinéaste échoue à impliquer le spectateur.
Les Fiches du Cinéma
Primé pour sa mise en scène à Cannes, “Heli” d'Amat Escalante témoigne d'une violence radicale, mêlée d'éclats d'étrangetés, offrant un cinéma neuf et sans concessions.
Les Inrockuptibles
Dommage que ce sensationnalisme choc, cette brutalité spectaculaire gâchent un film où le cinéaste démontre par ailleurs un vrai sens plastique, un talent indéniable pour habiter intensément les plans et mener un récit avec peu de mots. La tension laconique, autre vertu du western.
Libération
Dans les marges de cette mise en scène à explosion, "Heli" cache néanmoins de discrets atouts : un changement d’angle subit dans la façon de filmer le salon familial, une morale fataliste qui veut que rien ne change quand tout est bouleversé (...).
Paris Match
"Heli" est en revanche beaucoup plus convaincant dans son approche documentaire, quand Amat Escalante exprime son talent de metteur en scène et de directeur d’acteur pour filmer un quotidien sans avenir que rythment les exécutions à la télévision.
TéléCinéObs
Dans le genre, on a toutefois vu bien pire : au moins la rigueur du cinéaste génère jusqu’au bout une indéniable efficacité dramatique.
Franceinfo Culture
"Heli" est un film à la forme néo-réaliste, sauce chili, naturaliste, sinon misérabiliste,avec des instants de violence provocateurs.
Metro
Heli ne prend jamais le spectateur par la main. Et ne le caresse pas dans le sens du poil. Bien au contraire, il le tord en étirant les scènes jusqu'à l'ennui, lui vrille les entrailles et se tamponne des conséquences.
Positif
La matière du réalisme social mexicain auquel prétend le film est féroce, tordue, insupportable. Elle ne justifie pas la surenchère de la mise en scène de la violence, qui refoule le spectateur en marge du récit.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Le plus abject ce n’est pas tant l’abominable scène de torture (…) que l’indolence calculée de la mise en scène d’Escalante, qui ne frémit pas d’un iota à l’approche de l’horreur, nivelant par un régime égalisateur – distance et coupes franches – les pires sévices et les microévénements du quotidien. Pour dire quoi ? des banalités complètes.
Critikat.com
Qu’y a-t-il avant et après la violence ? La réponse, simple et hautaine, est donnée par le film : encore et toujours de la violence.
Télérama
CONTRE : Il était doué, pourtant, ce jeune Mexicain qui, en 2006, réalisait Sangre, comédie noire, intimiste, absurde et minimaliste. Ici, il est totalement dans l'erreur : esthétiquement, philosophiquement, moralement, sa démarche est indéfendable.