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    A Touch of Sin
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    229 critiques spectateurs

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    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2014
    Des tranches de vie ordinaire chinoise sombrant dans la violence. Un film poignard et vrai d'une société broyant beaucoup de citoyens au nom de la performance. Le réalisateur apporte un œil aiguisé avec une réalisation épurée mais toujours dans la dénonciation. Des acteurs vraiment bons apportent encore plus de crédibilité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 décembre 2013
    Dans la description de l' évolution de ces quatre vies, seule la violence contre les autres ou contre soi est une solution. J'ai trouvé ce film très noir et désespéré, d'une extrême violence ;
    Belles vues sous la neige,
    John Henry
    John Henry

    103 abonnés 707 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 décembre 2013
    A touch of sin, c'est un pamphlet, c'est une démonstration mathématique et scientifique qui démontre que lorsqu'on place nos petits rats dans des situations d'humiliation, de frustration, lorsqu'ils ont le sentiment que le système (ou des forces telluriques supérieures) les broie au profit d'intérêts supérieurs, au profit d'hommes supérieurs, que tout leur passe toujours au-dessus, si ce n'est l'humiliation, si ce n'est la violence, alors le sang coule. Alors la violence se déchaine. Le réalisateur filme 4 petits rats (des hommes ou des femmes chinois) dans ces conditions de laboratoire. Et voilà, sa thèse est confirmée par ces petits bonhommes qui se répandent dans la violence tôt ou tard.

    Voilà pour le volet scientifique. Pour ce qui est du film, moi, j'ai rien vu. Je veux dire : en dehors des expérimentations. Pas de scénario. Pas vraiment de dialogue. Ca me parait paresseux à tous points de vue. Il y a seulement la démonstration, claire, limpide et évidente qu'on tente de nous imprimer dans un coin du cerveau.

    A sauver : un excellent sens de la mise en scène et de l'image.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 décembre 2013
    Un film qui, bien que réussi formellement et traversé de fulgurances épatantes, n’est pas parvenu à vraiment me séduire car je ne suis pas vraiment rentré dedans. Je reconnais sans souci le talent du cinéaste mais il me laisse beaucoup trop froid.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 17 décembre 2013
    dès la première scène, peu convaincante, ou l'on voit le personnage principal lancer et rattraper une tomate sans interruption, j'ai eu quelques doutes qui se sont, hélas, révélés justes à mesure que le film se déroulait.
    suite aux critiques dithyrambiques de la presse je m'attendais à une sérieuse remise en cause de ce système chinois, dont on nous vante tant les mérites puisqu'il est en perpétuelle croissance, voire à un Ken Loach version chinoise avec une touche de violence sauce samouraï.
    au lieu de cela, nous assistons à quatre histoires caricaturales, peu crédibles qui s’entremêlent grossièrement jusqu'au bout de l'ennui.
    mon baromètre de satisfaction étant inverse à ma propension à m'endormir devant l'écran, on peut dire que j'ai été très déçu.
    rarement vu une telle différence entre les critiques et la réalité, mais comment peut on être objectif si un média qui parraine un film doit aussi en faire la critique.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    90 abonnés 404 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 décembre 2013
    Le chinois Jia Zhang-Ke avait réalisé en 2004 The World qui fut présenté et récompensé à Venise. Cette notion de monde et d’universalité imprègne d’évidence le dernier film du réalisateur talentueux de 24 City. Les quatre histoires qu’il met en scène ici, si elles témoignent de l’état de déliquescence dans lequel se débat et se délite la société chinoise, pourraient être déployées à travers la planète entière. Aussi bien dans les pays émergents qui rattrapent à grande vitesse les nations occidentales que ces dernières qui, confrontées à des crises sans précédent, jettent par-dessus bord leurs fondements démocratiques et sociaux. Cinéaste contemplatif jusqu’alors, mais nullement mièvre ou angélique, Jia Zhang-Ke a bien saisi que pour continuer à dresser le portrait le plus juste de son pays, jusqu’à provoquer l’ire de ses dirigeants et compromettre du coup la sortie du film autrement que dans la clandestinité, il devait aborder de front la violence qui irrigue de plus en plus les rapports humains. Ce débordement soudain et inattendu de violence, qu’elle soit tournée vers les autres ou, en signe de désespoir ultime, dirigée vers soi-même, constitue donc le trait commun de ces quatre destins inspirés de faits divers authentiques.
    Ouvrier bafoué en quête de justice, travailleur migrant dont l’arme devient l’instrument de pouvoir, hôtesse d’accueil dans un sauna harcelée par un client entreprenant, jeune employé acceptant des postes de plus en plus dégradants et humiliants : voici les quatre figures d’un monde dont la seule échappatoire passe par la violence (le crime ou le suicide) alors que même l’amour n’apparait plus comme une solution et que l’argent régit et pourrit absolument toutes les relations. Dans A Touch of Sin, que son auteur dépeint comme un film d’arts martiaux, on va se déplacer de la campagne aux villes gigantesques et polluées, du monde paysan à l’univers citadin. Le déplacement permanent transforme en profondeur la société chinoise car, en obligeant ses habitants à se déplacer au gré des besoins en main d’œuvre, elle provoque du coup leur déracinement et les plonge dans une solitude profonde et mortifère. Lorsque trois frères se retrouvent, c’est pour se livrer à de basses opérations arithmétiques de partage. Lorsqu’un fils appelle sa mère, il s’entend reprocher de ne pas avoir envoyé d’argent. Le yuan est ainsi devenu le dieu unique et révéré et ses adorateurs sombrent dans la folie et l’irrémédiable.
    Empruntant aux codes du western, du film de sabre et entremêlant une fois encore les codes du documentaire et de la fiction, Jia Zhang-Ke signe un film coup de poing, une œuvre dense et politique et livre un constat implacable qui anéantit et dévaste complètement. Il réussit à renouveler brillamment son cinéma tout en conservant sa ligne directrice, soit continuer à donner des nouvelles alarmantes de son pays. Et, du coup, l’amène à des hauteurs vertigineuses qui justifient le qualificatif tellement galvaudé de chef d’œuvre. 2013 s’achève ainsi en apothéose.
    lemouton
    lemouton

    3 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 décembre 2013
    Je ne sais pas si c'est un bon film au sens artistique mais c'est très intéressant à regarder : qu'est-ce que la Chine d'aujourd'hui ? Pas gai, ce paradoxal capitalisme triomphant !
    cinoque
    cinoque

    11 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 décembre 2013
    Très loin du chef-d'œuvre annoncé, un film empoté et lent qui tente au travers de quatre faits divers de tisser un récit supposé décrire les turpitudes de la Chine moderne: corruption, autoritarisme, délinquance, prostitution, aliénation par le travail conduisant au suicide (un vrai programme de thèse de socio!).
    Malheureusement, le scénario peine à incarner tout cela dans des personnages crédibles et attachants et une articulation d'évènements attractive (pourtant prix du meilleur scénario à Cannes, on croît rêver...).

    Au filmage, le réalisateur est assez retors et biberonné au cinéma américain de genre pour assurer un vernis "moderne" qu'il pense attractif (montage elliptique de scènes de violence brutales et sanglantes, format scope anamorphique, steadycam qui ne lâche rien, longues focales, profondeur de champ très réduite, décors trash...etc) mais quand il doit filmer des scènes d'intimité, tout s'arrête curieusement pour des face à face statiques aux dialogues pesants et surjoués qui, curieusement, n'alimentent pas le récit.

    Le réalisateur est également assez fine mouche pour donner quelques os à ronger à nos brillants critiques de la presse intelligente (voyez les étoiles, ça a marché!): lourde parabole "poétique" sur la douleur animale assortie d'un dialogue "bien senti" ("...est-ce que les animaux se suicident?") et d'un décoratif et culturé parallèle sur un théâtre traditionnel (Ah, le plan de fin qui nous fait spectateur des spectateurs... Les Inrocks se pâment!).
    Reste, si vous vous ennuyez un peu (ce dont je ne doute pas), un diaporama (assez convenu tout de même) de la chine moderne: un paysage déprimant, perpétuellement enfumé, défiguré par une industrialisation folle et une urbanisation concentrationnaire.
    Mais ça, avec un peu de curiosité, on peut le découvrir partout ailleurs, pas besoin de se coltiner le pensum longuet de Monsieur Zhang Ke...
    Par ailleurs, je ne peux m'empêcher de penser que, si le "cinéma de contestation" chinois c'est ce galimatias tiède, la dictature a encore de beaux jours devant elle (c'est très subjectif, mais pour ma part, je ne parierais pas un Yuen sur la sincérité de ce monsieur).
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 décembre 2013
    Même quand on n'a de la Chine qu'une vision superficielle, la vision du passager occasionnel, on est frappé par la dureté de cette société. Moi, ce qui m'avait étonnée, c'était le nombre d'écrabouillés sur les routes dans l'indifférence générale. Voyez: un pauvre type est allongé par terre à côté de son vélo renversé. Deux passants arrivent "tu le connais, ce mec là?" "Non". Ils passent alors leur chemin...... Pour ne rien dire, mais ça c'est anecdotique, de la façon dont les autochtones vous bousculent -ils vous piétineraient aussi bien- devant l'entrée de la Cité Interdite.....

    Jai Zhang-Ke est le chantre de cette société impitoyable que la "modernité" n'a pas changé -ou, peut être, a empiré. Violence, corruption, exploitation de la femme.... Dans un film presque choral -la liaison entre les quatre histoires, les quatre héros est très ténue- il nous emmène du Nord au Sud, des montagnes arides et glaciales aux grands villes. Il s'est inspiré de faits divers réels, aussi sanglants que sordides, pour tisser son œuvre.

    Ce qui a sûrement le plus empiré dans la vie chinoise, c'est l'existence des mingongs, ces travailleurs migrants qui quittent leur campagne pour trouver un emploi industriel; n'ayant généralement qu'un hukou (droit au déplacement) limité à leur région, ils se retrouvent assimilables à des travailleurs sans papier; ils sont donc infiniment exploitables....

    Comme toujours, l'image de Zhang-Ke est somptueuse. Des paysages lunaires des hauts plateaux à la masse d'usines crachant leur fumée, l'image est composée, cadrée comme si on était en face d'un panoramique.

    La première histoire est sans doute la plus réussie, la plus concise, la plus forte. Dahai (Wu Jiang) travaille dans une mine; lui n'est pas un migrant, il est du village et il sait que le chef de village a vendu la mine autrefois étatisée au privé, une partie des dividendes devant revenir aux villageois.... Depuis, le chef de village, lui, s'est acheté une Audi; les autres villageois n'ont rien vu. Le propriétaire de la mine possède une Maserati..... et un avion privé. Les mineurs sont invités, moyennant un petit cadeau, à aller applaudir le jeune et sémillant propriétaire à sa descente d'avion. Dahai essaye désespérément de secouer ses collègues résignés. Il ose parler au propriétaire, un camarade d'enfance, menaçant de les dénoncer tous en haut lieu. Il se fait tabasser. Alors, il pète les plombs.....

    Le même jour, on a retrouvé les corps de trois jeunes assassinés par balle au col qui surplombe le village. Le spectateur, lui, sait que le meurtrier est le migrant San'er (Wang Baoqiang); les jeunes ont voulu le racketter: ils y ont laissé leur peau. San'er qui est en route vers la fête des soixante dix ans de sa mère est une brute qui traverse le pays sur sa moto en semant les cadavres derrière lui.

    Xiao Yu (Zhao Tao) a un amoureux qui travaille à Canton. Elle comprend qu'il ne quittera jamais sa femme pour elle. Elle est réceptionniste dans un sauna -en fait, une maison de passe; un jour, un client l'importune, refusant de comprendre qu'elle n'est pas une pute. Elle aussi pète les plombs...;

    Enfin, le jeune Xiao Hui (Luo Lanshan) est, lui, typique de la nouvelle génération. Presque un occidental! Il voudrait bien gagner sa vie, sans trop se fatiguer. Jugé responsable de l'accident d'un collègue, il est condamné par le patron.... à prendre sa place et travailler sans salaire tout le temps de l'indisponibilité du collègue, qui recevra le salaire.... Ouais, il y a encore un long chemin avant l'institutionnalisation de la Sécu..... Alors, il s'en va lui aussi sur les routes, un temps serveur dans une de ces maisons de passe luxueuses (voir l'épisode ou ces demoiselles se déguisent pour charmer le client en petites soldates de l'armée rouge, avec mini-boléro sur bustier pigeonnant....) Xiao Hui tombera de plus en plus bas.

    Oui, c'est un constat terrible sur ce pays où une très petite minorité profite, seule, de l'enrichissement national. Ou les pauvres sont de plus en plus pauvres, de plus en plus abandonnés. Et où la violence devient le mode banal d'expression de la révolte....

    Magnifique. A voir absolument. Absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 décembre 2013
    J'ai lu toutes les critiques presse avant d'aller voir ce film et je m'attendais franchement à un film exceptionnel! Je suis partie au bout de 35 minutes...finalement cela confirme la grande tendance actuelle de la critique presse qui se veut très élitiste.
    Archibald T.
    Archibald T.

    19 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    A Touch of Sin suit le destin violent de plusieurs protagonistes à travers le coté obscur de ce pays et qui ne lui en fait pas vraiment une pub.

    Témoignage assez fidèle de la Chine contemporaine, et bien que j'ai préféré "People of sea, People of mountain" passé inaperçu il y a quelques mois, le film reste un bon cru 2013.
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 671 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Film noir, saisissant, une plongée dans la Chine d'en bas, celle des migrations vers les usines du Monde, les dortoirs surchargés, celle de la corruption, des fortunes vite construites...celle de l'arrogance des nouveaux riches ...face à cette violence, quatre histoires inspirées de faits réels, quatre réponses individuelles, quatre illustrations de la lutte de l'individu contre l'oppression dans un environnement hostile.
    Dahai, mineur exaspéré par la corruption des dirigeants de son village, décide de passer à l’action et abat les dits dirigeants. San’er, un travailleur migrant, découvre les infinies possibilités offertes par son arme à feu pour se défendre ou pour s'approprier le bien d'autrui. Xiaoyu, hôtesse d’accueil dans un sauna, est poussée à bout par le harcèlement d’un riche client et le tue. Xiaohui passe d’un travail à un autre dans des conditions de plus en plus dégradantes et choisit le suicide. Reflet d’une société au développement économique brutal de plus en plus gangrenée par la violence. Le scénario est parfois déconcertant avec ces histoires qui s'enchevêtrent , ces personnages qui finissent par se ressembler si bien que l'histoire nous échappe un peu...le cadrage et la photographie sont superbes...il y a du Tarentino chez Jia Zhang Ke...l'hémoglobine coule à flot !!!! et le spectateur le reçoit en plein visage, à couper le souffle...Ce film a obtenu le prix du scénario au dernier festival de Cannes.
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Le ton est donné dès le début: un homme circulant à motocyclette tombe dans une embuscade, il sort une arme et abat froidement les individus qui avaient entrepris de le dépouiller. C'est une Chine sans concession que filme Jia Zhang-Ke, une Chine où la violence sourd de partout et où elle finit par éclater au grand jour. La violence, ce sont d'abord les rapports humains: dans la Chine d'aujourd'hui, livrée au capitalisme le plus brutal, les uns s'enrichissent éhontément sur le dos des autres, se payant des avions pendant que les autres vivotent. La condescendance, le mépris, le rejet, les injustices sont partout. Et pas moyen de se faire entendre, pas moyen d'obtenir justice par des moyens légaux.
    Broyés par ce système inique, des travailleurs bafoués en arrivent au pire: à la violence qu'ils ont subi, ils vont répondre par d'autres formes de violence, plus radicales, plus définitives, le meurtre, les tueries ou le suicide! Jia Zhang-Ke, le réalisateur, s'est inspiré de faits réels survenus récemment dans son pays pour brosser le portrait de quatre individus qui, épuisés, à bout, n'en pouvant plus, en sont arrivés au pire. Quatre itinéraires: quatre humiliés, quatre offensés qui ne supportent plus ce qu'ils ont à subir.
    Filmées avec force, avec passion, mais non sans un certain lyrisme, ces quatre histoires ne peuvent laisser indifférent. Elles interrogent non seulement la Chine et ses inquiétantes dérives, mais tous ceux qui, de par le monde, gagnés par l'ivresse du pouvoir et de l'argent facile, n'éprouvent plus que mépris pour leurs semblables moins favorisés. Les laissés-pour-compte peuvent avoir la fâcheuse idée de se révolter... 8/10
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Lors du festival de Cannes de cette année, le prix du scénario a été décerné à Jua Zhang-Ke pour ce film (dont le titre original est : TIAN ZHU DING). J'en attendais donc beaucoup de celui-ci, et pour le coup, je n'ai pas été déçu ! Le film dessine le portrait d'une Chine en proie à des problèmes sociaux importants. C'est à travers le regard de ces quatre chinois aux destins différents, mais dont la rédemption et la colère les unis, que nous assistons à des dénouements tragiques. La violence physique et morale est fortement représentée et la performance des acteurs est salutaire, tant ils possèdent tous des charismes indéniables. J'ai tout de même une petite réserve concernant la réalisation, qui malgré des plans soignés, utilisent abusivement la mise au point, qui, je trouve, gâche beaucoup la qualité visuelle. En tout cas, ce qui est sur, c'est que le film mérite clairement sa victoire cannoise !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 décembre 2013
    Pas mauvais. Mais honnêtement.. ennuyeux. J'ai eu l'impression d'y passer 4h
    C'est jolie, avec un rythme atypique, une violence à des moments où l'on ne s'y attend pas, un point de vu de la chine rarement abordé. Mais 4 histoires qui n'ont vraiment rien à lien, la violence en chine. Comme Bruce Lee quoi^^!
    2 coups de "pas content" qd même:
    - Le prix du meilleur scénaro!! Oui mais non, Comment un film découpé en 4 histoires indépendantes peut-il avoir une telle récompense!!
    - Les critiques pro unanime. Faut pas pousser. Le film n'est pas mal, mais pas extraordinaire. Si le réalisateur était ricain, auraient-ils écrit la même chose?
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