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    A Touch of Sin
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    229 critiques spectateurs

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    cinono1
    cinono1

    261 abonnés 1 993 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2019
    Interpellé par des faits divers sordide survenus dans son pays, Jia Zhang-Ke a composé un récit à 4 histoires afin de montrer les méfaits du capitalisme sur la Chine contemporaine. Ces 4 histoires ont en commun le poison de l'argent qui aguiche les esprits cupides, donne du pouvoir à des goujats ou fait disparaitre toute conditions morales chez d'autres. La démonstration est implacable, peut-etre trop, le film n'écchappant pas à un coté catalogue, mais il montre l'égoïsme qui sous-tend ce modèle économique et remet en cause les traditions. Le film est composé de plans d'une grand ampleur comme si Zhang-Ke avait voulu radioscoper son pays. Il oppose les traditions à la vitesse d'aujourd'hui au travers de ces plans d'animaux tantot stoïques, tantot en souffrance qui ponctuent les récits.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    188 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2014
    Après "The World" et "Still Life" qui avaient marqué les esprits en conjuguant puissance du documentaire (sur les mutations de la Chine) et grâce de la mise en scène, et après pas mal de documentaires - justement - que j'avoue ne pas avoir vus, Jia ZhangKe revient avec un film encore plus impressionnant, parce qu'il laisse pour la première fois s'exprimer sa rage devant la situation catastrophique dans lequel le peuple chinois se trouve plongé, et qu'il la libère, cette rage, à travers des scènes de violence gore - un tantinet exagérées, mais c'est justement là qu'il s'agit clairement d'un "geste" de metteur en scène. Du coup, "A Touch Of Sin" a été souvent présenté par la critique enthousiaste (à juste titre) comme "Tarantinesque" ou comme un "film de sabre" : personnellement, je me demande un peu où les critiques ont été chercher ça, et s'il ne s'agit pas simplement d'un "truc" pour faire venir les spectateurs "grand public" dans la salle, spectateurs qui en ressortiront forcément déçus (c'était le cas lors de la séance où je suis allé...). Car "A Touch of Sin" est, comme les précédents films de Jia ZhangKe, une oeuvre lente, noire - avec quelques éclats de lumières, aveuglants, mais très brefs -, un pamphlet politique sans appel, une peinture hyper réaliste de la dégénerescence absolue d'une société perdue entre capitalisme sauvage qui broie et corruption communiste qui pourrit. Construit comme une suite de quatre histoires non reliées entre elles (ou si peu), "A Touch Of Sin" s'ouvre par le "sketch" le plus drôle, mais aussi le plus jouissif - puisque les méchants sont punis - et se termine par le plus désespéré, celui du suicide de la jeunesse, ce qui n'est certainement pas un hasard. Avant de se clore vraiment sur une conclusion énigmatique, qui signifie sans doute qu'il y aurait encore une multitude d'histoire aussi dures, aussi fortes à nous raconter. Grand film d'un grand auteur (à la fois scénariste et metteur en scène), mais pas vraiment le film "populaire" annoncé.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    163 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2014
    Superbe entame bien loin des habituelles productions chinoises tapes à l'oeil qui cherchent à rivaliser en action et effets spéciaux à tout prix, le cadre visuel est travaillé et la réalisation prend son temps dans une tension frénétique palpable à l'écran. On peut être déçu du découpage en plusieurs histoires (plus ou moins bien liées) mais la première est juste formidable, tenant à bras le corps selon le film lui-même tant les autres ne lui arrivent pas à la cheville. L'intensité et l'intérêt du film décline au gré des histoires malheureusement trop inégales avec une conclusion assez acerbe sur la vision actuelle de la société chinoise qu'il faut saluer pour un film chinois.
    maxime ...
    maxime ...

    202 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2022
    Tian zhu ding est le deuxième film que je découvre de Jia Zhangke après Er shi si cheng ji, il y'a de cela quelques mois. Encore une fois, il ose embrasser pleinement le social pour en faire défiler ses constantes et tranche avec la radicalité de ses prises de vues, absolument unique, pour moi en tout cas ...

    Jia Zhangke parviens à me faire vivre des expériences de cinéma absolument folle tant il y'a des coupures, des transitions, des changements de tons sous les grands éclats de ses fulgurances, néanmoins, il me faut je l'avoue volontiers m'accrocher !

    L'esthétique des images captivent et repense les contrastes grâce à sa sophistication mis en branle par la brutalité des trajectoires que l'on contemples. La température est prise pour mieux narrer les brides de destins obscurs entre désarroi et revanche, un gout prononcé pour quadrillé la rudesse des conditions de vie de ses personnages sur un fil ... Son réalisateur en appel à la métaphore du bétail en cage, malmené par ses maitres, abattu par convenance. Il témoigne de la violence, avec fracas.

    Comme pour son précédent film, tout ne m'a pas paru forcément très limpide, je me suis paumé dans ses intentions et franchement ça ne m'a pas toujours trop plu ... Je serais toutefois un peu malvenu d'en déduire toute conclusion trop hâtive tant ce film transpire de passion pour son exercice, son Art et transmet ses aspirations sans fine bouche. Un film relevé, élégant sans être trop fort de café, juste un peu inhabituel pour un néophyte.
    Max Rss
    Max Rss

    171 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 juin 2019
    Il est vrai qu'un film adoptant une telle forme a de quoi gonfler. Car, quoi qu'on en dise l'immersion dans une histoire requiert un certain temps. A peine une histoire est-elle finie qu'il faut de nouveau s'immerger dans celle qui suit. Pour ma part, au sortir de ce "A touch of sin", je me fais la réflexion suivante : alors, tout ça pour ça ? Entendons nous bien, ce n'est pas le fait que le film soit divisé en quatre histoires vaguement reliées entre elles qui me dérange. Non, ce qui me dérange c'est leur finalité et surtout leur qualité. Parce que, question qualité, on est quand même loin du compte. Il n'y a que la première histoire qui soit bien. Le mineur, déjà, il a une tronche. En plus de ça, il possède un charisme certain. Le côté justicier lui va bien. Et puis, il a un but qui l'anime tout le long de l'histoire, une conviction. Ce qui fait que, même s'il apparaît comme étant un peu de bas de plafond, on s'identifie à lui, on prend part à son combat. Les trois autres histoires, la limonade n'est plus du tout la même. Elles se résument surtout à ce seul mot : ennui. En effet, les personnages principaux de ces trois histoires sont vides, ne dégagent rien. Ils errent ça et là. Où le vent les pousse. Ils n'ont aucune motivation. Rien. Ce qui fait qu'on se désintéresse totalement de leur chute. Quant à la finalité : nous montrer la face sombre de la Chine contemporaine. Cette Chine si puissante financièrement. On nous dit quoi ? Qu'il y a la corruption, que la violence gangrène la société, que ceux qui vivent dans les terres crèvent de faim. Alors, visiblement, cela a suffi à titiller les ardeurs très sensibles de la censure appliquée par le gouvernement chinois, vu que le film n'est pas sorti en salles là-bas, mais pour le spectateur occidental qui est déjà au parfum de ces fléaux, ça n'a aucun intérêt. C'est lui redire ce qu'il sait déjà. Pour un film dont le coeur même est la critique de la société chinoise, je trouve quand même que la charge contestataire est bien légère. Et puis, m'offrir une demi heure de bien, pour une heure et demi d'ennui ensuite, bof quoi. Je saute pas aux rideaux, loin de là.
    pierre72
    pierre72

    126 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 décembre 2013
    Cette semaine les critiques avaient raison. Ils nous sommaient de nous rendre séance tenante admirer "A Touch of Sin" film chinois dont la sortie semble de plus en plus compromise dans son pays. Le résumé du scénario qui court dans les gazettes laissait entrevoir un film violent et un peu primaire : je suis en colère et je tue les méchants. Réduction tout à fait simpliste au regard de ce qui est sur l'écran.
    La violence est tout à fait présente, omniprésente même, durant les deux heures et quart de projection. Violence physique mais surtout psychologique tant les différents personnages de ces quatre destins dans la Chine libérale d'aujourd'hui sont englués dans un quotidien fait de corruption, de mépris, de misère sociale et d'intolérance. En racontant le parcours de quatre citoyens chinois qui ont été les héros/victimes de faits divers sordides, Jia Zhang-Ke dresse un portrait impitoyable de la Chine actuelle gangrenée par la corruption, le fric roi et les illusions fatales d'un progrès économique qui ne profite qu'à quelques uns. Il nous montre une société prête à exploser. Pour le moment ce ne sont que quelques éclats sporadiques. Mais cet ouvrier minier, ce jeune père obligé de s'exiler pour travailler, cette réceptionniste de sauna ou cet adolescent privé de la moindre attention sont les figures symboliques d'un état de violence latente qui risque de se transformer en guerre civile.
    On pourrait reprocher aux personnages de se livrer gratuitement à leurs instincts meurtriers, mais c'est sans compter le talent du réalisateur qui, ici, fait vraiment oeuvre de cinéaste. La violence qui apparaît un peu gratuite lors du premier récit, se trouve au fur et à mesure, grâce à une narration tout en nuances, non pas justifiée mais expliquée par la pression palpable que subissent les personnages, se trouvant acculés devant un mur infranchissable. La seule solution qu'il leur reste c'est de périr ou de se battre...
    Ce film a obtenu au dernier festival de Cannes le prix du scénario, alors qu'à mon avis le prix de la mise en scène lui aurait mieux sied. Ce que l'on voit à l'écran est tout simplement magnifique. Une succession de plans admirables, tantôt graphiques, utilisant les contrastes de couleur avec art, tantôt intimistes, traquant le moindre frémissement, la plus infime expression, bien plus signifiants qu'un long dialogue. Et comme nous sommes dans l'oeuvre d'un vrai cinéaste, les références sont multiples et posées avec finesse. Le côté western de la première partie précède un discret hommage aux films de sabres chinois (ou le Tarantino de Kill Bill) un peu plus loin.
    La fin sur le blog
    dai72
    dai72

    126 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2014
    Un film assez violent, non pas dans les mots ou les actions mais dans ce que ça sous-entend. Parfois, c'est explicite, parfois non. Des personnages tourmentés, des histoires tourmentées mais à chaque fois la même chose qui est en jeu : la survie. Comme une quête, un chemin semé d'obstacles et dans un pays plein de contrastes comme la Chine, un scénario tel que celui-ci devient plus accrocheur !!
    orlandolove
    orlandolove

    117 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 avril 2014
    Film segmentaire (4 histoires) dont il ressort pourtant une grande cohérence, sorte de western où les paysages urbains brumeux et délabrés remplacent les grands espaces, "A Touch of Sin" capte l'attention par son analyse des dérives morales, sociales et physiques du système chinois. Remarquablement interprété, l’œuvre s'impose également grâce à une mise en scène d'une fluidité exemplaire qui aurait mérité un second prix à Cannes.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2013
    (...

    A travers quatre faits divers réels et violents qui se sont déroulés en Chine, Jia Zhang Ke a construit son nouveau film comme un état des lieux de son pays, en pleine mutation et victime de la corruption et de l'ultra-libéralisme. Ce que les pays occidentaux ont généré d'horreurs en quelques décennies de capitalisme déchaîné, la Chine est déjà en train de les connaître. (...

    Des ouvriers malmenés, humiliés quotidiennement, des femmes bafouées, des migrants méprisés, une jeunesse sacrifiée… c'est tout un panorama de la Chine contemporaine et, au-delà, de notre monde global actuel, que filme Jia Zhang Ke. (...) Le réalisateur ne cède cependant jamais à la violence gratuite et à la thématique facile de la vengeance exaltée.

    ...

    Déroulant pendant deux heures une mise en scène précise et élégante, Jia Zhang Ke livre un film politique sans concession et universel. Un coup de poing.
    John Henry
    John Henry

    99 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 décembre 2013
    A touch of sin, c'est un pamphlet, c'est une démonstration mathématique et scientifique qui démontre que lorsqu'on place nos petits rats dans des situations d'humiliation, de frustration, lorsqu'ils ont le sentiment que le système (ou des forces telluriques supérieures) les broie au profit d'intérêts supérieurs, au profit d'hommes supérieurs, que tout leur passe toujours au-dessus, si ce n'est l'humiliation, si ce n'est la violence, alors le sang coule. Alors la violence se déchaine. Le réalisateur filme 4 petits rats (des hommes ou des femmes chinois) dans ces conditions de laboratoire. Et voilà, sa thèse est confirmée par ces petits bonhommes qui se répandent dans la violence tôt ou tard.

    Voilà pour le volet scientifique. Pour ce qui est du film, moi, j'ai rien vu. Je veux dire : en dehors des expérimentations. Pas de scénario. Pas vraiment de dialogue. Ca me parait paresseux à tous points de vue. Il y a seulement la démonstration, claire, limpide et évidente qu'on tente de nous imprimer dans un coin du cerveau.

    A sauver : un excellent sens de la mise en scène et de l'image.
    halou
    halou

    105 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2014
    Des tranches de vie ordinaire chinoise sombrant dans la violence. Un film poignard et vrai d'une société broyant beaucoup de citoyens au nom de la performance. Le réalisateur apporte un œil aiguisé avec une réalisation épurée mais toujours dans la dénonciation. Des acteurs vraiment bons apportent encore plus de crédibilité.
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2013
    A Touch of Sin est un film paradoxal car Jia Zhang-Ke avoue s'être directement inspiré de plusieurs histoires vraies tragiques et, en même temps, nous donne son oeuvre la plus proche d'un univers fictionnel classique. Après des films difficiles, quasi documentaires et parfois trop arides, A Touch of Sin s'avère son film le plus abouti et la plus accessible. Un film d'une rare force d'évocation qui amène le cinéphile vers un moment d'intense émotion. La force principale du film est sûrement sa mise en scène virtuose mais sans stylisation. De beaux mouvements de caméra pour des travellings majestueux, des images d'une réelle beauté (avec le fait d'avoir trouvé des lieux variés, méconnus avec leur beauté propre) et une fluidité qui permet le passage d'une histoire à l'autre. Il faut aussi noter l'utilisation très fine des couleurs (successivement froides, brumeuses, contrastées et lumineuses). Le cinéaste sait aussi filmer la foule et les visages anonymes à l'expression curieuse, les feux d'artifice et la musicalité des chants. Quatre endroits de la Chine et autant de thématiques : les zones désertiques, les abords polluées d'une grande ville, une ville résidentielle et la mégalopole). Le film repose aussi sur des interprètes inoubliables : en premier Zhao Tao dans le deuxième segment, femme perdue au désespoir total mais dure et Jiang Wu homme désespéré quasi robotique. Ces qualités font vite oublier quelques failles du scénario lors du deuxième segment où le cinéaste semble hésiter. Jia Zhang-Ke montre la violence d'une façon très réaliste sans stylisation. Jia Zhang-Ke s'intéresse aussi aux animaux dans des scènes quasi poétiques. Le premier segment peut, lors de scènes violentes s'inspirer du Parrain et au troisième Haou Sao Sien n'est pas loin. Evidemment, le cinéaste questionne l'état de la Chine actuelle et la désespérance de ses habitants dans des lieux qui font froids dans le dos. Les premières et troisièmes histoires sont des purs chef d'oeuvre. Superbe film qui aurait mérité un des trois premiers prix à Cannes !
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    63 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mai 2020
    Lent, froid, hermétique: A Touch of Sin réunit toutes les caractéristiques du film chinois où, comme souvent, la portée sociétale de l’œuvre est servie par un scénario trop mou et qui manque de précision. Avec pour dénominateur commun la violence, morale et physique, différentes intrigues indépendantes s'enchainent, évoquant une pale copie sous Lexomil d'un Relatos Selvajes. On finit ces deux très longues heures le cerveau aussi embrumé que les paysages hivernaux dans lesquels évoluent les personnages.
    alexdelaforest
    alexdelaforest

    36 abonnés 205 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2014
    Un grand film, le grand film peut-être sur la Chine d'aujourd'hui. Aussi fort que Balzac au XIXème chez nous. Tout est parfait. Jamais on se pense dans une fiction tellement tout est magnifiquement orchestré. La forme ne prend jamais le pas sur le fonds et les acteurs sont au service de l'histoire. A revoir.
    Charles G
    Charles G

    31 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2014
    Véritable témoignage à charge envers la société contemporaine chinoise, A Touch of Sin nous montre la décadence actuelle présente dans le pays le plus peuplé au monde, sous forme de plusieurs pastilles se recoupant parfois. Tantôt politique, tantôt sociétale, tantôt arriviste ou encore simplement pour le goût de l'argent, la motivation qui pousse les gens à la violence, qu'elle soit physique ou morale, n'est qu'un faire-valoir. Car la violence est omniprésente et dépasse toute la bonne volonté que l'humanité peut y mettre, semble dire Jia Zhang Ke. La violence ressort d'autant plus que les décors et la manière dont est filmée cette œuvre sont magnifiques, presque poétiques, avec des tons pastels, des paysages naturels ou industriels grandioses qui semblent écraser toutes ces basses mesquineries du quotidien. Si les images sont choquantes et ont le mérite de sortir de l'ordinaire en dénonçant un aspect méconnu de la vie en Chine, le procédé est un peu répétitif et finit par lasser. Le film a une véritable force mais à trop en faire, il prend le risque de dégouter le spectateur dans trop de noirceur.
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