Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Juliette Chartier
Lav Diaz est à l’origine d’une œuvre hors-norme, par la durée de ses films autant que par la nature de son projet cinématographique, qui dessine un portrait sensible des Philippines. Norte est la voie d’accès idéale à la découverte d’un cinéaste majeur.
Libération
par Julien Gester
Une superbe allégorie de l’histoire de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
Les quatre heures peuvent faire peur. Mais ce film-fleuve hanté par Dostoïevski impressionne par sa densité romanesque, éblouit par son intense beauté formelle et donne envie à ceux qui ne connaissent pas son travail de découvrir l'un des chefs de file du nouveau cinéma philippin (...).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Nicolas Klotz
On n'arriverait pas à toucher la surface de la pellicule de ce film avec la même force que nos regards. Ni à être touchés avec une puissance comparable a la manière dont le film nous regarde.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Jamais peut-être Lav Diaz n’a joué avec un tel luxe de moyens pour rendre compte de l’ampleur chamanique de son ambition de cinéaste.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Cette incroyable épopée s’appuie une confiance de la mise en scène de la durée et parvient à donner au spectateur occidental le sentiment d’avoir ressenti à travers ces deux familles, le destin de tout un pays.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le récit s'édifie par les distances, la pertinence des jeux de caméra, des jeux de focales, ceux du hors-champs. L'achitecture semble refléter une précarité des chaumes quand une belle densité est à l'oeuvre.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce qui frappe d'emblée dans "Norte", c'est la portée historique, ainsi que la parfaite clarté, des débats politiques qu'il met en scène (...).
Les Inrockuptibles
par Luc Chessel
C’est un événement, on n’en sortira pas indemne, c’est un risque à prendre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Élise Domenach
Des amis se déchirent, des parents s’éloignent, une femme raconte ses humiliations en de longues séquences habitées par la force de leurs combats, qui justifient la durée extravagante des fictions et documentaires de Diaz (6 h, 9 h, 11 h, parfois moins). Le temps de s’inscrire dans leurs plaies ouvertes. Sans voyeurisme ni misérabilisme.
Première
par Isabelle Danel
De ce film-fleuve aux images sublimes qui réinvente le temps et la composition des plans, on sort sonné.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murrat
Un destin pas forcément idyllique, puisque chez ce cinéaste contestataire, mais lucide, les mauvais sont punis, sans que les bons soient forcément récompensés. C'est, d'ailleurs, parce que ses personnages ne maîtrisent rien, jamais, qu'il les contemple avec une telle douceur, une telle bienveillance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Dounia Georgeon
Film fleuve, "Norte" impose son rythme grâce à sa mise en scène élégante et précise. Une relecture puissante de Dostoïevski.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Le Philippin Lav Diaz a une qualité : son génie de la mise en scène (...). Un défaut : sa trop grande conscience de son talent (...).
Les Fiches du Cinéma
Lav Diaz est à l’origine d’une œuvre hors-norme, par la durée de ses films autant que par la nature de son projet cinématographique, qui dessine un portrait sensible des Philippines. Norte est la voie d’accès idéale à la découverte d’un cinéaste majeur.
Libération
Une superbe allégorie de l’histoire de son pays.
TF1 News
Les quatre heures peuvent faire peur. Mais ce film-fleuve hanté par Dostoïevski impressionne par sa densité romanesque, éblouit par son intense beauté formelle et donne envie à ceux qui ne connaissent pas son travail de découvrir l'un des chefs de file du nouveau cinéma philippin (...).
Transfuge
On n'arriverait pas à toucher la surface de la pellicule de ce film avec la même force que nos regards. Ni à être touchés avec une puissance comparable a la manière dont le film nous regarde.
Cahiers du Cinéma
Jamais peut-être Lav Diaz n’a joué avec un tel luxe de moyens pour rendre compte de l’ampleur chamanique de son ambition de cinéaste.
Critikat.com
Cette incroyable épopée s’appuie une confiance de la mise en scène de la durée et parvient à donner au spectateur occidental le sentiment d’avoir ressenti à travers ces deux familles, le destin de tout un pays.
L'Humanité
Le récit s'édifie par les distances, la pertinence des jeux de caméra, des jeux de focales, ceux du hors-champs. L'achitecture semble refléter une précarité des chaumes quand une belle densité est à l'oeuvre.
Le Monde
Ce qui frappe d'emblée dans "Norte", c'est la portée historique, ainsi que la parfaite clarté, des débats politiques qu'il met en scène (...).
Les Inrockuptibles
C’est un événement, on n’en sortira pas indemne, c’est un risque à prendre.
Positif
Des amis se déchirent, des parents s’éloignent, une femme raconte ses humiliations en de longues séquences habitées par la force de leurs combats, qui justifient la durée extravagante des fictions et documentaires de Diaz (6 h, 9 h, 11 h, parfois moins). Le temps de s’inscrire dans leurs plaies ouvertes. Sans voyeurisme ni misérabilisme.
Première
De ce film-fleuve aux images sublimes qui réinvente le temps et la composition des plans, on sort sonné.
Télérama
Un destin pas forcément idyllique, puisque chez ce cinéaste contestataire, mais lucide, les mauvais sont punis, sans que les bons soient forcément récompensés. C'est, d'ailleurs, parce que ses personnages ne maîtrisent rien, jamais, qu'il les contemple avec une telle douceur, une telle bienveillance.
aVoir-aLire.com
Film fleuve, "Norte" impose son rythme grâce à sa mise en scène élégante et précise. Une relecture puissante de Dostoïevski.
Studio Ciné Live
Le Philippin Lav Diaz a une qualité : son génie de la mise en scène (...). Un défaut : sa trop grande conscience de son talent (...).