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Mise en scène au cordeau, trajectoire scénaristique implacable, habile saupoudrage d’humour — la mise sens dessus dessous du jardin familial relève du grand art… —, tout participe ici à laisser le spectateur dans un état second.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Comme un Jacques Tati sous acide, Alex van Warmerdam croque un monde aseptisé avec un talent visuel époustouflant avant de le démolir comme un gamin insolent.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
C’est de cette dimension de conte diurne et ensoleillé, où les légendes urbaines voisinent avec les forces primitives de la forêt (avec cette incroyable scène de traque, au début, révélant les caches souterraines où vivent les compères de Borgman), que le film tire son charme si particulier : une sorte d’onirisme à blanc, évaporé, nimbant d’un voile de douceur et de féerie sa chirurgicale mécanique meurtrière.
Un processus absurde poussé à son comble, sur le mode pince-sans-rire dont Van Warmerdam est coutumier. Ce cinéaste, qu’on avait découvert il y a une vingtaine d’années puis oublié, semble avoir trouvé un second souffle en imaginant une sédition sociale aussi sournoise que violente.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Une mise au jour de pulsions secrètes, d’inavouables névroses, de travers tenus cachés, dévoilement dont sa mise en scène toute en transparences, décrochages et surcadrages se fait l’agile révélateur sardonique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dans un théâtre de l'absurde digne du Polanski d'antan, le film joue sur une thématique binaire qu'il attise jusqu'à l'outrance, instaurant un malaise venimeux. (...) Le cinéma néérlandais est décidément aussi rare que stimulant.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Cette comédie fantastique à l’humour corrosif était en compétition au dernier Festival de Cannes. Le cinéaste aurait largement mérité le prix du scénario (...). Insolite, aussi tendu qu’un thriller et chargé d’une cruauté burlesque, « Borgman » exhale sa magie noirwe avec les couleurs d’un arc-en-ciel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
C'est dire si son auteur fait mouche ici et maintenant. On pourra toujours trouver que les symboles sont redondants (...) mais la charge est à la hauteur des hypocrisies et des injustices très actuelles qu'elle dénonce.
Si l'absence de mode d'emplois ou d'explication peut laisser perplexe (...), il est difficile de résister au spectacle étrangement euphorisant de cette cruauté nécessaire.
Le film d'Alex van Warmerdam, entre glacis hanekien et farce surréaliste, s'empêtre dans son dispositif monotone et ses visées cryptiques, mais brille régulièrement par ses visions hallucinées.
Le meilleur de cette comédie stylisée, laconique et noire, où l’absurde rôde, tient à son début qui sait installer une tension rampante (...). Mais une fois cette partie du programme remplie, Van Warmerdam se met à tourner en rond, tombe dans la répétition.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Malgré quelques traits de génie, le propos trop flou, à force de ménager diverses interprétations, échoue à intéresser et encore plus à effrayer son public.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ce film fait penser à Funny Games de Michael Haneke, sans la profondeur. Les scènes de malaise se succèdent, sans réelle pertinence. Le mal est là, on l'a compris. So what?
La critique complète est disponible sur le site Elle
Tant qu’il tient la satire à distance, le film convainc dans une première partie un peu divagante (...) Mais à mesure que le récit progresse, virant au jeu de massacre sardonique, l’effet d’étrangeté s’estompe pour ne plus laisser entrevoir qu’un dispositif mécanique, une démonstration d’originalité criblée d’effets chocs (le running gag des corps jetés au lac) et de symbolisme pesant.
Alex van Warmerdam, même à grand renfort d'humour noir, ne fait pas le poids. Et son esthétisme épuré, entre gris clair et marron foncé, n'a rien de nouveau : tellement années 1990.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
Oeuvre extrêmement maîtrisée sur le plan formel (...) décapante, d'une ironie mordante (...)
Le Parisien
Mise en scène au cordeau, trajectoire scénaristique implacable, habile saupoudrage d’humour — la mise sens dessus dessous du jardin familial relève du grand art… —, tout participe ici à laisser le spectateur dans un état second.
20 Minutes
Comme un Jacques Tati sous acide, Alex van Warmerdam croque un monde aseptisé avec un talent visuel époustouflant avant de le démolir comme un gamin insolent.
Cahiers du Cinéma
C’est de cette dimension de conte diurne et ensoleillé, où les légendes urbaines voisinent avec les forces primitives de la forêt (avec cette incroyable scène de traque, au début, révélant les caches souterraines où vivent les compères de Borgman), que le film tire son charme si particulier : une sorte d’onirisme à blanc, évaporé, nimbant d’un voile de douceur et de féerie sa chirurgicale mécanique meurtrière.
L'Humanité
Un processus absurde poussé à son comble, sur le mode pince-sans-rire dont Van Warmerdam est coutumier. Ce cinéaste, qu’on avait découvert il y a une vingtaine d’années puis oublié, semble avoir trouvé un second souffle en imaginant une sédition sociale aussi sournoise que violente.
Libération
Une mise au jour de pulsions secrètes, d’inavouables névroses, de travers tenus cachés, dévoilement dont sa mise en scène toute en transparences, décrochages et surcadrages se fait l’agile révélateur sardonique.
Mad Movies
Dans un théâtre de l'absurde digne du Polanski d'antan, le film joue sur une thématique binaire qu'il attise jusqu'à l'outrance, instaurant un malaise venimeux. (...) Le cinéma néérlandais est décidément aussi rare que stimulant.
Paris Match
Cette comédie fantastique à l’humour corrosif était en compétition au dernier Festival de Cannes. Le cinéaste aurait largement mérité le prix du scénario (...). Insolite, aussi tendu qu’un thriller et chargé d’une cruauté burlesque, « Borgman » exhale sa magie noirwe avec les couleurs d’un arc-en-ciel.
Positif
C'est dire si son auteur fait mouche ici et maintenant. On pourra toujours trouver que les symboles sont redondants (...) mais la charge est à la hauteur des hypocrisies et des injustices très actuelles qu'elle dénonce.
Première
Si l'absence de mode d'emplois ou d'explication peut laisser perplexe (...), il est difficile de résister au spectacle étrangement euphorisant de cette cruauté nécessaire.
TF1 News
Alex Van Warderman travaille le mystère comme l'imagination, et provoque une fascination vivace, pendant et après la projection.
aVoir-aLire.com
À la croisée du théâtre de l’absurde, de la comédie loufoque et du thriller, ce film inclassable confirme la démarche originale de son auteur.
L'Ecran Fantastique
Un récit cru et presque mythologique.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller néerlandais vaut pour son scénario manipulateur, son atmosphère dérangeante, presque surréaliste, et son humour très noir.
Les Fiches du Cinéma
Le film d'Alex van Warmerdam, entre glacis hanekien et farce surréaliste, s'empêtre dans son dispositif monotone et ses visées cryptiques, mais brille régulièrement par ses visions hallucinées.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le meilleur de cette comédie stylisée, laconique et noire, où l’absurde rôde, tient à son début qui sait installer une tension rampante (...). Mais une fois cette partie du programme remplie, Van Warmerdam se met à tourner en rond, tombe dans la répétition.
Critikat.com
Malgré quelques traits de génie, le propos trop flou, à force de ménager diverses interprétations, échoue à intéresser et encore plus à effrayer son public.
Elle
Ce film fait penser à Funny Games de Michael Haneke, sans la profondeur. Les scènes de malaise se succèdent, sans réelle pertinence. Le mal est là, on l'a compris. So what?
Le Figaroscope
Ce film néerlandais intrigue et amuse au début. Puis, on se lasse de la satire un peu lourdingue.
Les Inrockuptibles
Tant qu’il tient la satire à distance, le film convainc dans une première partie un peu divagante (...) Mais à mesure que le récit progresse, virant au jeu de massacre sardonique, l’effet d’étrangeté s’estompe pour ne plus laisser entrevoir qu’un dispositif mécanique, une démonstration d’originalité criblée d’effets chocs (le running gag des corps jetés au lac) et de symbolisme pesant.
Télérama
Alex van Warmerdam, même à grand renfort d'humour noir, ne fait pas le poids. Et son esthétisme épuré, entre gris clair et marron foncé, n'a rien de nouveau : tellement années 1990.