Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Sarah préfère la course". Ce titre devient l'antenne de ce film singulier, qui affiche avec un peu d'ostentation son minimalisme, son parti pris délibéré de basse intensité, qui fait oublier ces péchés de jeunesse tant ce portrait de jeune fille est achevé, émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Nicolas Bauche
Ce premier film, sa mise en scène flirtant parfois avec la nature morte signent l'arrivée d'une cinéaste à ne plus lâcher d'une semelle.
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Robichaud se soustrait au verbiage mainstream pour toucher à une forme d’extase douloureuse, éminemment sensorielle et mentale, comme son héroïne emportée dans un inlassable marathon que seule la mort pourrait rompre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Carole Milleliri
Dans sa volonté louable de subtilité, Chloé Robichaud dévoile donc la fragilité d’un cinéma trop sage, trop soucieux de bien faire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film se coule dans l’inexprimé de son personnage principal. Son parti pris, tenu de bout en bout, en est aussi la limite. Sa lenteur, en forme de temps suspendu aux indécisions de son héroïne, finit par devenir laborieuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Cet intéressant premier film tente de cerner un mystère sans chercher à le comprendre. Il y parvient grâce à une scénographie très précise, et l'interprétation remarquable de Sophie Desmarais.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un premier film canadien (presque trop) maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Il y a toutefois dans "Sarah préfère la course" trop d’inspirations disséminées, de justesse et de science de ses tensions contenues pour ne pas voir de sa réalisatrice une figure à suivre bien au-delà de ce film où il n’est, du reste, question que d’ajuster son élan et de trouver sa juste cadence - un souffle à soi.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
L'image est grise et ingrate, la mise en scène distanciée, arythmique comme le coeur fragile de son héroïne.
Télérama
par Louis Guichard
La jeune Sophie Desmarais, grave et enfantine, éclaire ce premier film attachant mais un peu tautologique de Chloé Robichaud : Sarah préfère la course, au début, au milieu et à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
"Sarah préfère la course". Ce titre devient l'antenne de ce film singulier, qui affiche avec un peu d'ostentation son minimalisme, son parti pris délibéré de basse intensité, qui fait oublier ces péchés de jeunesse tant ce portrait de jeune fille est achevé, émouvant.
Positif
Ce premier film, sa mise en scène flirtant parfois avec la nature morte signent l'arrivée d'une cinéaste à ne plus lâcher d'une semelle.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
Robichaud se soustrait au verbiage mainstream pour toucher à une forme d’extase douloureuse, éminemment sensorielle et mentale, comme son héroïne emportée dans un inlassable marathon que seule la mort pourrait rompre.
Critikat.com
Dans sa volonté louable de subtilité, Chloé Robichaud dévoile donc la fragilité d’un cinéma trop sage, trop soucieux de bien faire.
La Croix
Ce film se coule dans l’inexprimé de son personnage principal. Son parti pris, tenu de bout en bout, en est aussi la limite. Sa lenteur, en forme de temps suspendu aux indécisions de son héroïne, finit par devenir laborieuse.
Les Fiches du Cinéma
Cet intéressant premier film tente de cerner un mystère sans chercher à le comprendre. Il y parvient grâce à une scénographie très précise, et l'interprétation remarquable de Sophie Desmarais.
Les Inrockuptibles
Un premier film canadien (presque trop) maîtrisé.
Libération
Il y a toutefois dans "Sarah préfère la course" trop d’inspirations disséminées, de justesse et de science de ses tensions contenues pour ne pas voir de sa réalisatrice une figure à suivre bien au-delà de ce film où il n’est, du reste, question que d’ajuster son élan et de trouver sa juste cadence - un souffle à soi.
Première
L'image est grise et ingrate, la mise en scène distanciée, arythmique comme le coeur fragile de son héroïne.
Télérama
La jeune Sophie Desmarais, grave et enfantine, éclaire ce premier film attachant mais un peu tautologique de Chloé Robichaud : Sarah préfère la course, au début, au milieu et à la fin.