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Jean G.
48 abonnés
37 critiques
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4,0
Publiée le 21 avril 2013
Un film très drôle, mais un brin répétitif. Cela dit il n’est pas facile de faire un film sur des flatulences, pourtant le long métrage parvient rester drôle en multipliant les sketchs. Même si ce n’est pas un chef d’œuvre de la comédie ce film fait passer un bon moment à ses spectateurs grâce à son humour absurde, mais souvent hilarant. Les spectateurs les plus aguerris observeront tout de même que derrière son sujet léger, se cache une réelle critique sociétale des Etats-Unis d’Amérique. Il mérite donc d’être vue rien que pour cet aspect. Une chose est sûre « FART : The Movie » Ne mérite pas d’être chroniqué sur nanarland.
Russell à deux passions dans la vie, regarder la télévision et péter…
Il était difficile de faire un titre plus… explicite. Imaginez, un film de 90min intégralement centré sur les flatulences, oui, vous avez bien lu. F.A.R.T. The Movie (1991) est un film à sketchs exclusivement centré sur les pets, les prouts, l’aérophagie, … bref, appelez ça comme vous voudrez. Non seulement ça empeste, mais c’est aussi particulièrement crétin.
Le film met en scène Russell dans sa vie de tous les jours, qui prend un malin plaisir à péter à toute heure du jour et de la nuit. Qu’il soit chez lui, dans la rue, dans l'ascenseur, dans le bus, rien ne l’arrête pour en lâcher une petite ou une grosse, les traces de pneu au fond du slip ne lui font pas peur.
Côté réalisation, c’est tout simplement catastrophique. Ray Etheridge a voulu réaliser un film à sketchs mais quand on n’a pas le talent de John Landis (Hamburger Film Sandwich - 1977), cela s’en ressent tout au long du film. On assiste à une succession de sketchs qui tombent à plat, donnant parfois l’impression d’avoir été écrit par des élèves de primaire. Les sketchs sont entrecoupés par des (très) longs tunnels de dialogues particulièrement ch!ants, le tout, accompagnés par des acteurs amateurs qui surjouent et des gags qui donnent l’impression d’assister à un fourre-tout sans queue-ni-tête. Armez-vous de courage, car le temps ressenti avoisine bien souvent le double, voire le triple de sa durée initiale. Enfin, on pourra s’estimer heureux que le film ne soit jamais sorti en Odorama…
Un profond moment de malaise, d'incompréhension aussi. Découvert sur le site Nanarland, ce film est de loin la plus belle "bouse" que j'ai eu l'occasion de voir. On tombe dans les méandres du cinéma avec ce film, au combien lourd et ridicule. Amateur de sensation forte, tentez l’expérience.
Avouons-le, faut être sacrément... c**, pour proposer une bouse pareille!! Qu'est ce qui s'est passé, il y a des branchements là haut qui se font pas, je sais pas, j'essaie de trouver mais jusque là, je pense que ça relève de la question philosophique ardue, et qu'il faut s'appeler Platon ou Aristote pour parvenir- ou du moins espèrer- parvenir à trouver un jour la réponse. Bon, j'avoue que pas mal de truc m'ont échappé car j'ai regardé le film en VO sans sous-titre, et l'anglais, c'est pas trop mon fort. Mais quand même, faire un film à sketche à la gloire des pets, c'est comme le coups du coussin péteur, une, deux, trois fois à la rigueur, ça va, mais au delà, on frôle l'indigestion et on et on finit par mourir (et pas de rire, je vous le garantie!). Quant je pense que nanarland le classe comme un nanar, là j'hallucine. Je dirais plutôt un navet cosmique, monumental. Ou bien, peut-être que les gens à l'origine de ce film ne sont pas humains...