Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un film lumineux et gorgé de vie, fort d’une énergie presque philosophique où rire et larmes ne font qu’un.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Philippe Trétiack
Il est des films que l'on peut voir et revoir sans jamais s'en lasser. Celui-ci en fait partie. Car les niveaux de lecture s'y empilent. (...) Une maîtrise de l'image et du montage qui impressionne.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
En évitant les clichés et en rejetant tout sentimentalisme, le réalisateur tient jusqu'au bout le fil de l'émotion grâce à une mise en scène à l'image de la vie, faite de moments simples passés en famille et de dilemmes personnels, de fous rires et de larmes (...) Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Hubert Lizé
(...) là où Etienne Chatiliez empruntait la voie royale de la comédie de mœurs, le Japonais Kore-eda explore le chemin bien plus escarpé du mélodrame intime, sur fond d’interrogations profondes sur les liens du sang. Il le fait avec justesse, élégance, sans le moindre pathos émotionnel, et son film est bouleversant du début à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Le cinéaste, plutôt que de labourer mécaniquement le champ du dilemme moral qui s'ouvre devant les deux couples (...), observe les uns et les autres, limite les dialogues et épure peu à peu le propos. (...) La manière distanciée et élégiaque dont le cinéaste évoque des questions essentielles est unique dans le cinéma contemporain.
20 Minutes
par Caroline Vié
Son humour discret comme sa sensibilité [Hirokazu Kore-Eda] sont remarquables dans cette chronique boulerversante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le film échappe avec grâce et humour au schématisme militant.
Critikat.com
par Benoît Smith
Kore-Eda refuse de trancher quoi que ce soit, tâche de maintenir l’équilibre entre d’un côté l’observation acérée des replis sombres du comportement social humain, de l’autre le soulagement rapide de cette noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Chris Huby
Kore Eda poursuit son analyse familiale toujours aussi finement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Michèle Levieux
Avec "Tel père, tel fils", Kore-eda Hirokazu transgresse les classes sociales, opposant de fait une certaine spiritualité à une forme de matérialisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Les images à l’élégance soignée, l’interprétation tout en retenue, les situations abordées en affleurements successifs, la musique de Bach (...) forment une œuvre subtile, intelligemment bouleversante, qui multiplie les possibles en se gardant bien d’asséner des réponses.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
À petits pas, Kore-eda explore la filiation, s'interroge sur la place de l'enfant dans la famille, et tout simplement sur ce qui fait un parent (les gènes ou la transmission ?). Une émouvante fable moderne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Kore-Eda aborde cette constellation de lourdes questions sociétales avec infiniment de tact, de délicatesse, de subtilité, comme s'il parvenait à édifier une cathédrale d'allumettes avec d'épaisses bûches.
Libération
par Gérard Lefort
Leçon d’actualité, sinon de modernité, "Tel père, tel fils" délivre son message subrepticement révolutionnaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
Sur un scénario qui ne manquera pas d'évoquer au public français la comédie "La vie est un long fleuve tranquille", d'Etienne Chatiliez, Hirokazu Kore-Eda s'interroge sur les affres du sentiment paternel en empruntant sa tonalité mélancolique habituelle.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Un beau mélodrame tout en douceur et en cruauté qui (...) révèle la place de l'homme dans une société ne tolérant aucune faiblesse d'âme et, par son élégance et sa discrétion, ne tombe jamais dans un pathos gluant. L'un des plus beaux films de cette fin d'année.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Louis Séguin
Kore-eda parvient à susciter l'émotion sans jamais faire de chantage, et à atterrir sur la piste attendue avec légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télérama
par Samuel Douhaire
L'auteur de "Nobody Knows" reste un grand cinéaste de l'enfance, toujours habile à montrer l'incompréhension douloureuse sur le visage de ses jeunes et attachants comédiens.
aVoir-aLire.com
par Nicolas Lochon
Le récit balisé du long métrage, dans les mains de n’importe quel faiseur, n’aurait donné lieu qu’à un téléfilm basique à peine agréable mais dans les mains du Japonais, l’œuvre se transforme en noble et vibrant film d’auteur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Sur ce canevas un brin théorique et réchauffé digne de La Vie est un long fleuve tranquille, Kore-Eda tisse une chronique douce-amère sensible et émouvante (...). Manque la voix des enfants eux-mêmes qu'on aurait aimé plus vibrante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Kore-Eda, dont le toucher quasi impressionniste en fait un peu l'héritier d'Ozu (...) filme magnifiquement les enfants, comme il l'avait déjà prouvé avec l'implacable Nobody Knows. Le problème, ici, c'est qu'il ne parvient pas vraiment à transcender la caricature.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Des Le Quesnois et Groseille à la japonaise… Hirokazu Kore-Eda filme les enfants, comme dans "Nobody Knows", avec une acuité rare, sensible, touchante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
CinemaTeaser
Un film lumineux et gorgé de vie, fort d’une énergie presque philosophique où rire et larmes ne font qu’un.
Elle
Il est des films que l'on peut voir et revoir sans jamais s'en lasser. Celui-ci en fait partie. Car les niveaux de lecture s'y empilent. (...) Une maîtrise de l'image et du montage qui impressionne.
Le Journal du Dimanche
En évitant les clichés et en rejetant tout sentimentalisme, le réalisateur tient jusqu'au bout le fil de l'émotion grâce à une mise en scène à l'image de la vie, faite de moments simples passés en famille et de dilemmes personnels, de fous rires et de larmes (...) Bouleversant.
Le Parisien
(...) là où Etienne Chatiliez empruntait la voie royale de la comédie de mœurs, le Japonais Kore-eda explore le chemin bien plus escarpé du mélodrame intime, sur fond d’interrogations profondes sur les liens du sang. Il le fait avec justesse, élégance, sans le moindre pathos émotionnel, et son film est bouleversant du début à la fin.
Positif
Le cinéaste, plutôt que de labourer mécaniquement le champ du dilemme moral qui s'ouvre devant les deux couples (...), observe les uns et les autres, limite les dialogues et épure peu à peu le propos. (...) La manière distanciée et élégiaque dont le cinéaste évoque des questions essentielles est unique dans le cinéma contemporain.
20 Minutes
Son humour discret comme sa sensibilité [Hirokazu Kore-Eda] sont remarquables dans cette chronique boulerversante.
Cahiers du Cinéma
Le film échappe avec grâce et humour au schématisme militant.
Critikat.com
Kore-Eda refuse de trancher quoi que ce soit, tâche de maintenir l’équilibre entre d’un côté l’observation acérée des replis sombres du comportement social humain, de l’autre le soulagement rapide de cette noirceur.
Ecran Large
Kore Eda poursuit son analyse familiale toujours aussi finement.
L'Humanité
Avec "Tel père, tel fils", Kore-eda Hirokazu transgresse les classes sociales, opposant de fait une certaine spiritualité à une forme de matérialisme.
La Croix
Les images à l’élégance soignée, l’interprétation tout en retenue, les situations abordées en affleurements successifs, la musique de Bach (...) forment une œuvre subtile, intelligemment bouleversante, qui multiplie les possibles en se gardant bien d’asséner des réponses.
Les Fiches du Cinéma
À petits pas, Kore-eda explore la filiation, s'interroge sur la place de l'enfant dans la famille, et tout simplement sur ce qui fait un parent (les gènes ou la transmission ?). Une émouvante fable moderne.
Les Inrockuptibles
Kore-Eda aborde cette constellation de lourdes questions sociétales avec infiniment de tact, de délicatesse, de subtilité, comme s'il parvenait à édifier une cathédrale d'allumettes avec d'épaisses bûches.
Libération
Leçon d’actualité, sinon de modernité, "Tel père, tel fils" délivre son message subrepticement révolutionnaire.
Première
Sur un scénario qui ne manquera pas d'évoquer au public français la comédie "La vie est un long fleuve tranquille", d'Etienne Chatiliez, Hirokazu Kore-Eda s'interroge sur les affres du sentiment paternel en empruntant sa tonalité mélancolique habituelle.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TF1 News
Un beau mélodrame tout en douceur et en cruauté qui (...) révèle la place de l'homme dans une société ne tolérant aucune faiblesse d'âme et, par son élégance et sa discrétion, ne tombe jamais dans un pathos gluant. L'un des plus beaux films de cette fin d'année.
Transfuge
Kore-eda parvient à susciter l'émotion sans jamais faire de chantage, et à atterrir sur la piste attendue avec légèreté.
Télérama
L'auteur de "Nobody Knows" reste un grand cinéaste de l'enfance, toujours habile à montrer l'incompréhension douloureuse sur le visage de ses jeunes et attachants comédiens.
aVoir-aLire.com
Le récit balisé du long métrage, dans les mains de n’importe quel faiseur, n’aurait donné lieu qu’à un téléfilm basique à peine agréable mais dans les mains du Japonais, l’œuvre se transforme en noble et vibrant film d’auteur.
Paris Match
Sur ce canevas un brin théorique et réchauffé digne de La Vie est un long fleuve tranquille, Kore-Eda tisse une chronique douce-amère sensible et émouvante (...). Manque la voix des enfants eux-mêmes qu'on aurait aimé plus vibrante.
TéléCinéObs
Kore-Eda, dont le toucher quasi impressionniste en fait un peu l'héritier d'Ozu (...) filme magnifiquement les enfants, comme il l'avait déjà prouvé avec l'implacable Nobody Knows. Le problème, ici, c'est qu'il ne parvient pas vraiment à transcender la caricature.
Franceinfo Culture
Des Le Quesnois et Groseille à la japonaise… Hirokazu Kore-Eda filme les enfants, comme dans "Nobody Knows", avec une acuité rare, sensible, touchante.