Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Loin d’un cinéma de bruit et de fureur, ce faux polar offre de vrais moments d’émotion et de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film tout en lenteur et avare de mots, mais qui en dit beaucoup sur l’identité, la filiation, l’homosexualité.
Le Parisien
par Hubert Lizé
Niels Arestrup est impeccable dans ce road-trip provincial plein de réalisme. Et c'est avec plaisir qu'on découvre une Emma de Caunes très crédible dans un registre grave inhabituel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Beau premier fillm, empli d'un silence éloquent. Sur le sable, un cinéaste est né.
Libération
par Alexandra Schwartzbrod
Mais ce serait dommage de réduire l'étonnant charme de ce film à ce duo d'acteurs. Ce serait oublier le silence, qui en est le héros principal.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eric Derobert
"La Dune" atteint cet état où n'importe quel mouvement de caméra, n'importe quel dialogue se densifie tout seul, presque indépendamment de son contenu. Le résultat visuel s'avère économiquement poétique. Mais davantage encore, c'est le jeu d'acteurs qui bénéficie de ce rythme singulier.
L'Express
par Sandra Benedetti
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si "La Dune" capte l’attention avec ses commencements successifs et l’intrigue qui se dessine, l’essentiel est ailleurs, dans une grâce ténue et entêtante. Un film riche et sensible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Une bonne occasion de revoir Niels Arestrup enfin décidé à s'extirper des misérables cripeaux du polar à la française.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Cette réflexion d'une grande intelligence autour de la quête du père et donc de soi, aussi subtile que structurée, séduit autant qu'elle embarque. L'ensemble est porté par un Niels Arestrup magistral.
Première
par Christophe Narbonne
Le duo Niels Arestrup - Lior Ashkenazi est parfait, mais c'est la performance discrète de Guy Marchand en homme de l'ombre bienveillant que l'on retient.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Un polar en charentaise sympathique et goguenard.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Ce film prend tout son temps (...). Presque trop, au point de se diluer, par moments, entre étapes inutiles et errements silencieux. Mais cette lenteur singulière permet au réalisateur de développer deux beaux portraits masculins.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Un film à l’atmosphère mystérieuse, dont le charme vient essentiellement de ses moments en creux, de ses silences qui en disent long et de cette volonté de s’affranchir d’un genre balisé pour toucher à l’intime. Le tout n’est certes pas exempt de maladresses.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Si le film semble d'abord évoluer vers l'épure d'intriguants rivages existentiels, il retombe peu à peu dans les ornières neurasthéniques et prévisibles d'un drame social engourdi.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
À part découvrir Niels Arestrup et Guy Marchand en vieux couple plein de tendresse l'un pour l'autre, rien de très ébouriffant dans ce puzzle interminable, semé de silences et d'évidences.
20 Minutes
Loin d’un cinéma de bruit et de fureur, ce faux polar offre de vrais moments d’émotion et de cinéma.
Le Dauphiné Libéré
Un film tout en lenteur et avare de mots, mais qui en dit beaucoup sur l’identité, la filiation, l’homosexualité.
Le Parisien
Niels Arestrup est impeccable dans ce road-trip provincial plein de réalisme. Et c'est avec plaisir qu'on découvre une Emma de Caunes très crédible dans un registre grave inhabituel.
Les Inrockuptibles
Beau premier fillm, empli d'un silence éloquent. Sur le sable, un cinéaste est né.
Libération
Mais ce serait dommage de réduire l'étonnant charme de ce film à ce duo d'acteurs. Ce serait oublier le silence, qui en est le héros principal.
Positif
"La Dune" atteint cet état où n'importe quel mouvement de caméra, n'importe quel dialogue se densifie tout seul, presque indépendamment de son contenu. Le résultat visuel s'avère économiquement poétique. Mais davantage encore, c'est le jeu d'acteurs qui bénéficie de ce rythme singulier.
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
Si "La Dune" capte l’attention avec ses commencements successifs et l’intrigue qui se dessine, l’essentiel est ailleurs, dans une grâce ténue et entêtante. Un film riche et sensible.
La Voix du Nord
Une bonne occasion de revoir Niels Arestrup enfin décidé à s'extirper des misérables cripeaux du polar à la française.
Les Fiches du Cinéma
Cette réflexion d'une grande intelligence autour de la quête du père et donc de soi, aussi subtile que structurée, séduit autant qu'elle embarque. L'ensemble est porté par un Niels Arestrup magistral.
Première
Le duo Niels Arestrup - Lior Ashkenazi est parfait, mais c'est la performance discrète de Guy Marchand en homme de l'ombre bienveillant que l'on retient.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Un polar en charentaise sympathique et goguenard.
Télérama
Ce film prend tout son temps (...). Presque trop, au point de se diluer, par moments, entre étapes inutiles et errements silencieux. Mais cette lenteur singulière permet au réalisateur de développer deux beaux portraits masculins.
aVoir-aLire.com
Un film à l’atmosphère mystérieuse, dont le charme vient essentiellement de ses moments en creux, de ses silences qui en disent long et de cette volonté de s’affranchir d’un genre balisé pour toucher à l’intime. Le tout n’est certes pas exempt de maladresses.
Le Monde
Si le film semble d'abord évoluer vers l'épure d'intriguants rivages existentiels, il retombe peu à peu dans les ornières neurasthéniques et prévisibles d'un drame social engourdi.
Le Journal du Dimanche
À part découvrir Niels Arestrup et Guy Marchand en vieux couple plein de tendresse l'un pour l'autre, rien de très ébouriffant dans ce puzzle interminable, semé de silences et d'évidences.