Ce ne sont pas les vacances du petit Nicolas mais les vacances des parents du petit Nicolas. Résultat: mes enfants se sont ennuyé, personne n'a ri dans la salle et pour les parents, 1h30 de calvaire. Courage, fuyez!
Dans la veine d'un premier film très réussi (s'inspirant également du dernier Ducobu), ces vacances nous ramènent dans la France des 60's et de ses congés payés au bord de la mer. Un groupe de gamins amusants, des adultes tout aussi omniprésents, de bons gags et un visuel d'antan pour un film qui satisfera petits et grands.
un film médiocre, un humour nul, une histoire à dormir debout, des blagues désolantes d'inventivité à absolument pas voir sauf si vous avez rien de mieux à faire !
j'ai aimé l'ambiance rétro qui rappelle avec bonheur les films de tati , j'ai aimé les enfants qui sont trés bons ( le petit qui pleure tout le temps , la petite aux yeux inquiétants en particulier ) j' ai aimé bouli lanners comme toujours excellent . je n'ai pas aimé le fait que l'on ne rit pas souvent , je n'ai pas aimé valérie lemercier qui nous fait son numéro habituel ( regardez comme je suis bien dans mon corps de sportive ! ) au cours d'une danse longuette et inutile , je n'ai pas aimé que l'on dérange daniel prévost , françois-xavier demaison , francis perrin acteurs excellents pour leur faire jouer les utilités ( pour embellir le générique ? ) donc au final un film moyen ni bon ni mauvais .
Film extrêmement mal joué par tous les seconds rôles, malgré pas mal de bons gags, le scenario méritait d'être un peu mieux travaillé. Montage mediocre.
"Les Vacances du Petit Nicolas" (le film) est un bon divertissement familial, qui profite pleinement de sa sortie estivale pour apporter une légèreté et une fraîcheur un brin désuète, idéale en ce début de juillet. Même si le film apporte plus de sourires que d'éclats de rire, il plaira aux plus jeunes et à leurs accompagnants plutôt ouverts à ce genre de spectacle. La réalisation est un peu poussive mais la reconstitution et les décors donnent un certain charme à l'ensemble. Les comédiens jouent leur joli cachet à minima, mention spéciale à Kad Mérad face à Valérie Lemercier un peu éteinte, bonus pour Dominique Lavanant, et questionnement sur l'intérêt de la présence inutile de F. Perrin et F.X. Demaison. Problèmes: Laurent Tirard et ses scénaristes ont-ils lu le livre homonyme de Goscinny et de Sempé? Aucune des aventures ou péripéties de Nicolas ne transparaît dans l'histoire inspirée, disons clairement, inventée par Tirard et son équipe: quel intérêt de reprendre le titre du livre si on en vide totalement son contenu ???? De plus, ce film s'obstine à donner la part belle aux parents de Nicolas, en les embarquant vers des situations souvent absurdes (la mère du Petit Nicolas qui se destine à une carrière d'actrice ???), totalement inventées, au détriment du héros qui est pourtant cité dans le titre, qui est le personnage central de chaque livre de Goscinny et Sempé, et qui apparaît comme un faire-valoir dans ce film qui s'égare constamment vers des personnages secondaires. Bafouer l'oeuvre original sans lui apporter un plus est regrettable, d'autant que les multiples bouquins auraient pu fournir de multiples anecdotes sans devoir les imaginer ou les re-confectionner (le personnage d'Isabelle et des aventures qui en régissent sont un mix de plusieurs personnages ou situations de différents bouquins). Entre plagiat et re-chauffage de restes, la cuisine de L. Tirard a un goût amer. Et pour sublimer son plat, il serait bien de se rappeler que n'est pas Goscinny qui veut !!! Pas "chouette", donc.
une suite sans la petite sœur qui a disparu mais avec la grand mère ridicule. quelques moments drôles mais l'ensemble est très moyen. heureusement les enfants naturels qui sauvent de la noyade.
Dés le générique, Laurent Tirard nous annonce qu'il va nous montrer une France de carte postale. Seulement, n'est pas Jean-Pierre Jeunet qui veut et les couleurs criardes n'ont jamais créé une quelconque poésie. Mais le pire reste que le réalisateur du dernier Astérix se contente d'empiler une série de gags, de sketchs sans donner la moindre structure à son récit.