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    La fille du 14 juillet
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    122 critiques spectateurs

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    Vinz1
    Vinz1

    186 abonnés 2 449 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2016
    Un film singulier à la lisière du cinéma de Mouret (pour le marivaudage) ou de celui d'Abel et Gordon (pour le côté poétique et loufoque) avec un univers décalé complètement surréaliste. Les personnages sont tous déjantés (le docteur Placenta en tête !) mais pour la plupart attachants. Mais attention, cela ne conviendra pas à tout le monde car ce côté second degré permanent peut en agacer plus d'un. En tout cas, ce fut pour moi, une une sympathique découverte.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 188 abonnés 5 196 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 septembre 2016
    Un film d'été qui se déguste comme un rosé pas frais. Certes décalé mais insupportable et ennuyeux. Les acteurs ne sont pas intéressants et on se lasse trop vite de ce ton loufoque et grotesque. Assez pénible.
    soulman
    soulman

    92 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juillet 2016
    Du cinéma en liberté, truffé d'un humour décalé et de clins d’œil (au propre comme au figuré). Vimala Pons est formidable et si certains personnages restent superficiels, la comédie prend tournure pour les spectateurs en quête de douce folie.
    vivilenono
    vivilenono

    32 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juillet 2016
    Très belle comédie mêlant un humour psychédélique et amour de vacances. Le rythme est bon, parfois trop !
    Le réalisateur fidèle à sa bande d'acteur fétiche (V.Macaigne & Vimala Pons) nous conte cette romance inattendue entre un gardien de musée et une fille hédoniste.
    Mention spéciale à la musique, le 6 ème être de ce film hors norme, elle est tantôt douce, puis Jazzy ou encore folle.

    Bon film
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Le meilleur film français de tous les temps, à condition d'aimer l'absurde et l'humour hyper décalé ! Le jeu d'acteur est dingue.
    Matthias T.
    Matthias T.

    46 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2016
    "La fille du juillet" ressemble un peu à une enfilade de sketches, mais, néanmoins, un vent de fraîcheur salutaire souffle sur l'ensemble et en fait une comédie bien supérieure à la moyenne.
    Romain Z
    Romain Z

    13 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2016
    En ces temps ou le délire sécuritaire et anxiogène d'une société à l'agonie sature notre horizon,la vision de ce film n'offre rien moins qu'une inespérée goulée d'air pur, poétique et Libertaire qui n'est pas sans rappeler ces films bricolés de l'Apres-Mai dont "l'An 01" de Doillon constituerait l'incontestable manifeste. A consommer sans modération !
    landofshit0
    landofshit0

    278 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 janvier 2016
    L’ouverture du film fait penser aux films de De funès avec sa musique joyeuse et entrainante,l'apparition de Sarkozy en président dans un costume trop grand pour lui renforce cette impression. C'est certainement volontaire de débuter ce film comme ça,mais le ton ne sera pas celui d'un De funès. On est plutôt dans un absurde façon Bruno Podalydès. Le film est remplit de petits gags drolatiques c'est ce qui rend le film attachant,il faut avouer que la drôlerie ne fonctionne pas à tous les coups. La fille du 14 juillet est un petit film sympathique à l’histoire ultra simple,tout comme la réalisation qui est sans relief. La mise en image est peu travaillée pour un rendu souvent laid.
    Aymeric Defosse
    Aymeric Defosse

    10 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 août 2015
    Redéfinir le kitsch, revisiter le temps, réinventer le subversif, tels sont les enjeux artistiques de cette charmante comédie d'été parfumée aux films de Jacques Rozier et Éric Rohmer.
    Acidus
    Acidus

    736 abonnés 3 720 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 avril 2015
    "La fille du 14 juillet" est une comédie originale qui change assurément des comdies françaises populaires envahissant nos écrans. Cependant, originalité n'est pas synonyme de qualité et si le personnage du docteur Placenta est à mourir de rire, le reste demeure plutôt fade. La plupart des gags sont faciles ou au contraire partant dans un délire excluant le spectateur. Le scénario propose quelques scènes loufoques mais auxquelles on n'accroche qu'occasionnellement avec un univers parfois proche du "Buffet Froid" de Bertrand Blier... en plus sage. Les idées sont bien là mais n'ont pas assez mûri pour en faire un bon film et l'on a plutôt le sentiment d'un projet inabouti.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2015
    La fille du 14 juillet est une comédie non conventionnelle. Le film joue dans le burlesque. Les personnages sont drôles et déjantés. Le scénario est nullement prévisible et chaque seconde est un plaisir. Pourtant la structure hors du commun fait parfois perdre le fil à l’attention. Le naturel l’emporte cependant et l’originalité de ce premier long-métrage de Peretjatko fait de La fille du 14 juillet, un projet à voir.
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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 septembre 2014
    Ce film a un truc et une Truquette, féminin de truc et demoiselle brune protagoniste Vimala Pons, qui ont un charme fou.

    Ce qui me plait énormement ce sont ces dialogues qui semblent improvisés la plupart du temps, ainsi que cette légèreté entretenue si efficacement. L’empathie fonctionne à fond pour les hommes, comment ne pas vouloir partir en vacances avec la blonde et la brune, fantasmes absolus. Deux allusions à Godard en prime que sont ce machisme peu insistant « à l’ancienne » de montrer des jolies jeunes femmes exposées mais pas trop et cette voix off désabusée ou neutre selon comme on l’interprète qui donne au cinéma un cachet. Pour autant, n’imaginez pas que vous verrez un chef d’oeuvre ou l’amorce d’une nouvelle Nouvelle vague.

    Antonin Peretjatko désamorce la bombe du spectacle dès les premières minutes et instaure la tolérance chez le spectateur. Il réussit à nous faire sourire de blagues plutôt ratées, et à nous faire marrer lors de situations burlesques: le gag couperet par exemple, qui condamne les plus intolérants d’entre nous est d’un parti pris jouissif...
    Gonnard
    Gonnard

    248 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 août 2014
    Film qui se veut atypique par son scénario irréaliste, ses personnages complètement barrés ainsi que ses dialogues venus d'une autre planète. Mais ces éléments, si rafraîchissants quand ils sont pris individuellement, sont maladroitement associés. La réalisation décousue et le rythme mollasson ternissent les espoirs initiaux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 août 2014
    Farfelu, décalé, pittoresque et un effet foutraque totalement assumé. Pour son premier long métrage, Antonin Peretjako nous livre une comédie pleine de fantaisie sur fond d’actualité bien sentie.Nous voici donc embarqués dans ce « road movie » d’un autre genre, où nous croisons Truquette, jeune diplômée qui cherche du travail mais qui n’a pas de logement, et qui ne peut pas s’inscrire au Pôle emploi sans logement et qui ne peut pas se loger sans travail et qui s’improvise marchande de guillotines de poche le jour de la fête nationale pour se payer des vacances (vous suivez?) ; le Dr Placenta, en cavale dans sa delorean futuriste depuis que la police a découvert qu’il pratiquait la médecine sans être diplômé, et dont l’un des passetemps est d’endormir son fils à coup de balles au chloroforme ; le jeune Hector, un gardien de musée au coeur amoureux ; Pator, le poète aux cheveux gras ; Charlotte, la belle blonde dont le frère lourdaud va s’enticher de Truquette la brunette et compromettre une histoire d’amour naissante…Qualifié de « film de départementales » par le réalisateur – qui ajoute : « si j’avais fait un blockbuster, les personnages auraient pris l’autoroute » -, La Fille du 14 juillet affiche sa bonne humeur communicative, revendique son style désuet, prend des airs de joyeux foutoir, s’entoure de personnages follement singuliers et nous régale de moments savoureux rythmés par des répliques truculentes (citons cette tentative de séduction des plus élégantes du frérot pataud qui lâche avec conviction à la pauvre Truquette : « Tu es craquante et légère comme une chips »).Le meilleur remède anti-crise qui ait été filmé. A voir sans modération!
    Le comptoir du cinéphage
    Le comptoir du cinéphage

    28 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2014
    Sur les conseils d'un bon ami, j'ai regardé hier en DVD le film d'Antonin Peretjatko, le délicieusement barré La fille du 14 Juillet. Quand ce long métrage était sorti au cinéma, je n'y croyais pas du tout. Ça avait l'odeur d'une comédie faussement fofolle sous influence nouvelle vague, un truc d'auteur français bourré de références à des films chiants. La fille du 14 juillet, c'est un film d'auteur, c'est influencé par la nouvelle vague, c'est bourré de références à des films chiants, mais oh surprise, c'est tout sauf assommant. Le film de Peretjatko, c'est un OFNI qui redonne foi en la comédie française, tout simplement.

    Quand on réalise un premier long métrage, on tombe souvent dans le travers de vouloir trop en faire. On ne sait jamais si on aura la chance de réaliser un deuxième film, donc on bourre son premier long de tous les sujets qui nous tiennent à cœur. Une première œuvre est donc souvent boursouflée, pleine de bonnes intentions et souvent bancale. Le miracle de La fille du 14 juillet tient dans le fait que son réalisateur a saturé son film de références et qu'il en a tiré un film aérien, léger, drôle et lumineux. Les influences sont légions : L'écume des jours de Boris Vian pour la présence de nombreux gadgets poétiques (dans le livre le piano cocktail et dans le film le pistolet à balles de chloroforme), la gestuelle à la Tati, le cadrage François Truffesque, les apartés face caméra Jean Luc Godard style, du De Funès version gendarme de St Tropez, du Eric Rohmer tendance Pauline à la plage, l'humour des Hots Shots etc etc etc....Un vrai plaisir de cinéphile.

    En règle général, les films français qui s'inspirent de la nouvelle vague sont prétentieux, fiers d'être intello et ennuyeux à mourir. Je pense notamment à Christophe Honoré et ses longs métrages comme Dans Paris ou La belle personne. Bertrand Bonello également avec son intéressant mais tellement chiant Le pornographe. Antonin Peretjatko assume totalement ces "influences cahiers du cinéma" en livrant un film d'une drôlerie incomparable. C'est le deuxième miracle du film. La scène du repas chez le docteur Placenta est un moment d'anthologie. Ça faisait très longtemps que je n'avais pas pleuré de rire devant un film. Le cinéaste retrouve le côté ludique du médium cinématographique. On peut très bien commencer une discussion dans un bar et la terminer dans un musée par un faux raccord du tonnerre. Bah ouais, on est libre avec le cinéma en fait. On est pas obligé d'être linéaire, crédible, sérieux. Peretjatko se réapproprie les codes de la nouvelle vague avec une vraie vitalité, avec un sens du comique parfait et une invention de tous les instants. Je crois qu'il y a bien une idée géniale à la seconde dans ce film. Le truc qui est beau quand même, c'est que le réalisateur puise son inspiration autant du côté populo que du côté intello. Moi ça me plaît grave. Ça doit être un mec bien cet Antonin, j'en suis sûr...

    Et puis comment ne pas parler du message du film : En temps de crise, ou la loi du plus fort règne, La fille du 14 juillet nous dit de tout plaquer, de prendre une bagnole et d'aller sur la plage avec des potes, de bien bouffer, de bien boire, d'être amoureux et de profiter de chaque instant de la vie. Un esprit soixante-huitard fort agréable et pas énervant pour un rond. Ouais, parce que les mecs peace and love en 2014, on a juste envie de les frapper en général.
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