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"La Fille du 14 Juillet" n’est pas un brûlot économique ou politique, juste une comédie singulière et craquante avec son côté marabout de ficelle, ses écarts surréalistes et ses digressions poétiques.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Non seulement le film est une réussite réjouissante, mais il continue d’avancer sur un territoire essentiellement déserté par le cinéma français récent, à l’exception de Quentin Dupieux : celui de la comédie non naturaliste.
C’est le privilège des très bonnes comédies burlesques de n’appartenir qu’à un espace exclusivement visuel qui se passe presque de dialogues et totalement d’explications.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Artificier virtuose, Peretjatko a une manière unique de faire dérailler ses scènes – raccrochant les wagons comme on s’arrimerait à un avion en chute libre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Antonin Peretjatko lance un premier long métrage au moteur vrombissant à l'assaut d'une époque léthargique et frigide. Et même s'il finit par tourner un peu en rond, ça défoule !
Les aventures de Truquette et de sa bande de copains foutraques, au coeur d'un été comme on les rêve, mélange de poésie décalée et hommage à la liberté de la Nouvelle Vague.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Les comédiens en goguette et la narration foutraque proche du film-à-sketches contribuent au charme de cette virée dandy et érudite, pleine de sens et d'énergie, où les personnages voyagent pour fuir la morosité et la mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
"La fille du 14 juillet" est un film frondeur (...) ; l'impression qui domine (...) est celle d'un film fait à la main, donnant à ses personnages ce qui les rend si beaux : leur fragilité.
Peretjatko n'inscrit finalement son film nulle part, c'est une sorte de fumée temporelle sans territoire, un alignement de boules à neige qui se secouent les unes après les autres.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) Je ne suis pas certain que ce premier film français n’apparaisse pas chichiteux comparé aux chefs-d’œuvre que l’on vient de citer. Mais, pour le reste, il s’agit d’une sympathique comédie qui surfe sur la crise actuelle (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le film vagabonde et distille un charme indéniable, nourri à la poésie barrée et à l’humour baroque (...). Mais ces intentions, fussent-elles excellentes, ne se concrétisent ici que partiellement, en raison de l’absence vite cruciale de scénario dans le moteur de cette balade.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'abattage de Vincent Macaigne, qu'on avait préféré chez Guillaume Brac (...), et le soin maniaque des détails inutiles se retournent contre le film en apportant lourdeur et artifice à ce qui se voudrait un appel à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
"La Fille du 14 Juillet" n’est pas un brûlot économique ou politique, juste une comédie singulière et craquante avec son côté marabout de ficelle, ses écarts surréalistes et ses digressions poétiques.
Cahiers du Cinéma
Non seulement le film est une réussite réjouissante, mais il continue d’avancer sur un territoire essentiellement déserté par le cinéma français récent, à l’exception de Quentin Dupieux : celui de la comédie non naturaliste.
Elle
Derrière la légèreté d'une comédie d'été se profile la stature d'un réalisateur ambitieux au premier film enthousiasmant.
Libération
C’est le privilège des très bonnes comédies burlesques de n’appartenir qu’à un espace exclusivement visuel qui se passe presque de dialogues et totalement d’explications.
Critikat.com
Artificier virtuose, Peretjatko a une manière unique de faire dérailler ses scènes – raccrochant les wagons comme on s’arrimerait à un avion en chute libre.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Monde
C'est un film (...) débraillé pour retrouver l'envie d'aimer ; un film libre, tout simplement.
Les Fiches du Cinéma
Antonin Peretjatko lance un premier long métrage au moteur vrombissant à l'assaut d'une époque léthargique et frigide. Et même s'il finit par tourner un peu en rond, ça défoule !
Les Inrockuptibles
Tout va et vient dans une sorte de road-movie endiablé où la poésie naît de sa fuite.
Marianne
Les aventures de Truquette et de sa bande de copains foutraques, au coeur d'un été comme on les rêve, mélange de poésie décalée et hommage à la liberté de la Nouvelle Vague.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Les comédiens en goguette et la narration foutraque proche du film-à-sketches contribuent au charme de cette virée dandy et érudite, pleine de sens et d'énergie, où les personnages voyagent pour fuir la morosité et la mélancolie.
Transfuge
"La fille du 14 juillet" est un film frondeur (...) ; l'impression qui domine (...) est celle d'un film fait à la main, donnant à ses personnages ce qui les rend si beaux : leur fragilité.
Chronic'art.com
Peretjatko n'inscrit finalement son film nulle part, c'est une sorte de fumée temporelle sans territoire, un alignement de boules à neige qui se secouent les unes après les autres.
L'Humanité
(...) Je ne suis pas certain que ce premier film français n’apparaisse pas chichiteux comparé aux chefs-d’œuvre que l’on vient de citer. Mais, pour le reste, il s’agit d’une sympathique comédie qui surfe sur la crise actuelle (...).
Première
Sur la durée (...), la balade s'essouffle. On s'amuse encore un peu, mais on s'ennuie aussi.
TéléCinéObs
Le film vagabonde et distille un charme indéniable, nourri à la poésie barrée et à l’humour baroque (...). Mais ces intentions, fussent-elles excellentes, ne se concrétisent ici que partiellement, en raison de l’absence vite cruciale de scénario dans le moteur de cette balade.
Positif
L'abattage de Vincent Macaigne, qu'on avait préféré chez Guillaume Brac (...), et le soin maniaque des détails inutiles se retournent contre le film en apportant lourdeur et artifice à ce qui se voudrait un appel à la liberté.
Télérama
Gags qui tombent à plat, pastiches patauds... Peretjatko a le sens du rythme, mais sa mécanique comique finit par tourner à vide.