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    La Danza de la Realidad
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    3,8
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    78 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 janvier 2014
    Bel essai cinématographique, mais parfois un peu trop sûr de lui et des formes qu'il propose, ce qui est la force de Jodorowsky mais aussi son talon d'Achille. Le film reste quand
    même l'un des plus beaux de cette année, avec un souffle lyrique et poétique sensible.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    A fuir !!! Ne perdez pas votre temps et votre argent car vous partirez au bout de 20 a 30 mn et si vous tenez plus alors "chapeau"
    :-) A fuir !!! Ne perdez pas votre temps et votre argent car vous partirez au bout de 20 a 30 mn. Si vous tenez plus chapeau :-)
    labellejardinière
    labellejardinière

    90 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2013
    Un vrai/faux film de souvenirs, où la métaphore et l'imagination remplacent le "réalisme", - quand la "réalité" "danse". La trame est linéaire, mais les épisodes souvent déroutants. C'est foisonnant (thèmes, images), mais justement, c'est en définitive là où le bât blesse - dans la surabondance et l'amphigouri. Objet filmique inhabituel, et c'est déjà beaucoup !
    pitch22
    pitch22

    172 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2013
    A. Jodorowsky poétise et dramatise la réalité de son enfance tout en éclats, en alignant les audaces époustouflantes, les scènes dérangeantes, sans jamais céder à la facilité, pour aboutir à un chef-d’œuvre, tout simplement!
    tixou0
    tixou0

    712 abonnés 2 003 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2013
    Alejandro Jodorowsky, dit "Jodo", écrivain et auteur de BD prolifique, et cinéaste occasionnel, 84 ans, revient dans son Chili natal (quitté à l'âge de 24 ans dans la "vraie vie") pour y réaliser un de ces opus étranges dont il s'est fait une (parcimonieuse : 7 films seulement en 45 ans) spécialité cinématographique : "La Danza de la Realidad", qui tient plus de la Danse macabre que de la "Réalité". Il s'agit d'une autobiographie fantasmée, mettant en images un court moment de son enfance : on le voit jeune garçon ("Alejandrito"), avec ses parents, Sara (Pamela Flores) et Jaime (c'est son fils Brontis qui joue le rôle), et en narrateur, partie qu'il incarne lui-même. Il s'agit bien d'une (re)contruction de ses souvenirs, déjà parce que les dates ne concordent pas : ainsi il est né en 1929 et le président Carlos Ibáñez del Campo quittera le pouvoir en 1931 - démission (de retour démocratiquement au pouvoir de 1952 à 1958 - Jodo s'expatriant pour sa part en 1953....) - l'histoire le présente âgé d'une dizaine d'années, et Ibáñez, encourageant les nazis locaux, chassé par les communistes (le Front Populaire, ce sera au Chili en 1938 seulement, et par les urnes). La Grande Dépression a bien cruellement touché le pays, y causant des ravages économiques et sociaux, comme montré par Jodo, mais la ressource industrielle principale de l'époque est encore le nitrate, et non le cuivre (dont l'exploitation intensive précède de peu la Seconde Guerre mondiale). Tocopilla n'avait avant-guerre qu'une petite fonderie de cuivre, et vivait essentiellement de ses activités portuaires (exportations de guano et salpêtre surtout). Etc. "La Danse de la réalité" fut d'abord un livre, que son auteur adapte pour le grand écran (2 h 10).
    Jodo livre un récit d'apprentissage où le réalisme (antiphrase du titre) a donc une part congrue - l'onirisme, voire l'ésotérisme et le mysticisme, la symbolique (notamment sociale) et le militantisme y ayant eux la part belle. Alejandrito est élevé à la dure par un père brutal et autoritaire, que Jodo réinvente, pour lui donner un destin quasi-christique, au fil d'événements picaresques le conduisant sur le chemin (tortueux) de la rédemption. Il développe de nombreux thèmes à cette occasion, dont celui de l'amour sous toutes ses formes (dont l'amour maternel - celui de Sara aux rondeurs felliniennes, qu'il fait s'exprimer uniquement en Bel canto, et l'amour conjugal de celle-ci pour Jaime - séquence étonnante d'ondinisme qui guérit), et l'exclusion multiforme (d'abord celle du clan Jodorowsky, fait de juifs ashkénazes ayant fui les pogroms de Russie).
    Il y a de bonnes choses, des trouvailles visuelles notamment, mais c'est souvent filandreux, boursouflé, redondant, voire brouillon. Pas au-delà du "pas mal", pour moi, car accrochée (et mieux, séduite) que par intermittences.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    175 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2013
    Chef-d’œuvre ! L'un des plus beaux films qui soit sur l'enfance et la famille. Faisant sien l'univers de Federico Fellini, Jodorowsky nous transporte dans l'imaginaire d'un enfant d'une dizaine d'années qui observe la vie de sa mère bien en chair tenant une mercerie dans une petite ville du Chili et de son père autoritaire, pompier et terroriste à ses heures. Les inventions formelles sont constantes. Les péripéties du père sont dignes des meilleurs films d'aventure (l'acteur a d'ailleurs des faux airs de Jack Nicholson). Quant à la mère, elle ne parle pas, elle chante comme à l'opéra. Seules les dix premières minutes sont un peu pénibles car ponctuées de quelques maladresses. Mais une fois entré dans cet univers, on en sort conquis !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 octobre 2013
    Un film déroutant, à la fois violent et poétique, qui nous laisse "rêver dans la réalité", et porte très bien son titre... La musique s'adapte idéalement à l'enchaînement des scènes (ou est-ce le contraire ?), les acteurs sont excellents... Bref, allez le voir !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 22 octobre 2013
    La Danza de la Realidad, c'est l'exemple typique du film qui se prend pour un chef d'oeuvre parce qu'il traite de sujets graves et qu'il montre des personnages spéciaux mais ne vous y trompez pas, c'est un nanard et un sacré !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 octobre 2013
    Plus qu'un film : un Spectacle ! Du tragique et émouvant, du drôle, de l'insupportable, des couleurs, de l'inattendu, de l'humilité, de l'audace... Bref, un festival d'arts.... Un des meilleurs films jamais vus ! Merci !
    nathaliewell
    nathaliewell

    23 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2013
    Ce film ne laisse pas indifférent. On aime, on déteste mais forcement il nous parle et nous perturbe. Film assez mystique, filmé parfois avec beauté mais également parfois avec une terrible violence qui dérange. Parcours initiatique rempli de métaphores. De belles couleurs, de la belle musique, cette langue qui chante à nos oreilles, tout cela fait que je ne déteste pas le film, mais il m’a fortement dérangé et agacé…C’est une « étrange » expérience cinématographique que j’ai vécu en allant voir ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 octobre 2013
    Jodorowsky excelle indubitablement dans l'art de composer des images puissantes dont l'originalité mettra (presque) tout le monde d'accord. La question du sens à donner à de tels tableaux est une toute autre histoire. Dans ses précédents films, l'auteur nous perdait parfois (souvent ?) dans les propos politico-psycho-métaphysique qu'il semblait vouloir exprimer. La Danza de la Realidad propose une trame narrative linéaire plus accessible et des métaphores visuelles moins obscures qu'à l'accoutumée (si, si !), et offre un singulier feu d'artifice d'amour et d'originalité. Néanmoins (oreille en plus), quelques lenteurs viennent plomber le rythme de cette expérience pourtant si rafraichissante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 octobre 2013
    Si avec la montagne sacrée on touche les cimes visuelle, cette autobiographie laisse entrevoir que le réalisateur mature son univers, non sans bouder notre plaisir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 octobre 2013
    Film qui sait nous toucher en passant par des perspectives de la vie bien différentes à celles qu'on a l'habitude de voir, je pense que chacun peut interpréter un message différant de la part de l'auteur Mais en tout cas on reste pas indifférent. Juste, il ne faut pas s'arrêter au premier degré C'est mon avis personnel. Moi, j'ai adoré!
    Yves G.
    Yves G.

    1 514 abonnés 3 531 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 octobre 2013
    Réalisateur, acteur, scénariste, mime, tarologue, Alejandro Jodorowsky repasse après 23 ans d'absence derrière la caméra pour raconter son enfance à Topocilla, au Chili, dans les années 40.
    Son père (joué à l'écran par le fils du réalisateur) était un communiste stalinien qui menait sa maisonnée à la baguette. Sa mère une cantatrice contrariée. L'un était trop dur, l'autre trop douce.

    Cette autobiographie louche du côté de Fellini : "Amarcord" pour les souvenirs d'enfance et la poitrine plantureuse de la mère, "Huit et demi" pour la parade finale ...
    Mais ce film fourmille d'autres références : "Les Oiseaux" de Hitchcock, "Los Olvidados" de Buñuel, "Freak"s voire "Tintin chez les Picaros" ...
    Au crépuscule de sa vie, le vieux réalisateur chilien nous livre des souvenirs fantasmés et surréalistes.
    Le film baigne dans un réalisme magique typiquement sud-américain, celui de Cortázar ou Garcia Marquez.
    Je n'en aime pas l'exubérance déraisonnable, l'absence de mesure, le manque d'organisation. Mais force m'est de saluer sa virtuosité débridée, son imagination époustouflante, sa puissance poétique.
    Voilà un film que je n'ai pas aimé, que j'ai trouvé trop long, trop foutraque, mais que je n'ose pas déconseiller.
    gemini-hell
    gemini-hell

    27 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2013
    « La Danza de la Realidad », bien que signé par un octogénaire, est un film d’une incroyable vigueur, bourré d’inventions visuelles et narratives, formidablement interprété et qui, bien que décrivant un contexte et un parcours violents, revigore extraordinairement.
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