Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Figaroscope
par Delcroix
Un trip initiatique halluciné, libre, poétique et parfois violent, qui relève de l’expérience cinématographique pure.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Mad Movies
par Laurent Duroche
[La Danza de la Realidad] est tout à la fois déstabilisant et passionnant, déconstruisant une esthétique tout entière pour en reconstruire une autre, une sorte d'hyperréalisme enchanté dont on ne sait encore si son immédiateté visuelle constitue une barrière ou une nouvelle voie.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Positif
par Michel Ciment
Alejandro Jodorowsky revient avec cette oeuvre forte qui, autant qu'une réconciliaition avec son enfance, est un épanouissement de son art.
TF1 News
par Romain Le Vern
Jodorowsky convie les beaux, les moches, les travestis, les monstres, les nazis, les Sisyphe, les chiens, les illuminés pour faire une sorte de film-ultime. Le film de sa vie, terriblement beau, ivre de liberté et rétif à tout compromis, extrême et excessif comme son auteur.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Pierre Murat
Étonnant, insolent, extravagant (...) Comme Alejandro Jodorowsky ne ressemble à personne, il réinvente tout. Et surtout ce que le cinéma devrait préserver à toute force : l'audace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Film somme, le dernier bijou de Jodorowsky retrouve la voie de l’excellence et installe une bonne fois pour toute le cinéaste au firmament des poètes du septième art.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette œuvre étrange et séduisante est frappée de son auteur, (...) poème burlesque joyeusement foutraque dans un Chili vibrant sous une dictature de carnaval. (...) un univers de folie sur lequel souffle un vent de poésie libertaire fort revigorant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
[Une] magnifique autobiographie rêvée (...).
CinemaTeaser
par Julien Foussereau
Les confessions de Jodorowsky fascinent dans leur dimension fellinienne, chargées en nostalgie et en regrets et brûlantes de l'éclat des dernières fois.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Pascal Mérigeau
On serait bien mal inspiré de ne pas se précipiter à la rencontre de "La Danza de la Realidad". (...) Enfance repeinte aux couleurs du souvenir, tel que redessiné magistralement par le chef opérateur Jean-Marie Dreujou.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Démesuré, poético-psychanalytique, touchant, le film est beau, plombant et hyptnotique à la fois. Une oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Galerie de monstres, parades douloureuses, abîmes de la subjectivité, grand cirque convulsé de l'Histoire : Jodorowsky ne quitte jamais la ligne de crête du cinéma visionnaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Mêlant imaginaire, réalité et allégorie, l'auteur de "Santa Sangre" déploie son talent visionnaire au service d'un récit plein de folie et de sagesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Dans "La Danza de la realidad", Jodorowsky déroule son enfance chilienne en la faisant valdinguer au gré de visions, du "réalisme magique" cher aux écrivains latino‑américains tels Julio Cortázar ou Gabriel García Márquez.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
Jodorowsky s'amuse, (...) Mais dans cet ensemble de saynètes mémorielles et felliniennes, il pose toujours, avec malice, la question de l'autorité (...) mais aussi de l'engagement politique qui vire au martyre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Dire qu’il faut que ce soit un cinéaste de 84 ans qui vienne donner un coup de jeune au cinéma ! (...) Vous aimez voir ce que vous n’avez jamais vu ? Alors comptez sur celui qui porte le prestigieux titre de « Grand rectum de l’université de foulosophie » pour vous en mettre plein la vie… la mort aux dents.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Eric Vernay
Drôle, baroque, peuplé de freaks en tout genre (...), ce poème généreux au kitsch assumé navigue entre relecture surréaliste de l’Odyssée d’Homère et fable biblique sous LSD.
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
La première heure, dédiée à l’enfance de l’artiste (...) est franchement bluffante. (...) Dommage que le film s’affaisse soudainement dans sa deuxième partie, dérivant vers une fable politique pataude. Pas si grave : "la Danza de la realidad" demeure un geste aussi inattendu que touchant de la part d’un cinéaste qu’on imaginait endormi pour l’éternité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Benoît Smith
La capacité d'évocation par l'imagerie de Jodorowsky semble s'être momifiée en une application de vignettes dévitalisées.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
À quel moment bascule-t-on du poétique au pittoresque ? Certainement quand on cesse de filmer l’instant fameux du « rapprochement de deux réalités plus ou moins éloignées » (Reverdy, Breton, Godard) pour ne s’attarder qu’à la contemplation d’un résultat tout décoratif.
Le Figaroscope
Un trip initiatique halluciné, libre, poétique et parfois violent, qui relève de l’expérience cinématographique pure.
Mad Movies
[La Danza de la Realidad] est tout à la fois déstabilisant et passionnant, déconstruisant une esthétique tout entière pour en reconstruire une autre, une sorte d'hyperréalisme enchanté dont on ne sait encore si son immédiateté visuelle constitue une barrière ou une nouvelle voie.
Positif
Alejandro Jodorowsky revient avec cette oeuvre forte qui, autant qu'une réconciliaition avec son enfance, est un épanouissement de son art.
TF1 News
Jodorowsky convie les beaux, les moches, les travestis, les monstres, les nazis, les Sisyphe, les chiens, les illuminés pour faire une sorte de film-ultime. Le film de sa vie, terriblement beau, ivre de liberté et rétif à tout compromis, extrême et excessif comme son auteur.
Télérama
Étonnant, insolent, extravagant (...) Comme Alejandro Jodorowsky ne ressemble à personne, il réinvente tout. Et surtout ce que le cinéma devrait préserver à toute force : l'audace.
aVoir-aLire.com
Film somme, le dernier bijou de Jodorowsky retrouve la voie de l’excellence et installe une bonne fois pour toute le cinéaste au firmament des poètes du septième art.
20 Minutes
Cette œuvre étrange et séduisante est frappée de son auteur, (...) poème burlesque joyeusement foutraque dans un Chili vibrant sous une dictature de carnaval. (...) un univers de folie sur lequel souffle un vent de poésie libertaire fort revigorant.
Charlie Hebdo
[Une] magnifique autobiographie rêvée (...).
CinemaTeaser
Les confessions de Jodorowsky fascinent dans leur dimension fellinienne, chargées en nostalgie et en regrets et brûlantes de l'éclat des dernières fois.
L'Obs
On serait bien mal inspiré de ne pas se précipiter à la rencontre de "La Danza de la Realidad". (...) Enfance repeinte aux couleurs du souvenir, tel que redessiné magistralement par le chef opérateur Jean-Marie Dreujou.
Le Journal du Dimanche
Démesuré, poético-psychanalytique, touchant, le film est beau, plombant et hyptnotique à la fois. Une oeuvre.
Le Monde
Galerie de monstres, parades douloureuses, abîmes de la subjectivité, grand cirque convulsé de l'Histoire : Jodorowsky ne quitte jamais la ligne de crête du cinéma visionnaire.
Les Fiches du Cinéma
Mêlant imaginaire, réalité et allégorie, l'auteur de "Santa Sangre" déploie son talent visionnaire au service d'un récit plein de folie et de sagesse.
Les Inrockuptibles
Dans "La Danza de la realidad", Jodorowsky déroule son enfance chilienne en la faisant valdinguer au gré de visions, du "réalisme magique" cher aux écrivains latino‑américains tels Julio Cortázar ou Gabriel García Márquez.
Libération
Jodorowsky s'amuse, (...) Mais dans cet ensemble de saynètes mémorielles et felliniennes, il pose toujours, avec malice, la question de l'autorité (...) mais aussi de l'engagement politique qui vire au martyre.
Paris Match
Dire qu’il faut que ce soit un cinéaste de 84 ans qui vienne donner un coup de jeune au cinéma ! (...) Vous aimez voir ce que vous n’avez jamais vu ? Alors comptez sur celui qui porte le prestigieux titre de « Grand rectum de l’université de foulosophie » pour vous en mettre plein la vie… la mort aux dents.
Première
Drôle, baroque, peuplé de freaks en tout genre (...), ce poème généreux au kitsch assumé navigue entre relecture surréaliste de l’Odyssée d’Homère et fable biblique sous LSD.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
TéléCinéObs
La première heure, dédiée à l’enfance de l’artiste (...) est franchement bluffante. (...) Dommage que le film s’affaisse soudainement dans sa deuxième partie, dérivant vers une fable politique pataude. Pas si grave : "la Danza de la realidad" demeure un geste aussi inattendu que touchant de la part d’un cinéaste qu’on imaginait endormi pour l’éternité.
Critikat.com
La capacité d'évocation par l'imagerie de Jodorowsky semble s'être momifiée en une application de vignettes dévitalisées.
Cahiers du Cinéma
À quel moment bascule-t-on du poétique au pittoresque ? Certainement quand on cesse de filmer l’instant fameux du « rapprochement de deux réalités plus ou moins éloignées » (Reverdy, Breton, Godard) pour ne s’attarder qu’à la contemplation d’un résultat tout décoratif.