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Film lumineux sur l’amour (...) Gabrielle Marion-Rivard, qui n’est pas actrice, tient son rôle avec naturel et tendresse face à Martin, joué par le jeune acteur Alexandre Landry.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
C'était, pour une cinéaste, un sujet à haut risque (...). Louise Archambault (...) s'en tire avec une délicatesse de dentellière. (...) L'interprétation de l'héroïne (...) force l'admiration et l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Naviguant entre le documentaire sensible et la fiction sentimentale, ce film québécois pose la question du droit à disposer d’eux-mêmes de ces adultes en léger handicap mental. Vous n’oublierez jamais ces Roméo et Juliette pas comme les autres.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Il passe, l'espace d'un instant, toute la douceur et la beauté du monde. (...) Louis Archambault s'attache à ces "inséparables" avec une délicatesse rare, cerne au plus près leurs sentiments (...) sans jamais juger les adultes, souvent embarrassés, qui les entourent.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Malgré un ton parfois trop mélodramatique, la réalisatrice québécoise parvient à transcender la matière sociétale de son sujet pour construire un film doux et empathique, dont les enjeux dépassent la singularité de ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les meilleures scènes sont ces instants volés à l'institut spécialisé où évoluent Gabrielle et Martin, dont l'histoire d'amour apparaît un peu trop fabriquée.
Autour de la question du handicap, Louise Archambault dilue ses vertus documentaires dans un récit angélique et attendu. Reste l'enthousiasme et l'investissement sans failles de Gabrielle Marion-Rivard.
(...) la peur de la facilité mélodramatique l'amène à tout mettre en sourdine. C'est cette pulsion du coeur, nerveuse et échevelée, qui fait défaut à "Gabrielle" et peine à nous toucher.
La Croix
Film lumineux sur l’amour (...) Gabrielle Marion-Rivard, qui n’est pas actrice, tient son rôle avec naturel et tendresse face à Martin, joué par le jeune acteur Alexandre Landry.
Le Figaroscope
(...) le film rayonne (...), transmis avec beaucoup de vérité et de cœur par la réalisatrice.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Obs
C'était, pour une cinéaste, un sujet à haut risque (...). Louise Archambault (...) s'en tire avec une délicatesse de dentellière. (...) L'interprétation de l'héroïne (...) force l'admiration et l'émotion.
Le Journal du Dimanche
Impossible de ne pas tomber amoureux de "Gabrielle". Louise Archambault traite son sujet et ses personnages avec une rare délicatesse.
Le Monde
Un petit moment de grâce.
Le Parisien
En dépit d’une fin qui s’étire un peu, le résultat, souvent émouvant, est d’une grande justesse.
Ouest France
Le sujet était périlleux, mais Louise Archambaut l'aborde et le traite avec une délicatesse infinie.
Paris Match
Naviguant entre le documentaire sensible et la fiction sentimentale, ce film québécois pose la question du droit à disposer d’eux-mêmes de ces adultes en léger handicap mental. Vous n’oublierez jamais ces Roméo et Juliette pas comme les autres.
TéléCinéObs
Il passe, l'espace d'un instant, toute la douceur et la beauté du monde. (...) Louis Archambault s'attache à ces "inséparables" avec une délicatesse rare, cerne au plus près leurs sentiments (...) sans jamais juger les adultes, souvent embarrassés, qui les entourent.
Critikat.com
Malgré un ton parfois trop mélodramatique, la réalisatrice québécoise parvient à transcender la matière sociétale de son sujet pour construire un film doux et empathique, dont les enjeux dépassent la singularité de ses acteurs.
L'Humanité
Fort sympathique, mais cousu de fil blanc et linéaire.
Les Inrockuptibles
Le genre d’œuvre comminatoire qu’on est sommé d’applaudir sous peine de passer pour réac/raciste.
Première
Les meilleures scènes sont ces instants volés à l'institut spécialisé où évoluent Gabrielle et Martin, dont l'histoire d'amour apparaît un peu trop fabriquée.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Non sans habileté, la réalisatrice reste en équilibre entre documentaire et fiction.
Les Fiches du Cinéma
Autour de la question du handicap, Louise Archambault dilue ses vertus documentaires dans un récit angélique et attendu. Reste l'enthousiasme et l'investissement sans failles de Gabrielle Marion-Rivard.
Positif
(...) la peur de la facilité mélodramatique l'amène à tout mettre en sourdine. C'est cette pulsion du coeur, nerveuse et échevelée, qui fait défaut à "Gabrielle" et peine à nous toucher.