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    Meurtres en cascade
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    2,5
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    13 critiques spectateurs

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    Caine78
    Caine78

    6 560 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2017
    Jonathan Demme est principalement l'auteur du mythique « Le Silence des agneaux », ce qui a tendance à reléguer au second plan, parfois injustement, le reste de sa filmographie. Dans cette dernière, « Meurtres en cascade » n'est pas l'une de ses plus belles réussites, mais ce thriller aux accents très hitchcockiens garde encore aujourd'hui un certain attrait. Il y a un réel mystère entourant le héros, d'autant que si nous nous doutons que sa spoiler: « folie » est inexistante
    , cela apparaît suffisamment accrocheur pour que la question reste longtemps flottante, à l'image de fausses pistes plutôt habiles et de personnages intéressants dans leur ambiguïté. Malgré un léger manque de rythme et des choix de montage parfois étranges, notamment autour de l'aspect « paranoïaque » touchant Roy Scheider (pas mal mais pas forcément le meilleur choix possible), omniprésente un temps avant de disparaître brutalement presque d'une seconde à l'autre, le récit autour de cette étrange histoire d'amour et ce qui en découle fait un minimum d'effet, que l'interprétation troublante de Janet Margolin vient encore accentuer. Pour le reste, quelques références évidentes au grand Alfred, donc (« Sueurs froides » en premier lieu), une réalisation correcte sans être exceptionnelle et une résolution convenable mais un peu décevante, heureusement compensée par un final intense et assez spectaculaire, voire émouvant dans ses meilleurs moments. Intrigant, à défaut d'être inoubliable.
    AMCHI
    AMCHI

    5 627 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un thriller assez efficace et qui sait maintenir la curiosité du spectateur grâce notamment à une intrigue prenante mais Jonathan Demme fera beaucoup mieux avec son Silence des agneaux.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 août 2007
    La vérité sur Hannan.
    Comme Brian De Palma, Jonathan Demme rend hommage au maître du suspense par l'entremise de ce film mineur. Le réalisateur a mûri depuis, avec des oeuvres totalement maîtrisées comme "Dangereuse sous tous rapports" ou l'impérial "Silence des agneaux". Harry Hannan assiste, devant ses yeux, à la mort de sa femme. Remis de son traumatisme, cet agent des services secrets américains réintègre son appartement, loué à une étudiante en anthropologie. Comme par hasard, celle-ci semble partager une histoire commune avec Hannan. Dans le même temps, il reçoit une menace de mort cryptée sous forme d'un message araméen. Hannan serait une des personnes, sur la liste d'un vengeur juif, à exécuter. Quand le passé resurgit, c'est souvent mauvais signe... Ce film, assez plaisant sur le moment, se distille vite dans le temps. Trop souvent, on a l'impression de visionner un téléfilm qui plagie de grands classiques du cinéma, tels que "Sueurs froides", "Marathon man", ou encore "Niagara" pour les plus évidents. Heureusement, Roy Scheider sauve les meubles de ce fiasco qui aurait pu sombrer dans les profondeurs (des chutes du Niagara) de l'oubli.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 360 abonnés 12 351 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 novembre 2017
    Ce n'est pas vraiment du Alfred Hitchcock! Ni du Brian de Palma! Mais assurèment, c'est du Jonathan Demme! Du Demme à l'aube des 80's, habile technicien qui a rèussi des ambiances hitchockiennes bien à lui mais avec une histoire qui n'est pas à la mesure de la crèativitè des images! Qu'importe [...] "Last Embrace" est un hommage à Hitchcock (on pense à "Vertigo" quand se profile la poursuite dans les escaliers d'une synagogue) qui ouvre sur d'autres mystères! Avec son curieux sens de l'humour, Roy Scheider est parfait de nervositè et le vengeur de sang n'a qu'à bien se tenir! Un thriller du genre intriguant et « absorbant » qui a fait son petit effet au box-office 1979 avec savante anthropologue vulnèrable, menaces de mort en armènien biblique et règlement de comptes d'anthologie aux Chutes du Niagara! Dècèdèe d'un cancer de l'ovaire à l'âge de 50 ans, l'ètonnante Janet Margolin ressemble ici à une gravure de mode...mais ne vous fiez pas! On y voit aussi un Christopher Walken en dèbut de carrière! Très recommandable...
    peter W.
    peter W.

    41 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mai 2018
    C' était gonflé de vouloir reprendre des scènes de Hitchcock surtout avec un scénario qui ne tient pas vraiment la route. En repensant la réalisation et le scénario de A jusqu' à Z et en la jouant finement peut être qu'on pouvait arriver à tirer quelque chose de l'idée centrale. Hélas avec une réalisation très moyenne et des acteurs pas spécialement inspirés on est bien loin du compte. Janet Margolin sort tout de même un peu du lot avec une transformation réussie.
    Y Leca
    Y Leca

    27 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 mai 2021
    Mauvais thriller qui se veut un hommage à Hitchcock ( Vertigo avec la fusillade ridicule du clocher, Psychose avec la scène de la douche) et même Hathaway avec le final grotesque aux chutes du Niagara. Le scénario est basé sur une vengeance fumeuse, Scheider est mal fringué en blanc, seule surnage la beauté de Janet Margolin, disparue trop tôt.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    A l’instar des thrillers de De Palma, « meurtre en cascade » marche sur les traces de Hitchcock. Hélas Jonathan Demme n’a pas la virtuosité de mise en scène des deux collègues sus-nommés, et le scénario de David Shaber manque parfois de rigueur. Reste quelques belles scènes spectaculaires, et l’interprétation minérale de Roy Scheider, tout en nerf et en muscle.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    575 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2017
    Ce film porte la signature de Demme. Au bout de dix minutes il devient facile de reconnaître sa mise en scène très personnelle qui confère à ses films l’essentiel de leurs qualités. Autant dans les extérieurs que dans le comportement de ses acteurs il imprime sa marque. Son plus gros défaut étant d’être parfois un peu trop insistant comme ici dans quelques séquences et notamment le final. C’est constamment beau en particulier les scènes d’érotisme, absolument remarquables. Demme semble jouir d’une totale liberté de ton. Il choisit particulièrement bien les couleurs et les distances entre sa caméra et ce qu’il désire filmer. Rien n’est jamais à peu près, tout est maitrisé. Janet Margolin tient ici très bien un fort beau rôle, il est même dommage de ne pas la voir davantage. Évidemment l’influence Hitchcock saute aux yeux mais la mise en scène est beaucoup moins académique.
    Fabien S.
    Fabien S.

    525 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2017
    Un bon film d'espionnage. Roy Scheider incarne un agent secret. John Glover interprète un souffre-douleur moustachu. Janet Margolin tient le rôle d'une bibliothécaire
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 138 abonnés 4 152 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juillet 2023
    Tous les grands metteurs en scène doivent faire leur gamme et Jonathan Demme n’y a pas échappé. Son parcours est relativement besogneux jusqu’en 1991 année de l’avènement planétaire du « Silence des agneaux » qui fit entrer le thriller dans une dimension nouvelle en donnant le rôle phare à l’assassin serial killer sus nommé Hannibal Lecter pour ceux qui l’ignoreraient encore. Comme De Palma, Demme est un grand admirateur d’Alfred Hitchcok et il entend le faire savoir dans son premier thriller. Les allusions aux scènes cultes du maître parsèment le film comme le climax final aux chutes du Niagara directement inspiré de celui de « La mort aux trousses » ou encore la poursuite au milieu du film qui rappelle la fameuse scène de « Vertigo » dans les escaliers de la Coit Tower de San Fransisco. Ces emprunts un peu trop visibles ne font pas oublier un scénario devenu brinquebalant à cause d’une fusion mal maîtrisée entre les deux intrigues qui charpentent le scénario. Cette relative faiblesse de l’écriture oblige parfois Roy Scheider pourtant rarement pris en défaut, à sur jouer pour tenter d’apporter un peu de crédibilité à la caméra parfois hésitante de Demme. Toutefois le résultat n’est pas infamant et c’est avec plaisir que l’on retrouve la jolie Janet Margolin trop tôt disparue et Christopher Walken encore débutant, tout juste sorti du tournage de « Voyage au bout de l’enfer ». Enfin il est toujours émouvant de croiser Joe Spinell dans une de ses nombreuses figurations avant qu’il n’aborde le rôle de sa vie avec Frank Zito le tueur psychopathe romantique de « Maniac » (William Lustig en 1980). A voir pour ceux qui veulent découvrir les premiers pas de celui qui est devenu en un seul et unique film un des maîtres du thriller
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 320 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 avril 2021
    Meurtres en cascade réalisé par Jonathan Demme se prend beaucoup trop au sérieux pour un film aussi superficiel. Le tout sent la manipulation du public et la conclusion excitante au-dessus des chutes du Niagara ne rachète en rien ce qui l'a précédé. Quelqu'un essaie de tuer Roy Scheider et les excellents acteurs Christopher Walken, John Glover et Charles Napier sont essentiellement gaspillés. L'histoire est loin d'être bien ficelée et laisse de nombreux détails en suspens. Une fois que vous aurez assisté à la très improbable scène de la baignoire vous comprendrez mieux le manque de logique de ce film. Tout dans dans ce film est décousu, déroutant et ne constitue jamais un divertissement...
    SerialBob
    SerialBob

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2021
    Un homme marqué par un lourd trauma et qui retrouve son appartement occupé par une charmante inconnue, étudiante en anthropologie, lorsqu’il rentre de clinique, une mystérieuse organisation para-gouvernementale qui n’hésite pas à éliminer ses agents lorsqu’ils ne sont plus en état de travailler, des hommes retrouvés morts après avoir reçu des menaces en araméen… Tels sont quelques uns des ingrédients très variés de ce film.

    Le scénario n’est finalement pas si difficile à suivre mais il est bancal. Il mélange deux trames narratives : l’une propre au cinéma paranoïaque des années 70 à base d’organisations bureaucratiques tentaculaires et malfaisantes, l’autre se rattache au film criminel avec la recherche d’un serial killer. À mi-parcours, le film abandonne totalement la première trame au profit de la seconde.

    Malgré cette histoire un peu biscornue, j’ai pris un grand plaisir au visionnage de ce film à cause de sa mise en scène et de son interprétation, toutes deux de grande qualité.

    En 1979, lorsqu’il se voit convier la mise en scène de « Last embrace » traduit en français par « Meurtres en cascade », Jonathan Demme n’est pas encore le cinéaste reconnu du « Silence des agneaux », mais il vient de terminer ses années de formation au sein de la société de production de Roger Corman (le pape de la série B des années 60 au début des années 70) où il a réalisé plusieurs films de genre à petit budget (femmes en prison, gangsters...).

    Pour le film qui nous intéresse ici, Demme a bénéficié de beaucoup plus de moyens, mais il n’abandonne pas pour autant le cinéma de genre puisqu’il signe un thriller en hommage évident à Alfred Hitchcock, comme en faisait, à la même époque, Brian de Palma. Les références au « maître du suspense » sont très nombreuses. Parmi celles-ci, les plus évidentes sont : « Sueurs froides » pour la lutte dans le clocher de l’université, « Le crime était presque parfait » lorsque le réalisateur signe une scène d’amour comme une scène de meurtre (les ciseaux posés sur un bureau), « La mort aux trousses» pour la « dernière étreinte » aux chutes du Niagara. Par ailleurs, Demme, fait, comme Hitchcock, une apparition dans son film habillé en prêtre, dans la scène du train lorsque le héros tente de démasquer un poursuivant.

    La mise en scène de Jonathan Demme, pour cet exercice de style, est constamment maîtrisée, fluide et élégante.

    La puissante musique symphonique, aux tonalités très années cinquante, qui accompagne le film a été confiée au vétéran Miklos Rozsa dont ce fût une des dernières compositions pour le cinéma.

    Les deux acteurs principaux sont très investis dans leur rôle. Roy Scheider, sous une menace constante dans le film, est tendu, inquiet, sur ses gardes, le professionnel qu’il interprète est toujours à la limite de la perte de maîtrise. Enfin, Demme, dans ses films, a toujours offert aux femmes de beaux rôles (Melanie Griffith dans l’excellent « Dangereuse sous tous rapports » ou Jodie Foster dans « Le silence des agneaux »). Janet Margolin, dont c’est le seul rôle au cinéma en vedette (elle a plutôt tourné à la télévision et est décédée jeune), est, ici, convaincante et troublante (ah, l’utilisation du rouge à lèvre) dans le rôle d’une femme spoiler: à la personnalité multiple.


    Ce film, inédit dans les salles en France (on se demande bien pourquoi au vu de sa qualité), produit chez le spectateur l’effet recherché par tout divertissement hitchcockien : de la fascination.
    Alain Slanoski
    Alain Slanoski

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 février 2021
    Du grand guignol qui plagie largement Hitchkock, mais si mal... Un fill sans queue ni tête, incohérent. Passez votre chemin.
    Les meilleurs films de tous les temps
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