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ygor parizel
239 abonnés
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4,0
Publiée le 13 décembre 2012
Complètement fou ou débile ? Ce film est issu des idéologies contestataire des années 60, nihilisme et anarchisme et anti société de consommation. Des tabous sont brisés (inceste et cannibalisme), les hommes sont des animaux malgré la civilisation semble vouloir dire le cinéaste. Dans plusieurs scènes le montage est vraiment entraînant, avec un enchaînement de plan hyper vif. À noter la jolie distribution, M. Piccoli, Coluche, H. Guybet et P. Dewaere.
Très lent à mourir d'ennui au début pendant les 17 premières minutes.Puis, la comédie s'installe.Un peu faible.On a l’impression d'un "gentil" délire collectif avec des dialogues inexistants et c'est original.Sauf qu'on peut très vite s'en lasser.C'est mon cas.Si je le revois: ce sera certainement sous la torture !!! Presque débile à mon goût.S'ils se sont amusés à tourner ce film, je n'ai pris presque aucun plaisir à le regarder.Dans le genre zinzin ou décalé, il y a beaucoup mieux !!! Au bout d'1H11 de ce super navet, malgré un casting d'enfer, j'ai déclaré forfait.
Très lent à mourir d'ennui au début pendant les 17 premières minutes.Puis, la comédie s'installe.Un peu faible.On a l’impression d'un "gentil" délire collectif avec des dialogues inexistants et c'est original.Sauf qu'on peut très vite s'en lasser.C'est mon cas.Si je le revois: ce sera certainement sous la torture !!! Presque débile à mon goût.S'ils se sont amusés à tourner ce film, je n'ai pris presque aucun plaisir à le regarder.Dans le genre zinzin ou décalé, il y a beaucoup mieux !!! Au bout d'1H11 de ce super navet, malgré un casting d'enfer, j'ai déclaré forfait.
Alors certes, le film est naïf dans sa radicalité, il y a des longueurs, l'aspect technique est parfois torché... Mais que ça fait plaisir de voir un tel film ! Antisocial, anarchiste, refusant toute forme d'autorité, le personnage campé avec maestria par le grand Piccoli vrille totalement après avoir vécu la brimade de trop. Un film descendant directement de mai 68, touchant à des tabous plutôt copieux (inceste, anthropophagie) de manière sauvage. Une réussite, à remettre dans son contexte et à regarder avec curiosité...
"Themroc" est la preuve que originalité n'est pas synonyme de qualité. Le principe de remplacer la parole par des grognements et hurlements était plutot bon. Pour son premier long métrage, "Le dernier combat", Luc Besson reprendra ce même principe. Cependant, dans le film de Faraldo, on s'ennuie du début à la fin. Les échanges de grognements sont beaucoup trop nombreux et souvent assez longs (surtout au début). Et si seulement c'était la seule chose longue du film..... mais non, TOUT traine en longueur !!!! certaines scènes sont interminables et auraient gagnées à être raccourcies comme le passage où le personnage principal détruit sa maison. Ce film mérite néanmoins d'être visionné par curiosité.
Ce film me rappelle certaines fois où j'ai essayé de nouvelles recettes, sans savoir ce que cela donnerait au final. En général, c'était immangeable. Eh bien c'est la même chose pour "Themroc". Des idées, une réelle volonté d'originalité, des recherches esthétiques voire auditives, mais au final un échec. On s'est contenté de faire des grognements, quelques écriteaux drôles, et puis basta. Ce n'est pas assez poussé. Du coup le monde de "Themroc" ressemble à une coquille vide. On s'ennuie assez rapidement. Et puis, le côté "La guerre du feu" version XXe siècle devient vite pénible. Michel Piccoli serait vêtu d'une peau de bête, ce serait la même chose. Donc non, pas pour moi.
Malgré quelques longueurs et maladresse, un film subversif et réjouissant, prémonitoire de la suite des événements, qui crie désespérément :"on ne veut pas aller là où vous voulez nous emmener". Trop tard : on y est.
Un peu dans la lignée du "Porcherie" de Pasolini, mais en moins réussi et subversif. Il n'empêch, un très bon film, assez spécial, en tout cas, presque un film culte. Piccoli est excellent, de même que les autres acteurs (parmi eux, la bande du Café-Théâtre : Romain Bouteille, Coluche, Miou-Miou, Hneri Guybet...mais aussi Popeck et Patrick Dewaere). Un très bon OFNI !
Themroc est une étrangeté de la nature, où l'on croise un Michel Piccoli beugleur, un Coluche cannibale, ou un Patrick Dewaere partouzeur. Un délire provocateur et sale. Aussi sale que le peuvent être les films des années 70.
Un film-gag sans parole intelligible et sans musique et qui peut servir d'emblème de la contestation soixante-huitarde même si l'alternative proposée au "progrès" est celle d'une régression sauvage et cannibale.Bref,un humour réjouissant pour un vrai film de cinéma.
un film complètement nul, soi-disant réactionnaire, dans lequel les personnages ne parlent pas et ne font que pousser des grognements et hurlements du début à la fin (comme dans LA GUERRE DU FEU, sauf que ça ne se passe pas plusieurs dizaines de milliers d'années avant J.C., mais vers 1970). A réserver aux débiles et aux "pseudo-intellectuels".
Themroc (1973) est particulièrement . . . étrange pour ne pas dire bizarrement compréhensible ! C’est l’histoire d’un homme qui du jour au lendemain pète un câble et se réfugie dans son appartement. Se barricade et défonce entièrement le mur donnant sur la cour extérieur (il se retrouve ainsi en vitrine face à ses autres voisins). Voilà en très peu de choses ce que nous réserve Claude Faraldo. Un film expérimental et sans dialogue !! Où le personnage principal passe plus d’une heure trente à éructer et à hurler. Pourtant le casting est attirant, puisque l’on retrouve Michel Piccoli, Patrick Dewaere, Miou-Miou, Coluche & Popeck. Bizarrement, l’ennui est là et l’incompréhension persiste !
Un OVNI !! Les comédiens s'expriment par des râles ou des borborygmes et bien sûr c'est vite lassant !! Un film post mai 1968 qui se veut une contestation du monde matérialiste bourgeois : sur le fonds pourquoi pas...mais sur la forme il faut s'accrocher pour comprendre tout et supporter les rugissements de picoli... On peut s'amuser à reconnaitre les acteurs du café de la gare à leurs débuts comme Coluche, Miou Miou et surtout Patrick Dewaere seul intérêt de ce naufrage ..