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    La Jalousie
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    pierre72
    pierre72

    137 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 décembre 2013
    Louis quitte une dame qui pleure sous le regard de sa fille réveillée par la conversation. Il retrouve Claudia, comédienne comme lui, avec qui il vit dans un petit appartement sous les toits. Louis aime Claudia qui elle, rêve à des jours meilleurs surtout côté financier. Louis, beau mec, se fait pas mal draguer mais reste fidèle à Claudia qui elle, se démène pour sortir de sa vie de galère et croise un architecte qui lui offre un appartement...
    Raconté comme ça (et même autrement), on voit bien qu'il ne se passe pas grand chose de bien passionnant dans le nouveau film de Philippe Garrel. Ce n'est pas un grand film romantique, ni un suspens psychologique et encore moins une belle histoire d'amour. L'intérêt du film est ailleurs et pour le spectateur il s'agit de trouver les points pour s'accrocher. J'en ai trouvé quelques uns, mais pas tous hélas. Si j'avais été plus fûté, plus cultivé, plus cinéphile, cela aurait été un jeu d'enfant et je me serai roulé de plaisir en hurlant " c'est géééééniaaaaaaal!!!!!". J'avais pourtant lu beaucoup de choses sur le film, le côté autobiographique de l'oeuvre, ce clin d'oeil intergénérationnel consistant à faire jouer le rôle du père du réalisateur à son fils ou la magnificence des plans dont le summum est résumé par les Inrocks qui nous expliquent doctement que chez Garrel quand quelqu'un part, il quitte le plan ! (Là, je suis abasourdi par tant d'acuité...et d'originalité.)
    Reconnaissons quand même au film quelques qualités et notamment un noir et blanc splendide et aux cadrages précis et composés de main de maître. J'avoue aussi avoir été bluffé par l'interprétation on ne peut plus naturelle et réaliste des comédiens et troublé par la belle voix grave d'Anna Mouglalis. Toutes les situations sont d'une justesse étonnante et d'un réalisme troublant. Malgré tout cela, je me suis quand même un peu ennuyé.
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    nikko60
    nikko60

    6 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 décembre 2013
    Bon, je suis allé le voir, j'ai tenu 30 minutes et je suis ressorti.
    C'est typiquement le film pour plaire aux critiques intellos, qui vont pouvoir faire une belle dissert' sur le cinéma d'auteur et se dire "mon dieu ce que c'est beau ce que j'écris, j'ai vraiment du talent, si je faisais des films ça serait comme ceux de Garrel"...
    Un scénario famélique, un noir et blanc esthétisant comme tous les noir et blanc, des dialogues rachitiques, une prise de son et un mixage qui rendent les acteurs inaudibles, des acteurs qui d'ailleurs se donnent tout juste la peine de susurrer leur texte... Bref une vraie purge.
    Une caricature de film intello qui perso me faire mourir d'ennui. Les critiques ne s'y sont pas trompé : ils ont trouvé le film bouleversant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 décembre 2013
    C'est triste, la jalousie, et ça peut bousiller des vies. Et c'est triste, un film qui se cherche et ne se trouve pas. Il vaut mieux donc évité d'être jaloux et d'aller voir "La jalousie".
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2013
    Voilà un film bobo et très parisien. On est acteur écrivain danseur. Et on se perd dans des naufrages de peine. Quelques scènes justes pour beaucoup de simagrées
    fornasetti
    fornasetti

    2 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 décembre 2013
    Comme on dit souvent : la jalousie est souvent une affaire de famille.
    Et le film LA JALOuSIE s'inspire d'une histoire vécue par le père de Philippe Garrel.
    Louis G, fils de Philippe (le cinéaste) joue le rôle du père de son père : en interprétant Maurice Garrel, son grand-père.
    Le scénario est d'une magnifique pudeur filmé et monté avec éclat dans un noir et blanc d'une très grande beauté.
    On "sent" les choses telles qu'elles ont été sans doute vécues dans le passé ou telles qu'elle auraient pu l'être encore aujourd'hui. Avec la scène du "bonnet" donnée par la nouvelle compagne de Louis G. à la petite fille et le jeu de séduction entre elles deux. Comment elles font pour se plaire : pour plaire au père, avant tout. Et la séquence dans le parc, où, complices, elles font les "intéressantes" chacune à leur façon et Louis, G. le père, les regarde mi-amusé-mi-en colère-mi charmé-mi perdu…
    Anna Mouillais est agaçante dans son apparence, la façon dont elle parle et ce qu'elle est ;
    tout simplement parce qu'elle incarne la compagne du père de Philippe G. et qu'en tant que fils
    il ne pouvait pas vraiment la montrer autrement.
    Je mets 5 étoiles à ce film : l'un des meilleurs films français sorts en 2013.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 décembre 2013
    Attention chef d'oeuvre! Ca a beau être très simple et très court, une grande densité et force dégage de ce film. Un des plus beau film sur l'amour, la passion et bien sur aussi la jalousie!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 décembre 2013
    Ce film véhicule pour moi tout ce que je déteste dans un certain cinéma français, un cinéma vaniteux, suffisant, prétentieux et condescendant !

    1) Une espèce de condescendance en filigrane vis à vis du spectateur qui est comme une injonction à aimer - que dis-je à célébrer ! - sous peine d'être frappé d'ignorance et de médiocrité intellectuelle et cinématographique,
    2) Une incommensurable vacuité dans le contenu qui cherche à nous faire croire que ce vide sidéral est en fait une grande profondeur intellectuelle à laquelle nous n'avons pas accès car non initiés au génie,
    3) La célébration de la banalité et de la platitude des personnages et de leurs existences d'une pauvreté affligeante tant sur le plan humain que cinématographique.

    Ce cinéma là est un cinéma autiste, auto convaincu de son génie inaccessible au commun des mortels bien trop médiocre pour accéder à de telles profondeurs !
    Le génie de l'art ne peut pas être aimé de tous, il doit être détesté de la masse populaire pour briller de tout son génie !
    C'est d'ailleurs dans la détestation des masses que ce cinéma trouve la justification de son génie et nivelle son supposé caractère exceptionnel !

    Mais voilà...

    Le scénario est d'une platitude sidérale (le "ne rend pas les choses plus difficiles" de Anna Mouglalis en est un exemple criant), le thème est d'un ennui incommensurable (tel aime untel mais untel en aime un autre, alors il quitte tel qui est déprimé qu'untel le quitte pour un autre tel...), la mise en scène est absolument quelconque, les dialogues sonnent affreusement écrits, les comédiens pour la plupart ne sont pas crédibles et Louis Garel qui se sous-entend pour une icône n'a certainement rien d'un James Dean, j'en passe...

    Le noir et blanc ? Ah oui, le noir et blanc argentique auquel les Cahiers du cinéma attribue à lui seul une dimension d'exception ! C'est qu'il a le dos large - comme disait ma grand-mère ! - ce noir et blanc là ! Mais ce noir et blanc n'est là pour amoindrir toute la platitude de ce film, pour lui donner un supposé génie qu'il n'a pas en réalité ! Ce film en couleurs aurait été par trop révélateur de son caractère quelconque !

    En résumé, ce film est à l'image de l'incompréhensible galimatias de cet extrait des Cahiers du cinéma qui sous des apparences d'absolue "pureté" flirtant avec les cieux nous vend un cinéma passéiste et nostalgique du temps où il suffisait de faire ronfler sur l'écran sa propre vacuité afin de donner l'impression de toucher au génie ! Un temps révolu depuis belle lurette et c'est très heureux !...

    "On abuse souvent du mot « pureté », mais c’est bien de cela qu’il s’agit. Cinéma à l’état pur, cinéma argentique de visages projetés, eux-mêmes écrans sur lesquels brillent les sentiments. Cinéma à l’état pur, c’est-à-dire de la vie enregistrée avec cette acuité qui fait respirer plus fort, nous mettant face à l’intensité de l’instant." (Les Cahiers du cinéma).

    Chers amis cinéphiles allez donc bien plutôt vous faire une bonne toile avec ce film extraordinaire qu'est "Rêves d'or" et qui lui, très simplement, très modestement, sans vanité mais avec un talent immense et une envie extraordinaire nous montre jusqu'où le cinéma peut aller dans l'expression de l'humain et de l'essentiel !
    annereporter94
    annereporter94

    49 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 janvier 2014
    Un film en noir et blanc de Philippe Garrel. On s'interroge un peu... le problème, c'est qu'en sortant de la salle, on s'interroge encore plus: ce film, finalement, c'est quoi? Pas une comédie, évidemment, mais peut-on parler de drame? Difficile à dire, toute émotion étant absente... Reste, en fait, un grand vide, un immense vide... comme la scène finale, absolument nullissime: un écran noir...
    Charles R
    Charles R

    51 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 décembre 2013
    Au risque de froisser l'intelligentsia qui se pâme devant les oeuvres de Philippe Garrel, il n'est pas interdit d'avouer que l'on peut éprouver un profond ennui devant le dernier film de son auteur. Certes le projet est plus qu'honorable : rendre un ultime hommage à Maurice Garrel, comédien inestimable et père du réalisateur. L'histoire est en effet celle que Maurice a vécue lorsqu'il était jeune et qu'il avait l'âge de Louis, le petit-fils qui incarne le rôle principal. On sait que Philippe Garrel vit en vase clos et que l'autofiction est sa spécialité. On sait aussi que c'est un remarquable artiste et qu'il sait mieux que quiconque explorer les secrets que d'aucuns prétendent obsolètes du noir et blanc. Saluons au passage le directeur de la photographie, Willy Kurant, habitué à travailler avec les plus grands (Godard, Pialat...), dont le travail est exemplaire tant dans les scènes d'intérieur que dans celles d'extérieur. Et pourtant le peu de matière du film a parfois quelque chose d'irritant. Bien sûr, Garrel opte pour un cinéma de la sobriété et du minimalisme, ce qui est fort défendable. Mais pourquoi les acteurs jouent-ils avec cette bouderie perpétuelle qui les contraint à devenir rapidement inintéressants ? Pourquoi susurrent-ils et ne parlent-ils jamais avec les efforts d'articulation nécessaires ? On allèguera Brecht et la théorie de la distanciation, mais trop c'est trop et à ce petit jeu on finit par décrocher et se désintéresser des mésaventures de Louis. Heureusement une perle est là pour éclairer ce film qui a bien besoin de cette lumière intérieure qui illumine les êtres. Et c'est la petite Olga Milshtein qui, du haut de ses 8 ou 9 ans, apporte la dimension solaire à ce film d'hiver. Et elle au moins est parfaitement audible. Les plus belles scènes d'amour sont du reste celles où Louis se retrouve seul avec sa fille et lui témoigne cette merveilleuse affection paternelle doublée d'une complicité de grand-frère. D'autres plans nous ont ému parce qu'ils sont muets et qu'ils témoignent d'une densité extraordinaire. A commencer par le premier plan : "La femme qui pleure". Sublime. Et puis cette scène tournée dans un cinéma où l'on voit Louis poser sa main sur celle de sa voisine. Oui vraiment, Philippe Garrel est un grand du cinéma muet qui suscite les émotions dans le regard qu'il porte sur les êtres, mais jamais dans la bouillie verbale qu'il nous est donné d'entendre.
    Ciné2909
    Ciné2909

    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 avril 2014
    On ne pourra pas dire que Philippe Garrel n’a pas le sens de la famille puisqu’une fois encore il confie l’un des rôles principaux à son fils Louis et qu’on retrouve également sa fille Esther. Que dire de La jalousie sinon qu’il pourrait vite susciter chez vous un profond ennui ; on accompagne Louis Garrel et Anna Mouglalis dans leurs promenades dans les rues ou au parc cet puis c’est à peu près tout ce que j’ai pu retenir. Coté réalisation, c’est magnifiquement plat et même si le metteur en scène français est coutumier du fait, le noir & blanc qu’on nous sert à toutes les sauces ne trouve aucun intérêt dans cette histoire. Un cinéma d’auteur français auquel on est sensible … ou pas du tout.
    llafaye
    llafaye

    6 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    Une belle realisation un bon jeu d'acteur qui ne suffisent pas à chasser l'ennui qui nous gagne. Belles photos.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 décembre 2013
    L'amour existe, merci Garrel, qui maitrise toujours mieux les langages de la passion et de la tendresse, qui nous rappelle aussi que l'amour n'a de place que là où les murs sont un peu décrépis, n'en déplaise aux architectes!
    Chantal Kenzey
    Chantal Kenzey

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 décembre 2013
    personnages justes, touchants et une belle ambiance poétique, Merci à tous
    Benjamin A
    Benjamin A

    711 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2014
    Voilà une bonne surprise. Je ne m'attendais pas à grand-chose, et "La Jalousie" s'avère être réussi. C'est un beau film, avec une bonne mise en scène, et surtout très bien filmé, Philippe Garrel nous offre de très belles scènes, souvent assez simple, mais pleine de vie. Des scènes de jalousie, d'amour, de chaleur humaine et tout simplement humaine. Le film est captivant, dès la première scène on n’en sort pas. Il nous offre aussi quelques moments de rire. Les personnages sont intéressants, et les situations sont bien faites, bien écrite. Le noir et blanc est un choix judicieux, il est sublime. La réussite du film tient aussi en son acteur principal, Louis Garrel, excellent tout comme sa fille dans le film et Anna Mouglalis (et sa voix grave qui bizarrement n'est pas du tout énervante). Un film simple, qui me donne envie de découvrir d'autres films de Philippe Garrel que je connais très peu, mais surtout un beau film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 décembre 2013
    Epuré à l’extrême, le dernier film de Philippe Garrel, sans forcément susciter un intérêt de tous les instants, a en tout cas le mérite de son extrême cohérence sur le fond tant que sur la forme. Aussi dépouillé que peut l’être le cinéma indépendant sans le sou, il sait se contenter de raconter une histoire terriblement simple mais pas pour autant banale, celle de la passion amoureuse dévorant jusqu’à l’amour lui-même. Un film que l’on ne conseille pas à tous les couples mais qui a le courage d’aller au bout de son ambition.

    Bien servi par un noir et blanc qui ne laisse pour le coup vraiment passer aucune lumière, le dernier projet collectif de la famille Garrel est une œuvre froide et méthodique, disséquant sans aucune pitié le phénomène amoureux dans toute sa folie. Décomposant cette névrose comme un psychiatre analyserait un cas clinique, Philippe Garrel met le souffle de ses acteurs au centre de tout, annihilant presque jusqu’au concept de décor, le dénuement de celui-ci évoquant subtilement le désarroi mental et matériel de ses héros.

    Il est difficile de dire que l’on passe un bon moment devant La Jalousie tant Philippe Garrel refuse de sortir de l’étroit cadre avec lequel il torture ses personnages, en permanence secoués par le doute et la tentation de la folie. C’est d’ailleurs Anna Mouglalis, d’une belle intensité dans son rôle de femme étouffée par la jalousie jusqu’à se saborder elle-même, qui résume un moment le mieux le sentiment que l’on peut éprouver face au spectacle à l’écran.

    « J’en peux plus d’ici. C’est moche, c’est triste … j’ai besoin d’un peu de lumière, d’un peu de beauté »*

    Car c’est bien ce sentiment d’enfermement dans soi et d’incapacité à contrôler ses propres élans que Philippe Garrel cherche à traduire ici, s’attachant finalement plus à montrer les conséquences des actes sur les visages défaits de ses personnages que ces actes en eux-mêmes. En faisant cela, il parvient parfaitement à figurer un monde cruel où chacun est à la fois bourreau et victime et où l’amour ne peut être qu’une aliénation éphémère, destinée à se consumer jusqu’à son extinction finale.

    Il est aussi vrai que Philippe Garrel force parfois un peu le trait. Sa façon de couper les dialogues de façon prématurée et les poses souvent très théâtrales de ses personnages n’aident pas toujours le spectateur à beaucoup s’identifier à ces figures presqu’évanescentes, un fort attrait pour le masochisme étant nécessaire pour vraiment compatir au tragique destin de ce couple maudit. Ça n’est pas mon cas, mais c’est probablement parce que je suis un être froid et incapable du moindre sentiment. Pour vous autres, il est possible que les très justes interprétations de Louis Garrel et Anna Mouglalis suffisent à vous toucher, la finesse psychologique de l’ensemble étant par ailleurs indéniable.

    On regrettera peut-être que Louis Garrel, qui est toujours aussi irréprochable malgré que l’on ait une gigantesque envie de le haïr par principe, joue pour une énième fois plus ou moins son propre rôle mais j’imagine que l’on est toujours plus ou moins esclave du regard des autres, et il n’y pas de raison que les acteurs y fassent exception, au contraire même.

    On attendra donc encore un peu pour voir la famille Garrel verser dans la comédie burlesque mais il n’est parfois pas plus mal de s’appliquer à bien faire ce que l’on sait faire le mieux. Après tout, si les Garrel ont envie de continuer à briser tous les couples de France et d’ailleurs, grand bien leur fasse tant qu’ils font du bon cinéma, ou du cinéma tout court. C’est aussi l’avantage du cinéma indépendant : ça ne fait de mal à personne puisque ça ne coûte quasiment rien et que presque personne n’y va. La petite entreprise Garrel a donc encore de beaux jours devant elle. Il serait d’ailleurs temps de nous faire un petit, Louis.
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