Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
On abuse souvent du mot « pureté », mais c’est bien de cela qu’il s’agit. Cinéma à l’état pur, cinéma argentique de visages projetés, eux-mêmes écrans sur lesquels brillent les sentiments. Cinéma à l’état pur, c’est-à-dire de la vie enregistrée avec cette acuité qui fait respirer plus fort, nous mettant face à l’intensité de l’instant.
Les Inrockuptibles
par Luc Chessel
Quitter quelqu’un, c’est quitter son espace, quitter le plan. Le metteur en scène assemble ses dessins par deux ou par trois, les espaces se rencontrent, les proches se rapprochent, s’éloignent. C’est très beau...
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
Dans tout le film circule une tendresse, une piété filiale, quelque chose de rare et précieux.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
"la Jalousie" offre un nouvel exemple de ce nomadisme et vampirisme féminins que (...) Garrel n'aura cessé de peindre .
Transfuge
par Louis Séguin
Un film à la mélancolie tendre et lumineuse.
Critikat.com
par Nicola Brarda
C’est précisément la jalousie réelle, discrète, quotidienne qui occupe l’attention de Garrel, lequel parvient à en montrer les différentes facettes, plus ou moins bénignes ou blessantes, et surtout la formidable capacité d’infiltration : car jaloux, nous le sommes tout le temps.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Emile Breton
Tous les films de Garrel depuis toujours nous ont parlé de lui. Celui-là est l’un des plus beaux, écrit comme une confidence sur un souvenir d’enfance où l’on peut enfin rendre justice et amour à tous ceux qui le vécurent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"La Jalousie" se compose de vignettes dessinées avec amour et fait naître par moments une émotion que les travaux récents du cinéaste peinaient à produire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un bijou d'une heure dix-sept.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
La grande qualité de cette histoire, traversée par un personnage d’enfant qui est l’axe de tout, c’est sa justesse. Rien n’est détourné, excusé, enjolivé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Avec cette courte mosaïque de scènes disjointes, Garrel gagne en concision. Passionnant grâce à la densité de fusain du Noir & Blanc qui capte l'essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Bruno Icher
Cette tragédie passionnelle à laquelle tout le monde a droit un jour, auteur et public confondu dans la même détresse, ne serait qu’une variation brillante sans cette apparente facilité avec laquelle Garrel fait surgir ses instants poétiques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Dans ce cataclysme au charme poignant, (...) Philippe Garrel (...) convoque deux de ses enfants pour poursuivre son exploration du roman familial. Cette histoire, très fluide et très brève, (...) baigne dans un noir et blanc sublime signé Willy Kurant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
En épousant le point de vue du personnage masculin, le film donne l'occasion à Louis Garrel d'être particulièrement touchant. On ne l'a jamais vu ainsi, aussi présent, dans un film de son père.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le dernier film de Philippe Garrel est nimbé d’une poésie singulière. (...) une œuvre plus séduisante que ses deux précédents longs-métrages (...)
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Habile et épuré, son scénario laisse entendre les phrases malencontreuses qui contaminent une relation, retrace les hauts et les bats d'une relation qui finit par une rupture sans larme ni commentaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Stéphanie Lamome
En filmant les circonvolutions de la jalousie sur un mode à la fois tendre et cruel qui rappelle parfois le cinéma de Jacques Doillon, Philippe Garrel réalise sans doute son oeuvre la plus accessible à ce jour.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
aVoir-aLire.com
par Nicolas Lochon
Philippe Garrel perd son spectateur au-delà d’une première scène, pourtant très belle (…). Quelques minutes réellement émouvantes, mais jamais, malheureusement, le film ne retrouvera cet état de grâce qui aurait dû représenter sa ligne directrice.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
On abuse souvent du mot « pureté », mais c’est bien de cela qu’il s’agit. Cinéma à l’état pur, cinéma argentique de visages projetés, eux-mêmes écrans sur lesquels brillent les sentiments. Cinéma à l’état pur, c’est-à-dire de la vie enregistrée avec cette acuité qui fait respirer plus fort, nous mettant face à l’intensité de l’instant.
Les Inrockuptibles
Quitter quelqu’un, c’est quitter son espace, quitter le plan. Le metteur en scène assemble ses dessins par deux ou par trois, les espaces se rencontrent, les proches se rapprochent, s’éloignent. C’est très beau...
Marianne
Dans tout le film circule une tendresse, une piété filiale, quelque chose de rare et précieux.
Positif
"la Jalousie" offre un nouvel exemple de ce nomadisme et vampirisme féminins que (...) Garrel n'aura cessé de peindre .
Transfuge
Un film à la mélancolie tendre et lumineuse.
Critikat.com
C’est précisément la jalousie réelle, discrète, quotidienne qui occupe l’attention de Garrel, lequel parvient à en montrer les différentes facettes, plus ou moins bénignes ou blessantes, et surtout la formidable capacité d’infiltration : car jaloux, nous le sommes tout le temps.
L'Humanité
Tous les films de Garrel depuis toujours nous ont parlé de lui. Celui-là est l’un des plus beaux, écrit comme une confidence sur un souvenir d’enfance où l’on peut enfin rendre justice et amour à tous ceux qui le vécurent.
L'Obs
"La Jalousie" se compose de vignettes dessinées avec amour et fait naître par moments une émotion que les travaux récents du cinéaste peinaient à produire.
Le Monde
Un bijou d'une heure dix-sept.
Le Parisien
La grande qualité de cette histoire, traversée par un personnage d’enfant qui est l’axe de tout, c’est sa justesse. Rien n’est détourné, excusé, enjolivé.
Les Fiches du Cinéma
Avec cette courte mosaïque de scènes disjointes, Garrel gagne en concision. Passionnant grâce à la densité de fusain du Noir & Blanc qui capte l'essentiel.
Libération
Cette tragédie passionnelle à laquelle tout le monde a droit un jour, auteur et public confondu dans la même détresse, ne serait qu’une variation brillante sans cette apparente facilité avec laquelle Garrel fait surgir ses instants poétiques.
TéléCinéObs
Dans ce cataclysme au charme poignant, (...) Philippe Garrel (...) convoque deux de ses enfants pour poursuivre son exploration du roman familial. Cette histoire, très fluide et très brève, (...) baigne dans un noir et blanc sublime signé Willy Kurant.
Télérama
En épousant le point de vue du personnage masculin, le film donne l'occasion à Louis Garrel d'être particulièrement touchant. On ne l'a jamais vu ainsi, aussi présent, dans un film de son père.
La Croix
Le dernier film de Philippe Garrel est nimbé d’une poésie singulière. (...) une œuvre plus séduisante que ses deux précédents longs-métrages (...)
Le Journal du Dimanche
Habile et épuré, son scénario laisse entendre les phrases malencontreuses qui contaminent une relation, retrace les hauts et les bats d'une relation qui finit par une rupture sans larme ni commentaire.
Première
En filmant les circonvolutions de la jalousie sur un mode à la fois tendre et cruel qui rappelle parfois le cinéma de Jacques Doillon, Philippe Garrel réalise sans doute son oeuvre la plus accessible à ce jour.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
L'Express
Voir le site de L'Express.
aVoir-aLire.com
Philippe Garrel perd son spectateur au-delà d’une première scène, pourtant très belle (…). Quelques minutes réellement émouvantes, mais jamais, malheureusement, le film ne retrouvera cet état de grâce qui aurait dû représenter sa ligne directrice.