Derniers Avis : Un Amour sans fin - Page 2

Une histoire d’amour adolescent mièvre et sans saveur

Un film sans fin

Un réalisateur peut avoir un bon sujet entre les mains et passer totalement au travers, mais Un Amour Sans Fin n’a même pas de bon sujet. Ce film traite une histoire d’amour réellement vue trop de fois au cinéma et qui s’oublie en même temps qu’elle se regarde. Les moments où il ne laisse pas le spectateur indifférent, c’est lorsqu’il agace par sa mièvrerie, sa naïveté et un manque total de crédibilité. L’histoire étant d’une pauvreté cinématographique assez rare, pas même un adolescent n’y trouvera son compte. On ne tient donc pas là le nouveau « film d’une génération », comme ont pu l’être Le Grand Bleu ou encore Les Nuits Fauves.

film de filles 100% avec le beau gosse la jolie jeune fille et de vrai sentiment assez émouvant par moment enfin je suis fan de ce genre ☺

Une romcom sympathique, bien qu'un peu cliché. Un père détestable, une jeune fille naïve et innocente et une mère complètement soumise et effacée (dommage).
Un film qui met de bonne humeur malgré des clichés récurrents et un trop plein d'eau de rose. Cependant, on a pas forcément une impression de déjà vu (récurrent pour de nombreux films du genre). Le long métrage arrive à nous surprendre et laisse un petit sourire sur la fin.
Bref une vision de l'amour bien américaine, mais qui reste sympathique et regardable avec son amoureux/se au coin du feu

Fait également partie des belles comédies romantiques, une histoire d'amour de jeunesse que nous avons presque tous vécus, passionnel !
J'aime particulièrement le titre, qui signifie bien que chaque vrais histoires d'amours ne se terminent jamais.
Beaucoup diront, que c'est basique et du déjà vu, mais je préfère justement les histoires d'amours qui peuvent être réel, que tout le monde peut vivre ! Sinon autant regarder des films dramatiques, avec des histoires d'amours dramatiques ! Mais personnellement je préfère croire que la vie n'est pas toujours un drame. Et justement regarder ce film qui nous fait rêver, avec une histoire d'amour pur et réaliste.

Une amourette qu'on regarde un jour d'été en ayant la tête aussi vide en entrant qu'en sortant du cinéma. Un amour sans fin est un film longuet avec un scénario des plus repris et qui, visiblement, ne lasse pas les réalisateurs. Difficile d'en faire quelque chose d'original et malgré une douceur poétique, on ne retrouve ici aucune surprise ni aucune flamme pendant 2h.

Une romance dramatique, qui tient ses promesses. Certes pas une histoire originale, mais assez bien joué. Alex Pettyfer, acteur au physique agréable et sûrement prometteur. J'ai trouvé par contre l'actrice très en dessous .
Un film pour les filles , mais qui se laisse regarder quand même.

une jolie histoire qui se regarde très facilement. Rien d'exceptionnel mais un joli moment...

Malgré un scénario mainte fois exploité et pas mal de clichés avec des personnages plutôt stéréotypés, cette belle histoire d'amour s'avère être un "beau film". Les acteurs sont très touchant et crédible. La BO, empreinte de poésie est très agréable et apporte un peu de "magie" à cette fable.

Un très beau film dont une histoire et des dialogues très réfléchie qui nous emportent avec eux. Regardez le sans aucun doutes!

Lui : David. Lycéen au physique de trentenaire et au regard de truite fumée (fabuleux Alex Plantafleur - heu...pardon, Pettyfer - aussi charismatique qu'un bol de lait chaud écrémé). En bas de l'échelle sociale, prêt à reprendre le garage de son papa bon gars (Robert Patrick) mais idéaliste et supra-intelligent. Attends de parler à elle depuis 4 ans.

Elle : Jade (Gabriella Wilde). Toute mimi-croquinou-choupinette et innocente (elle se coiffe avec une petite tresse autour de la tête, la preuve !) mais renfermée sur elle-même à cause de la mort de son frère aîné qui a traumatisé toute sa petite famille et surtout son papa (Bruce Greenwood). Supra-intelligente aussi mais très naïve. Au sommet de la hiérarchie sociale à cause du papa chirurgien qui possède des propriétés de la taille du Liechtenstein.

Et bien entendu, au détour de quelques regards et roucoulements, c'est le coup de foudre !
Ils vont rouler à deux sur un vélo, prendre des bains ensemble, souffler sur des pissenlits, se faire plein de bisous partout ou écrire des "I LOVE U" avec leurs doigts sur des vitres pleines de poussière...
Bref c'est le premier grand amour, quoi ! The big love, le vrai !

Le gros souci c'est que le papa de Jade ne voit pas ça d'un bon œil, lui qui est devenu un brin psycho-rigide (même carrément un peu maboulo-dingue) à cause de la mort de son fiston et cela va déboucher sur pas mal d'embrouilles pour ces deux petits jeunes transis d'amuuuuur...voire même beaucoup trop d'embrouilles quitte à en devenir souvent risible notamment dans une séquence finale teintée de symbolisme aussi lourdingue qu'une enclume lâchée depuis la stratosphère.
Car "Un Amour sans fin", sous couvert d'être un vague remake du film de Franco Zeffirelli de 1981 (une romance sur fond de lutte de classes), c'est avant tout une incroyable guimauve écoeurante enchaînant tous les clichés du genre (il y a même une scène à l'aéroport, punaise !) avec une telle innocence qu'on a l'impression que Shana Feste imagine être la première à emprunter tous ces chemins pourtant maintes fois parcourus. Même un Nicholas Sparks ayant englouti une poêlée de champignons hallucinogènes n'aurait pu imaginer un truc pareil.

Mais c'est peut-être à cause de cette indécrottable naïveté, d'une alchimie qui prend peu à peu forme entre les deux amants ou d'un Bruce Greenwood toujours excellent dans ce genre de rôle, que l'on ne pourra s'empêcher de regarder cette romance jusqu'au bout avec un œil fasciné... ou peut-être est-ce parce qu'on a été aveuglé par tant d'amuuur ?... Beurk, écoeurant, on vous l'avait dit !

Le film romantique réussi par excellence : des amoureux mignons et craquants, une histoire à rebondissements bien réalisée , des familles et des relations bien présentes dans l'histoire ainsi que des très beaux paysages et surtout on se laisse emporter par cette romance vraiment prenante. Un petit bonheur que ce film de passion et d'émotion ! A recommander absolument pour les fans de romances et à garder pour le revoir !.

Autre variation sur l’éternel et inépuisable thème :« Roméo et Juliette . J’ai pris le film par le bout de la lorgnette « film pour ados ». Cela m’évite de me casser la tête et d’être positivement négatif. A partir de ce principe, la pilule est douce à avaler. En toute objectivité, le film est loin d’être une daube et évidemment, il est loin d’être réussi. A commencer par l’amourette de cette fille introvertie qui concrétise rapidement. Le récit s’emballe un peu trop vite ; à mon avis, il aurait été intéressant que David rame un peu. Au-delà de voir des beaux acteurs et de bons acteurs, à voir en VO évidemment, le seul intérêt du film reste la personnalité du père, Bruce Greenwood, qui donne un tantinet d’intensité au drame, lequel drame, contrairement à Shakespeare, se convertira en une histoire d’amour qui se terminera bien. Comme pour les sucres, il y a des sucres lents et des sucres rapides ; « Un amour sans fin » est un sucre rapide. Ce n’est pas déplaisant mais il se consommera vite dans mon esprit.

Voici la deuxième adaptation du roman de Scott Spenser, la première datée de 1981 et fut à la fois le dernier film en Amérique de Franco Zeffirelli et les premières apparitions dans des seconds rôles de James Spader et Tom Cruise, rien que ça ! Cependant, contrairement à cette première mise en image, ce remake n’a pas été interdit au moins de 16 ans pour cause de scène de sexe trop osée entre adolescents, parce qu’il a privilégié le côté romance impossible tendance grande envolée sentimentale. Alors, l’histoire est simple, David et Jade c’est écrit dans les étoiles, mais problème elle est riche et a un père ultra-protecteur et il est pauvre, un passé tumultueux et un avenir plutôt flou. Mais, comme le titre l’indique, leur amour est infini… Vous l’aurez compris si vous ne supportez pas les mélos romantiques adolescents, passez votre chemin, parce qu’ici le sentimentalisme béat est de tous les plans. Mais, étrangement, on finit quand même par se laisser prendre au jeu et le temps resserré de l’action, quelques jours, la présence des parents et des amis, qui interviennent souvent, rendent l’intrigue d’une romance échevelée finalement assez digeste. Alors, ne nous méprenons pas, on reste dans du romantisme à tout crin, et les clichés du genre sont respectés, acteurs sublimement beaux, péripéties crève-cœur, déclaration enflammée, mais comparativement aux films tirés des romans de Nicolas Sparks, qui jouent sur le même registre, ce film reste plus sobre. Un vrai mélo adolescent comme Hollywood nous en sort de temps en temps, mais qui par rapport aux précédents offre une histoire mieux écrite et un registre sentimental un tantinet plus sobre. À voir pour les fans du genre évidemment, mais les autres pourraient également apprécier.

Un beau film qui n'a rien d'original mais devant lequel on passe un bon moment. J'ai beaucoup aimé le duo d'acteurs et l'histoire, bien qu'un peu banale et prévisible. Par contre, selon moi, ce film n'est pas un drame.

"Un amour sans fin" est l’histoire d’un coup de foudre entre une fille de la haute société, Jade Butterfield (Gabriella Wilde), et un garçon qui a son seul charme pour atout, David Elliot (Alex Pettyfer). Il va en découler une histoire d’amour passionnée, attisée par la véhémence avec laquelle le père de Jade tente de les séparer. Ces deux adolescents, David et Jade, s’aiment à la folie spoiler: mais leurs parents n’adhèrent pas à cet amour. Quand ces derniers essayent de les séparer, David met le feu à leur maison. Il est alors envoyé en maison de correction
. Ça aurait pu commencer comme une comédie romantique banale. Ça aurait pu commencer comme "Roméo et Juliette" (presque) : une jeune fille de très bonne famille qui tombe amoureuse d’un jeune homme ayant eu quelques légers démêlés avec la justice. Sauf que "Un amour sans fin" est un peu plus que ça. Ce film aurait dû sortir plus tôt dans le printemps. Vous savez, certains films ont des périodes propices pour sortir, même s’ils ne sont pas formatés pour à la base. Dans ce film pour ados on a tous les clichés possibles : un jeune homme tourmenté par son passé, une demoiselle fraîche et timide qui se laisse attendrir, des parents trop présents... Le conte n’est pas nouveau, il a été raconté maintes fois. Néanmoins, on arrive à se faire piéger volontairement, par besoin ou par facilité, je ne sais pas, mais pourquoi se poser ces questions après tout ? Laissez-vous guider par la sensibilité, la pureté qui couvre d’un voile les cœurs meurtris par la vie, par les obstacles, par les coups durs qui vous changent au plus profond de vous-même. Je crois que l’on se laisse prendre au jeu, car nous avons tous besoin de ça, j’entends par là de répit, de légèreté, d’amour simple qui nous aiderait à surmonter le reste. Même l’amour simple ne dure jamais dans les films, cela nous rapproche des personnages. Ce film romantique traite de l’amour innocent égratigné par les adultes, leurs expériences et leurs à priori. "Un amour sans fin" est un joli film parsemé de très beaux moments. Un film doux et sensible qui donne l’irrésistible envie d’aimer et d’être aimé. Un film qui raconte avec beaucoup de grâce la fragilité du premier amour, les soubresauts du cœur et ses atermoiements. C’est frais et tendre et les deux jeunes interprètes du film, Alex Pettyfer et Gabriella Wilde, sont pour beaucoup dans ce sentiment de légèreté qui prédomine pendant toute la première partie. Là où le bât blesse c’est que "Un amour sans fin" devient ensuite un film beaucoup plus balisé que ne le présageait son prologue. Cette romance dramatique possède au final un air de "déjà vu" et finit par faire oublier ses illustres références ("The Spectacular Now", "The Perks of Being a Wallflower") pour devenir un teen movie classique dont les enjeux dramatiques basiques sont trop cousus de fil blanc pour apporter leur lot de surprises. Ce ne sont pas les vétérans Bruce Greenwood et Robert Patrick ("Le Secret de Térabithia") dans des rôles dont l’épaisseur du trait provoquent justement ce basculement vers la banalité, ni même l’interprétation de la trop rare Joely Richardson, qui changent la donne. Le roman de Scott Spencer, "Endless Love" paru en 1979, avait déjà donné un film, "Un amour infini" de Franco Zeffirelli en 1981, avec le débutant Tom Cruise. Son remake reste un film sincère et d’une infinie sensibilité, qui bénéficie d’une mise en scène de Shana Faste trop académique. Pas un grand film donc, mais un moment qui touchera à l’âme ceux qui aiment se laisser porter par la vague des premiers serments et des premiers baisers échangés. Mais c’est une comédie romantique américaine très et trop typique. Le "mauvais garçon" et la jolie blonde tombent amoureux mais le papa n’est pas trop d’accord parce qu’il a d’autres idées pour sa fille. Forcément il est le seul que cela dérange. Séparation, malentendus, déclarations, tendances à conquérir la famille, retournements de situation... Le film suit le fil typique des romances américaines, c’est simple, ça fonctionne même si c’est vraiment pas extraordinaire. "Un amour sans fin" est un drame romantique mielleux qui tente de se donner de la contenance à l’aide de retournements de situation dramatiques prévus longtemps à l’avance. Les acteurs sont certes très agréables à regarder, mais le scénario et la mise en scène font d’eux des personnages presque comiques. Les scènes de leurs émois amoureux, plus clichées les unes que les autres, s’enchaînent à l’écran, accompagnées en permanence par une musique de variété assourdissante. Les seconds rôles forment un ensemble de stéréotypes : le père tyrannique, la mère dépassée par les événements, l’ex copine un peu garce ou encore le bon copain à l’humour discutable. La thématique de la découverte de l’amour devrait plaire à un grand nombre d’adolescents. Mais de nombreuses comédies romantiques sont à découvrir d’urgence avant de se plonger dans ce film, qui dure tout de même près de 2 heures. Cela étant, les acteurs sont très bons (Alex Pettyfer et Gabriella Wilde sont très bons, et le reste du casting s'en sort relativement bien). La réalisation reste académique mais la mise en scène est assez soignée. Le gros point positif de ce film reste les décors qui sont franchement incroyables. Enfin, cela a été une petite surprise de voir Emma Rigby (la Reine Rouge dans la série télévisée dramatique américaine "Once upon a time in Wonderland") dans le rôle d'une ex de David, jalouse et détestable à souhait, qui va tout faire pour gâcher la vie du couple. Bref, une romance sympathique et très classique, et trop mielleuse et stéréotypée, mais qui reste sympathique et mignonne. "Un amour sans fin" reste un film d'amour vraiment pas mal dans son genre, mais qui n'est vraiment pas inoubliable. Pour une soirée pop-corn, ou une envie de pot de crème glacée, c’est parfait. Et puis Alex Pettyfer est toujours un bon point visuel dans un film...