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    Sils Maria
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    3,4
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    267 critiques spectateurs

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    antony Z.
    antony Z.

    74 abonnés 1 066 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 août 2014
    L'intérêt principal réside à la fois dans l’interprétation des acteurs et dans le sujet abordé qui est très intéressant quant au temps qui passe et ce à travers les différents métiers du cinéma (l'actrice et son assistante principalement). Mais pas seulement... sont abordés les difficultés psychologique liés au métier d'acteur quant à l'appropriation des personnages joués quitte à se perdre soit même. Quoiqu'il en soit, le film est peut-être trop intellectuel ou tout simplement se perd-il au milieu de ce qu'il veut transmettre? pour ma part, j'ai jamais vraiment "accroché" son rythme m'ennuyant peu à peu
    annereporter94
    annereporter94

    52 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 août 2014
    Rien que pour la prestation de Juliette Binoche, il ne faut pas manquer ce film. D'autant plus que, face à elle, Kristen Stewart est magnifique... Ce duo d'actrices, c'est aussi le sujet du film: le réel se m^le à chaque instant à la fiction!
    Julien D
    Julien D

    1 213 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 août 2014
    Grâce à la réunion de trois interprètes aux parcours totalement différents, Olivier Assayas poursuit son étude de la condition d’actrice entreprise dans Irma Vep. Dans ce rôle très introspectif, Juliette Binoche est tout bonnement exceptionnelle, tout comme le sont d’ailleurs Kirsten Stewart et Chloë Grace Moretz qui signent chacune leur rôle le plus mature, et qui toutes trois forment tous les aspects de ce métier fascinant. En effet, tandis que Binoche et Moretz représentent, elles-mêmes comme leur personnage, deux générations qui ne se comprennent pas, le face à face, dans l’acte 2 (un chapitrage qui, comme l’est la mise en scène, est directement inspiré du théâtre), entre Binoche et Stewart reflète l’inévitable question du temps qui passe. Deux formes de confrontation intelligemment approfondies qui sont filmés avec une finesse exquise, et en grande partie dans le cadre de magnifiques montagnes suisses où un phénomène météorologique et cinégénique a visiblement autant captivé le réalisateur que ses magnifiques comédiennes. Trop souvent verbeux et démonstratif, le long-métrage perd, en son milieu surtout, beaucoup en intensité mais l’ensemble n’en reste pas moins un pur moment de cinéma qui vaut surtout pour sa distribution inoubliable.
    brunetol
    brunetol

    193 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 août 2014
    Sur le temps qui passe, voyez "Boyhood" (ma précédente critique). Sur le star system, voyez "Maps to the Stars", dont le sujet est curieusement assez proche - mais tellement mieux traité. Sur les paysages des Alpes, voyez "Le mur invisible". Que reste-t-il à voir dans "Sils Maria" ? A peu près rien. Si. Kristen Stewart, dont j'ignorais tout, et qui est la seule lueur de vie dans ce pensum surgelé, et justifie l'étoile et demie de ma note. Pour le reste, Assayas continue son travail de théoricien - niveau classe terminale. Il a l'air très pénétré de son sujet, aussi passionnant que la thèse d'Agnès Jaoui dans "On connait la chanson" (pour mémoire : "Les Chevaliers-paysans de l'an mil au lac de Paladru"). Là, ce sont "Les états d'âmes d'une star vieillissante". Comme dans le très exécrable "Trois couleurs : Bleu" de Kieslowski, où Binoche était également égarée, Assayas invente un faux auteur connu et des fausses actrices adulées dans des fausses pièces à succès. Tout ce bazar s'englue dans des dialogues sans fin entre l'actrice et son assistante, tandis qu'un faux metteur en scène génial a proposé à la fausse actrice célèbre quinquagénaire (Binoche) de rejouer la fausse pièce en endossant le rôle de la vieille alors qu'elle avait joué la jeune quand elle l'était (jeune). Ça pouvait faire un roman (du genre que je ne lis jamais). Au cinéma c'est juste insignifiant. Ennui mortel.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 août 2014
    Juliette Binoche est vraiment vraiment exceptionnelle dans ce film. Les autres perso la mettent en valeur. On se prend au jeu, on s'attache à cette femme
    Axis.fr
    Axis.fr

    18 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 août 2014
    Soooo overrated :Lent, trop lent, verbeux... et il ne se passe (presque) rien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 août 2014
    J'ai mis 5 étoiles à ce film, qui pour moi est un véritable chef-d'oeuvre. Il est bien dommage que le jury du festival de Cannes ne lui ait pas attribué un prix...En effet, nous retiendrons sûrement encore longtemps ce fabuleux duo Binoche/ Kristen Stewart. Cette dernière est excellente dans ce film, rien n'a voir avec Twilight, on retrouve la Kristen des débuts. Binoche est elle aussi excellente.Le film en lui même est très intéressant, certains ont pu trouver le film long, mais en réalité chaque scène a sa place et son importance dans le film. Assayas nous gâte de magnifiques paysages et la bande original s'accorde parfaitement avec les images. On se laisser tout simplement emporter... Un gros bravo donc à Oliver Assayas, Juliette Binoche, Chloé Moretz, et surtout Kristen Stewart qui vole la vedette! Je recommande vivement ce film!
    Ufuk K
    Ufuk K

    523 abonnés 1 486 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 septembre 2014
    film bien trop classique pour moi ennuyant je n'ai jamais ete captivé par le film l interprétation des actrices été correcte ce qui vient sauver le film du naufrage!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 août 2014
    Sur un scénario des plus ténus (la prise de tête d'une actrice) on récupère une sorte de huis clos très verbeux entre Maria (l'actrice, Juliette Binoche) et son attachée de presse-confidente-secrétaire (Valentine, Kristen Stewart). C'est long, lent, sans guère d'action et donc passablement ennuyeux. On ne perdra rien en n'allant pas voir ce film.
    pierre72
    pierre72

    142 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 août 2014
    J'ai vu le must de la rentrée cinématographique si l'on en croit les gazettes ! J'ai admiré Juliette Binoche et Kristen Stewart dans le nouveau film d'olivier Assayas. Qu'importe qu'il soit revenu bredouille de Cannes, en août c'est lui qui obtient la palme du boniment, de l'oeuvre injustement boudée. La presse dégouline de superlatifs, d'admiration tout en ne proposant généralement qu'une seule et même photographie de Juliette Binoche en robe du soir Chanel.Il faut bien ce rouleau compresseur médiatique pour faire courir les spectateurs dans les salles pour aller se passionner aux interrogations intimes d'une comédienne célèbre (Binoche) se trouvant confrontée à une jeunesse aux dents longues qui la chassera impitoyablement du haut de l'affiche et aux vertiges d'une pièce de théâtre qui n'est finalement qu'un représentation de sa propre vie.Le sujet, essentiellement destiné à une élite de spectateurs concernée par les affres de la création et les interrogations de la fugacité de son aura à l'intérieur du star system, va avoir du mal à alpaguer le populo. Peut être que quelques ados énamourés, attirés par la présence de Mlle Stewart, se risqueront à aller grignoter quelques popcorns avant de soupirer en s'apercevoir que non, ce n'est pas un succédané de "Twilight". D'ailleurs, je me demande si tout ce tam tam assourdissant n'est pas là pour essayer d'amortir au maximum le cachet (surement exorbitant) de la jeune star hollywoodienne.Essaie-t-on encore une fois de nous faire prendre une vessie pour une lanterne ? Pas tout à fait quand même, le film a des qualités mais pas au point je^pense à entrer dans la légende du cinéma !Composé en deux parties et un épilogue, "Sils Maria" emporte tout d'abord l'adhésion dans le descriptif de l'univers de la star. La caméra sait rendre le rythme trépidant d'une vedette surbookée et qui apprend la mort de l'auteur qui l'a lancée. Aidée par une jeune secrétaire ( Mlle Stewart avec des lunettes pour faire sérieuse) qui filtre et organise sa vie comme un cerbère dévoué, la star va devoir affronter les médias (lunettes de soleil, visage fermé), un hommage à l'auteur ( rayonnante et profonde) et sa vie de tous les jours (pleurante car compliquée par un divorce ). Dans cette évocation la caméra d'Assayas est étonnante de précision et sait très bien rendre le stress qui enveloppe la comédienne. Par contre, et cela on s'en apercevra lors de la deuxième partie, on ne sent aucun rapport de proximité avec sa secrétaire, très présente certes mais vivant sa vie en marge. Et ce n'est pas la scène d'intimité entre elles, au bord d'un lac, qui soude un tant soit peu le duo. Intimité est un bien grand mot. Disons qu'à un moment, après une balade, la star veut prendre un bain, se met nue et demande à sa secrétaire de la rejoindre dans l'eau. Cette dernière se déshabillera mais restera en sous vêtements (et là on s'aperçoit à l'écran que Mlle Stewart, sûrement très prude, à l'américaine, porte un boxer sous lequel elle met un slip!), pensant surement que cette envie soudaine de nudisme n'est qu'une folie de vieille personne surement ex soixante huitarde.La suite sur le blog
    Claire D
    Claire D

    7 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2014
    Excellents jeux d'actrices. Beaucoup de profondeur, de magnifiques paysages et une musique délicieuse.
    Christian Wacrenier
    Christian Wacrenier

    18 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 août 2014
    Allez voir ce film. C'est un régal de sensibilité et d'intelligence. Si j'excepte quelques longueurs et deux ou trois scènes répétitives, il n'y a rien à jeter.Je voudrais insister sur un aspect du film dont je ne trouve pas l'écho dans les critiques. La deuxième partie, le huis-clos entre Maria Anders et Valentine. L'actrice et sa secrétaire répètent la pièce jouée vingt ans plus tôt par une Maria Anders au début d'une carrière brillante. Elle jouait alors Sigrid, la jeune fille ambitieuse qui séduisait Héléna, femme mûre et vulnérable. Maintenant, Maria Anders doit jouer à son tour Héléna et ce rôle l'angoisse, il le renvoie à son âge, au temps qui a passé, à l'évolution d'un monde qu'elle ne comprend plus et qu'elle juge superficiel. Maria Anders est à l'image d'un temps qui a fait son temps, celui d'une culture exigeante et élitiste qui convoque les grands textes et la musique classique, celui d'un cinéma sans 3D, sans clips, sans héros lasérisés. Sa jeune secrétaire, Valentine saisit avec gourmandise tout ce modernisme. Elle ne le juge pas; elle en garde ce qu'il a de fort et qui correspond à la sensibilité de la jeunesse. C'est donc avec ce regard jeune qu'elle comprend la pièce pour laquelle elle donne la réplique à la grande actrice. Mais ce qu'il y a de plus étonnant et qui crée un suspense dans cet acte pirandellien du film, c'est que Valentine qui dit les répliques de Sigrid, la jeune fille de la pièce, éprouve des sentiments proches de ceux d'Héléna, la femme mûre. Elle admire, elle aime. Elle espère de toutes ses forces recevoir un regard admiratif ou du moins compréhensif. Maria anders ne voit rien de cette présence exigeante et amoureuse. elle n'écoute rien des conseils de Valentine. Au fond, elle ne la voit pas. Deux scènes disent bien cet aveuglement. Elles se font écho. Anders et Val sont allées dans la montagne regarder la vallée et le fameux nuage "serpent" qui se faufile entre les parois. Elles se sont endormies. Il se fait tard, il faut redescendre. Anders connaît un raccourci En fait, elle s'égare. "Il suffit de descendre" dit-elle, il y aura une route.A la fin de la 2ème partie, c'est Val qui conduit Anders dans la montagne. Elle connaît le chemin. Anders est persuadée qu'elle se trompe. Val ne se trompe pas et conduit Anders là où l'on peut découvrir le serpent de nuages. Anders la contredit encore. Il n'y aura pas le serpent. Elle regarde. Elle scrute le col et soudain, le serpent de nuages apparaît. Elle se retourne vers Val. Personne. Val a disparu et ne réapparaîtra pas. Cette disparition fait écho à celle de la pièce où c'est la femme jouée, la femme rejetée qui s'en va et disparaît.Il y a eu entre les deux femmes une ultime dispute sur le sens de cette fin de la pièce. Pour Anders, Héléna allait se suicider; Pour Val, elle partait, elle quittait un lieu mortifère pour se reconstruire, plus loin, plus haut.Fin de ce deuxième acte où Anders passe à côté d'une admiration amoureuse qui aurait pu lui redonner confiance, en elle et conscience d'une réalité jeune et riche où elle avait sa place.L'épilogue qui n'est pas le plus réussi à mon point de vue se termine néanmoins sur une mise en scène glacée, déshumanisée de la pièce avec une Anders-Héléna funèbre, une loque comme lui dit la jeune actrice qui interprète Sigrid et qui n'a pas sur elle le regard régénérateur et généreux de Val.Il faut dire la justesse de Binoche et de K. Stewart. Il faut dire la souffrance à fleur de peau mais si bien cachée sous le sourire mondain et les rires de l'une, l'attente nerveuse et amoureuse de l'autre...Il faut dire la beauté des images et des visages.L'auteur de la pièce avait choisi pour mourir ce lieu dans la montagne d'où l'on pouvait voir, venu des lacs italiens le serpent de nuages, spectacle à la fois hors du temps et dans le temps. C'est ce prodige que nous donnent à voir les grandes oeuvres d'art et les fims d'exception. C'est ce serpent de nuages, si réel et si intemporel que nous offre ce film.
    Kapp Pacino B.
    Kapp Pacino B.

    11 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 septembre 2014
    Une étoile qui correspond à la beauté des paysages uniquement ..
    Olivier assayas qui fait partie du petit gratin français fort apprécié dans ce milieux confirme ici que sa renommée est bien au delà de son véridicite talent.
    Talent qui équivaut à celui d'un poulpe mort :le néant total !!!
    J'ai absolument détesté ce film qui parle qui parle et qui se regarde le nombrile bien plus qu'il n'agit.
    Le niveau des répliques rase le sol même si ça prétend nous étaler de la philo à deux sous pendant 2h longues heures interminables.
    Dans ce film il y avait à la base deux actrices que j'adore: Binoche et Stewart.
    Mais la réalisation est tellement mauvaise qu'elles coulent littéralement avec le navire:
    Stewart n'a jamais été si mauvaise, si fausse, tjs si hautaine et ultra froide, beaucoup trop traficoté par ses années Twiligt avec ses air bien à elle de lesbienne refoulée: INSSUPORTABLE !Tellement pas naturel comparé à Binoche alors que normalement Binoche joue l'actrice et elle l'assistante: illogique complet.
    Il y a de grosses incohérences du style:Stewart qui abandonne Binoche en pleine montagne alors qu'elle est à dix mètre deriere elle et que Binoche découvre qu'elle n'est plus là au bout de 5min, elle part donc illico à sa recherche mais en vain.Croire que Stewart s'est tapée toute la descente de montagne en sprint ou à pris un tapis volent ou encore un élico?!?!?!
    Chloé Moretz qui téléphone à un pseudo ami "Harry" dans sa séquence dans la voiture pour qu'il vienne l'aider à éviter les paparazzis, sauf qu'on ne sait pas qui est ce mec ni ce qu'il a fait pour l'aider, la réplique de Moretz reste un mystère total d'incompréhension et absolument inutile.
    Le copain de Moretz qui demande de l'eau lors d'un appérot mais qui se retrouve le seul à avoir un vert de Cognac sur la table bien en évidence devant lui en premier champs.Heureusement que Assayas s'est dit qu'il lui fallait un coup de grâce au cas où son film soit un navet total comme "Apres mai " sa dernière réalisation .
    Ce coup de Grace c'est bien sur Chloé Moretz qui malgré son jeune âge prouve que c'est une vrai valeur sûr et une sacrée grande actrice américaine !!!Les autres rôles secondaires sont archi carucaturé (l'assistante/l'amant écrivain/le rea qui prend la succession du film/le vieux acteur pervers).Au final j'ai passé deux heures de mon temps précieux à beaucoup bailler, à me tortiller dans mon siège de cinéma parcqu'il était trop rapproché de celui de devant et à fumer bcp de clopes sur le chemin du retour tant j'étais frustée de m'être fait prendre pour une idiote par le réalisateur.
    Je précise que quand vous avez vu la bande annonce, et bien vous avez tout vu ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 août 2014
    Bon film, malheureusement quelques longueurs a mon goût... Juliette Binoche et Kristen Stewart jouent très bien le rôle d'une actrice et de son assistante personnelle, grande complicité et peut être un peu plus même...
    Fabien D
    Fabien D

    183 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2014
    Sils Maria , le dernier film d'Assayas, aurait amplement mérité de recevoir un prix au dernier festival de Cannes. Réflexion sur le cinéma et le statut d'œuvre d'art, Sils Maria est d'une profondeur psychologique détonnant. Construit en miroir, la pièce, dans laquelle doit jouée l'héroïne, étant dédoublée par les répétitions de celle-ci avec son assistante au point de rendre confus ces enchevêtrements, le film d'Assays est aussi une passionnante réflexion sur le métier d'acteur, ses ambiguïtés et ses limites (l'entertainement, les médias, la compréhension ou l'incompréhension d'un rôle) qui offre à Juliette Binoche et à Kristen Stewart des rôles absolument exceptionnels. Dans un jeu trouble de mise en abyme Binoche joue une actrice qui ne se retrouve plus dans ce qu'est devenu le monde du cinéma face à une Kristen Stewart qui, dans le rôle de l'assistante, défend la possibilité d'être une actrice respectable malgré des choix de carrière discutable (réflexion à propos de l'après Twilight?). Leur affrontement au milieu des montagnes suisses est savoureux tout comme la prestation, dans un second rôle réussi, de Chloé Moretz qui surprend en lolita faussement trash. Sils Maria est une très bonne surprise, fascinante, pleine de poésie et d'émotion. A voir!
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