Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Libération
par Didier Péron
Le cinéaste et acteur Rabah Ameur-Zaïmeche prête corps à une relecture du personnage biblique, dans un film sensible tourné dans le désert algérien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Pas de reconstitution numérique, ici, ni de morceaux de bravoure, juste quelques hommes, des cailloux et une parole dont chaque mot est lentement énoncé pour mieux la laisser s'écouler en nous. Le pari est fort, radical.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Loup Bourget
Tout en ré-orientalisant le récit évangélique, Ameur-Zaïmeche lui donne une portée et un sens qui, échappant à tout contexte historique précis, le rendent pertinent pour notre temps.
TF1 News
par Romain Le Vern
Iconoclaste et hypnotique, le nouveau film de Rabah Ameur-Zaïmeche, cinéaste singulier dans le paysage franco-français, nécessite certes que l'on vienne à lui mais la récompense est grande : par la simple force de ses images, il parvient à générer un envoûtement total.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par François Bégaudeau
Rouvrir le dossier Judas (...), au prix d'une réécriture sacrément culottée et réjouissante du mythe.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Fait de cet alliage de sobriété et d’ampleur, "Histoire de Judas" continue d’explorer la grâce immanente et commune aux visages et aux roches.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
En chamboulant délibérément l’organigramme des Saintes Écritures, "Histoire de Judas" cherche moins à proposer sa vision du mythe qu’à en éprouver la signification, comme on testerait la solidité d’un édifice en éclatant son mur porteur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Il en résulte une sorte de version libre et poétique de l’histoire ; la religion reconsidérée sur un mode archaïque mais non mystique. Un modèle de relecture sans clichés d’un mythe fondateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une vision politique qui revisite la Passion et réhabilite Judas.
Le Monde
par Franck Nouchi
Mais c’est surtout par la grâce d’une caméra baladeuse, qui semble glisser sur le monde comme une caresse suspendue, que « RAZ » donne chair aux idées autant qu’aux êtres qui peuplent ses images. A travers elle, il semble nous dire que toute révolution, si elle doit advenir, n’adviendra pas tant d’une situation objective que d’un regard épris de beauté.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Le postulat de ce nouvel opus de Rabah Ameur-Zaïmeche peut laisser perplexe, mais la beauté de la mise en scène et l'intelligence des dialogues sont indiscutables.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Histoire de Judas" est un bijou de stylisation épurée, aussi mythologiquement incorrect que filmiquement saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Eric Vernay
Divinement éclairé, ce film minimaliste confère mystère, sensualité et souffle contemporain à une histoire que l’on croyait connaître par cœur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Avec un minimalisme radical aussi clivant qu'envoûtant. Une "Passion du Christ" aux antipodes de celle de Gibson.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jacques Morice
POUR : Rabah Ameur-Zaïmeche élimine, lui aussi, tout superflu et toute emphase pour ne garder que la substantifique moelle d'un récit d'amour et de fraternité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
Audacieux, le cinéaste offre sa subjectivité en partage. Il assume cette candeur, ce "on ferait comme si" qui lui viennent de l'enfance - au risque de sourire. Il assume tout autant la distance qu'entretient sa mise en scène, certains dialogues ou le jeu parfois incertain de ses acteurs, qui laissent le spectateur un peu au dehors, mais ouvre le seul espace capable à ses yeux de faire naître la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ouest France
par Pierre Fornerod
Entre antiquité et modernisme, une approche dépouillée qui interpelle.
Télérama
par Pierre Murat
CONTRE: On perçoit mal le but de ce film étrange. Célébrer la bienveillance humaine de Jésus ? Même en cette période de contestation générale, c'est une évidence. (...) Problème : chez Rabah Ameur-Zaïmeche, Judas est un fantôme. Ni coupable, ni innocent : absent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Curieuse initiative que celle d'un cinéaste jusqu'ici marqué par une vraie liberté dans sa filmographie -- que de se lancer dans une entreprise aussi ampoulée que cette "Histoire de Judas". (...) Sans être blasphématoire, mieux vaut faire une croix dessus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
Le cinéaste et acteur Rabah Ameur-Zaïmeche prête corps à une relecture du personnage biblique, dans un film sensible tourné dans le désert algérien.
Paris Match
Pas de reconstitution numérique, ici, ni de morceaux de bravoure, juste quelques hommes, des cailloux et une parole dont chaque mot est lentement énoncé pour mieux la laisser s'écouler en nous. Le pari est fort, radical.
Positif
Tout en ré-orientalisant le récit évangélique, Ameur-Zaïmeche lui donne une portée et un sens qui, échappant à tout contexte historique précis, le rendent pertinent pour notre temps.
TF1 News
Iconoclaste et hypnotique, le nouveau film de Rabah Ameur-Zaïmeche, cinéaste singulier dans le paysage franco-français, nécessite certes que l'on vienne à lui mais la récompense est grande : par la simple force de ses images, il parvient à générer un envoûtement total.
Transfuge
Rouvrir le dossier Judas (...), au prix d'une réécriture sacrément culottée et réjouissante du mythe.
Cahiers du Cinéma
Fait de cet alliage de sobriété et d’ampleur, "Histoire de Judas" continue d’explorer la grâce immanente et commune aux visages et aux roches.
Chronic'art.com
En chamboulant délibérément l’organigramme des Saintes Écritures, "Histoire de Judas" cherche moins à proposer sa vision du mythe qu’à en éprouver la signification, comme on testerait la solidité d’un édifice en éclatant son mur porteur.
L'Humanité
Il en résulte une sorte de version libre et poétique de l’histoire ; la religion reconsidérée sur un mode archaïque mais non mystique. Un modèle de relecture sans clichés d’un mythe fondateur.
Le Dauphiné Libéré
Une vision politique qui revisite la Passion et réhabilite Judas.
Le Monde
Mais c’est surtout par la grâce d’une caméra baladeuse, qui semble glisser sur le monde comme une caresse suspendue, que « RAZ » donne chair aux idées autant qu’aux êtres qui peuplent ses images. A travers elle, il semble nous dire que toute révolution, si elle doit advenir, n’adviendra pas tant d’une situation objective que d’un regard épris de beauté.
Les Fiches du Cinéma
Le postulat de ce nouvel opus de Rabah Ameur-Zaïmeche peut laisser perplexe, mais la beauté de la mise en scène et l'intelligence des dialogues sont indiscutables.
Les Inrockuptibles
"Histoire de Judas" est un bijou de stylisation épurée, aussi mythologiquement incorrect que filmiquement saisissant.
Première
Divinement éclairé, ce film minimaliste confère mystère, sensualité et souffle contemporain à une histoire que l’on croyait connaître par cœur.
Studio Ciné Live
Avec un minimalisme radical aussi clivant qu'envoûtant. Une "Passion du Christ" aux antipodes de celle de Gibson.
Télérama
POUR : Rabah Ameur-Zaïmeche élimine, lui aussi, tout superflu et toute emphase pour ne garder que la substantifique moelle d'un récit d'amour et de fraternité.
La Croix
Audacieux, le cinéaste offre sa subjectivité en partage. Il assume cette candeur, ce "on ferait comme si" qui lui viennent de l'enfance - au risque de sourire. Il assume tout autant la distance qu'entretient sa mise en scène, certains dialogues ou le jeu parfois incertain de ses acteurs, qui laissent le spectateur un peu au dehors, mais ouvre le seul espace capable à ses yeux de faire naître la réflexion.
Ouest France
Entre antiquité et modernisme, une approche dépouillée qui interpelle.
Télérama
CONTRE: On perçoit mal le but de ce film étrange. Célébrer la bienveillance humaine de Jésus ? Même en cette période de contestation générale, c'est une évidence. (...) Problème : chez Rabah Ameur-Zaïmeche, Judas est un fantôme. Ni coupable, ni innocent : absent.
Le Parisien
Curieuse initiative que celle d'un cinéaste jusqu'ici marqué par une vraie liberté dans sa filmographie -- que de se lancer dans une entreprise aussi ampoulée que cette "Histoire de Judas". (...) Sans être blasphématoire, mieux vaut faire une croix dessus.