Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
"Winter Sleep" s'affirme comme une œuvre profonde et grave, d'une intense beauté, servie par l'interprétation exceptionnelle de comédiens impressionnants de justesse et de retenue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Impérial et impérieux.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
C’est Tchékhov et Bergman réunis. Long, long et beau à la fois.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) attentif aux moindres souffles et regards, Nuri Bilge Ceylan observe en philosophe les aléas de la condition humaine.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une démarche d’esthète, nourrie de considérations éternelles sur la vie de couple et les liens de famille.
Paris Match
par Yannick Vely
Peu de films changent imperceptiblement votre vision du monde, «Sommeil d’hiver» est de ceux-là.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Damien Aubel
"Winter Sleep" est un film visant petit - et c'est ce qui fait sa grandeur.
Télérama
par Pierre Murat
Ce film superbe, dont on ne sort pas indemne, qu'on emporte avec soi pour ne le quitter jamais, provoque, en nous, de la peur et de la mélancolie : angoisse totale à l'idée d'être liés, même de loin, à tous ces personnages en perte d'eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
"Winter Sleep" de Nuri Bilge Ceylan est si passionnant qu’on ne voit pas les trois heures seize minutes passer !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Eric Libot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michèle Levieux
Nuri Bilge Ceylan (...) innove dans l’utilisation de la haute définition cinémascopique, mettant les nouvelles techniques au service de l’approfondissement du rendu à l’image de paysages mentaux face au non-sens de l’existence.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
L'ambition du projet, la sûreté de la manière, la beauté saisissante des paysages de Cappadoce (...), la justesse du regard, voilà toutes les raisons de céder trois heures d'été à l'hiver.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Nuri Bilge Ceylan filme l'épuisement d'un homme inconscient de son propre épuisement. Un chef-d'œuvre qui en impose, à défaut peut-être de laisser la possibilité de s'imposer...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) la critique du confort intellectuel et matériel n’est-elle pas une spécialité de l’art bourgeois qui contribue à maintenir l’ordre en place ? "Winter Sleep" penche-t-il vers l’académisme de la modernité des années 60 ou vers l’éternité du classicisme ? Beau film, oui, à ces quelques interrogations près.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heyman
"Winter Sleep" est une splendide épopée intime où les visages sont des paysages et les paysages, des personnages, où vibre à chaque instant la rugueuse vérité des êtres, où la parole est dévastatrice et salutaire, où chaque image dit davantage ce qu'elle montre.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
La montée de l'émotion dans cette fresque intime de plus de trois heures témoigne d'une ébouriffante maîtrise de la mise en scène.
Première
par Christophe Narbonne
"Winter Sleep" est de ces oeuvres qui vous font penser la vie autrement. Rien que ça.
Public
par Florence Roman
Un film beau et rugueux plein d'humanité, entre règlements de comptes et paysages somptueux...
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Evangéline Barbaroux
Portés par la beauté des images et l'histoire de secrets et de non-dits, on se retrouve quelque part entre Tchekhov et Bergman. N'ayez pas peur de la durée : Winter Sleep est une splendeur.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
par Julien Marsa
Ceylan se conforme à une espèce d’ersatz de virtuosité, reflet qu’il se fait d’une œuvre sérieuse et importante, en forme de petit manuel de maîtrise formelle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
L’ensemble est passionnant et d’une finesse sociale et psychologique qui force souvent l’admiration. Toutefois, en s’intéressant à la fin de parcours automnal d’un homme cultivé (...), Nuri Bilge Ceylan oublie l’importance du montage comme outil essentiel de la construction cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le film ne fonctionne que par purs effets de reconnaissance. (…) Un quasi-huis clos mélancolique dans une demeure hivernale, c’est forcément « tchékhovien ». Des silhouettes perdues dans des grands paysages désolés, c’est forcément « antonionien ». De longues escarmouches verbales entre personnages d’âge mûr, c’est forcément « bergmanien »… Pas si vite !
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
La proposition de Nuri Bilge Ceylan est dépourvue de chair et d’empathie et lutte perpétuellement pour créer le moindre contact avec le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Nuri Bilge Ceylan, comme de coutume, concocte des plans d'une grande beauté, très atmosphériques. Mais "Winter Sleep" enchaîne à un rythme infernal un flot verbal d'une rare ampleur (...).
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Julien Gester
«Est-ce bien la vie ou une mauvaise pièce ?» s’indigne ainsi au bout de trois heures un personnage. Le principal tort de Ceylan est sans doute de croire la question tranchée dès qu’il enrubanne ses scènes des signes extérieurs d’une idée assez poussiéreuse et hautaine du «grand art» (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Jérôme Vermelin
(...) l’action se résume à une enfilade dialogues tellement longs - et abscons - que les spectateurs peuvent aller faire une (ou plusieurs) pauses pipi sans risquer de louper la fin. A moins de s’être endormis avant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Peu convaincant, malgré une mise en scène talentueuse.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
La Croix
"Winter Sleep" s'affirme comme une œuvre profonde et grave, d'une intense beauté, servie par l'interprétation exceptionnelle de comédiens impressionnants de justesse et de retenue.
La Voix du Nord
Impérial et impérieux.
Le Dauphiné Libéré
C’est Tchékhov et Bergman réunis. Long, long et beau à la fois.
Le Journal du Dimanche
(...) attentif aux moindres souffles et regards, Nuri Bilge Ceylan observe en philosophe les aléas de la condition humaine.
Ouest France
Une démarche d’esthète, nourrie de considérations éternelles sur la vie de couple et les liens de famille.
Paris Match
Peu de films changent imperceptiblement votre vision du monde, «Sommeil d’hiver» est de ceux-là.
Transfuge
"Winter Sleep" est un film visant petit - et c'est ce qui fait sa grandeur.
Télérama
Ce film superbe, dont on ne sort pas indemne, qu'on emporte avec soi pour ne le quitter jamais, provoque, en nous, de la peur et de la mélancolie : angoisse totale à l'idée d'être liés, même de loin, à tous ces personnages en perte d'eux-mêmes.
20 Minutes
"Winter Sleep" de Nuri Bilge Ceylan est si passionnant qu’on ne voit pas les trois heures seize minutes passer !
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
Nuri Bilge Ceylan (...) innove dans l’utilisation de la haute définition cinémascopique, mettant les nouvelles techniques au service de l’approfondissement du rendu à l’image de paysages mentaux face au non-sens de l’existence.
Le Monde
L'ambition du projet, la sûreté de la manière, la beauté saisissante des paysages de Cappadoce (...), la justesse du regard, voilà toutes les raisons de céder trois heures d'été à l'hiver.
Les Fiches du Cinéma
Nuri Bilge Ceylan filme l'épuisement d'un homme inconscient de son propre épuisement. Un chef-d'œuvre qui en impose, à défaut peut-être de laisser la possibilité de s'imposer...
Les Inrockuptibles
(...) la critique du confort intellectuel et matériel n’est-elle pas une spécialité de l’art bourgeois qui contribue à maintenir l’ordre en place ? "Winter Sleep" penche-t-il vers l’académisme de la modernité des années 60 ou vers l’éternité du classicisme ? Beau film, oui, à ces quelques interrogations près.
Marianne
"Winter Sleep" est une splendide épopée intime où les visages sont des paysages et les paysages, des personnages, où vibre à chaque instant la rugueuse vérité des êtres, où la parole est dévastatrice et salutaire, où chaque image dit davantage ce qu'elle montre.
Positif
La montée de l'émotion dans cette fresque intime de plus de trois heures témoigne d'une ébouriffante maîtrise de la mise en scène.
Première
"Winter Sleep" est de ces oeuvres qui vous font penser la vie autrement. Rien que ça.
Public
Un film beau et rugueux plein d'humanité, entre règlements de comptes et paysages somptueux...
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Portés par la beauté des images et l'histoire de secrets et de non-dits, on se retrouve quelque part entre Tchekhov et Bergman. N'ayez pas peur de la durée : Winter Sleep est une splendeur.
Critikat.com
Ceylan se conforme à une espèce d’ersatz de virtuosité, reflet qu’il se fait d’une œuvre sérieuse et importante, en forme de petit manuel de maîtrise formelle.
aVoir-aLire.com
L’ensemble est passionnant et d’une finesse sociale et psychologique qui force souvent l’admiration. Toutefois, en s’intéressant à la fin de parcours automnal d’un homme cultivé (...), Nuri Bilge Ceylan oublie l’importance du montage comme outil essentiel de la construction cinématographique.
Cahiers du Cinéma
Le film ne fonctionne que par purs effets de reconnaissance. (…) Un quasi-huis clos mélancolique dans une demeure hivernale, c’est forcément « tchékhovien ». Des silhouettes perdues dans des grands paysages désolés, c’est forcément « antonionien ». De longues escarmouches verbales entre personnages d’âge mûr, c’est forcément « bergmanien »… Pas si vite !
CinemaTeaser
La proposition de Nuri Bilge Ceylan est dépourvue de chair et d’empathie et lutte perpétuellement pour créer le moindre contact avec le spectateur.
Franceinfo Culture
Nuri Bilge Ceylan, comme de coutume, concocte des plans d'une grande beauté, très atmosphériques. Mais "Winter Sleep" enchaîne à un rythme infernal un flot verbal d'une rare ampleur (...).
Libération
«Est-ce bien la vie ou une mauvaise pièce ?» s’indigne ainsi au bout de trois heures un personnage. Le principal tort de Ceylan est sans doute de croire la question tranchée dès qu’il enrubanne ses scènes des signes extérieurs d’une idée assez poussiéreuse et hautaine du «grand art» (...).
Metro
(...) l’action se résume à une enfilade dialogues tellement longs - et abscons - que les spectateurs peuvent aller faire une (ou plusieurs) pauses pipi sans risquer de louper la fin. A moins de s’être endormis avant.
TéléCinéObs
Peu convaincant, malgré une mise en scène talentueuse.