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Un peu inégale dans ses multiples ambitions, cette comédie aux dialogues incisifs portée par des comédiens très en forme offre un spectacle aussi drôle que dynamique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Avec "Les Grandes Ondes"…, l’ambition est de retrouver l’esthétique des comédies populaires 70’s, leur liberté de ton et leur appel à l’insubordination (de la comédie italienne à celles réalisées par Pierre Richard), pour donner un peu d’air à une époque, la nôtre, qui en manque cruellement.
Lionel Baier (...) signe une comédie absurde et caustique (...). Le scénario, riche en trouvailles loufoques, les dialogues, toujours inventifs, et la distribution (...) justifient que l'on oublie la timidité de la mise en scène et font du film une réussite mineure mais réelle dans un genre (la comédie) trop souvent malmené par les tâcherons et les cyniques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
On saisit alors l’actualité européenne d’un appel à la révolution qui invite à dépasser les réflexes isolationnistes et les conservatismes frileux pour s’accomplir dans le détournement. Alors que le musical envahit brutalement la comédie et les rues de Lisbonne, "Les Grandes Ondes" émet de bonnes vibrations.
Sautant joyeusement d’une tonalité à l’autre, le film finit par ressembler à son équipe de sympathiques bras cassés, brinquebalant, et à l’inégalité assumée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Par-delà son ambition trop rare d’accorder la comédie francophone à un réel souci d’élégance de l’écriture et de la mise en scène, l’aspect le plus attrayant du film tient à sa façon d’administrer cette liberté à lui-même et à ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Si le conflit entre un Michel Vuillermoz à la mémoire défectueuse et une Valérie Donzelli féministe repose sur des schémas connus, il offre néanmoins un vent de folie à cette plongée colorée dans l'histoire récente de l'Europe.
L’humour de Lionel Baiez – les heureux spectateurs d’"Un autre homme" (2008) savent de quoi on parle – peine à convaincre dans le premier tiers du film mais dès que le réalisateur lâche les chiens (partouze libertaire, comédie musicale qui oppose flics et manifestants, récit à mi-voix de Vuillermoz en plein cœur d’une place investie par les révolutionnaires), le film prend sa vitesse de croisière.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ouest France
Un regard nostalgique et amusé de Lionel Baier sur une période de bouleversements. Avec un savoureux quatuor d'interprètes.
L'Humanité
Bref, une farce rétro pleine de sel, pimentée par l’hédonisme naturel de ce facétieux cinéaste.
Le Figaroscope
L'odyssée de trois pieds nickelés de la presse au Portugal. Cocasse.
Le Monde
Un peu inégale dans ses multiples ambitions, cette comédie aux dialogues incisifs portée par des comédiens très en forme offre un spectacle aussi drôle que dynamique.
Les Inrockuptibles
Avec "Les Grandes Ondes"…, l’ambition est de retrouver l’esthétique des comédies populaires 70’s, leur liberté de ton et leur appel à l’insubordination (de la comédie italienne à celles réalisées par Pierre Richard), pour donner un peu d’air à une époque, la nôtre, qui en manque cruellement.
Positif
Lionel Baier (...) signe une comédie absurde et caustique (...). Le scénario, riche en trouvailles loufoques, les dialogues, toujours inventifs, et la distribution (...) justifient que l'on oublie la timidité de la mise en scène et font du film une réussite mineure mais réelle dans un genre (la comédie) trop souvent malmené par les tâcherons et les cyniques.
Télérama
Avec les personnages, on goûte une certaine innocence joyeuse, et la fraîcheur de l'espoir, dans cette décennie militante et rêveuse.
Cahiers du Cinéma
On saisit alors l’actualité européenne d’un appel à la révolution qui invite à dépasser les réflexes isolationnistes et les conservatismes frileux pour s’accomplir dans le détournement. Alors que le musical envahit brutalement la comédie et les rues de Lisbonne, "Les Grandes Ondes" émet de bonnes vibrations.
Critikat.com
Sautant joyeusement d’une tonalité à l’autre, le film finit par ressembler à son équipe de sympathiques bras cassés, brinquebalant, et à l’inégalité assumée.
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
Singulière et réjouissante comédie (...).
Le Journal du Dimanche
Lionel Baier insuffle suffisamment d'ironie dans son propos pour entraîner le spectateur dans une ronde séduisante.
Les Fiches du Cinéma
Sur fond de Révolution des Œillets, une comédie chorale enlevée, servie par une pléiade d'acteurs talentueux.
Libération
Par-delà son ambition trop rare d’accorder la comédie francophone à un réel souci d’élégance de l’écriture et de la mise en scène, l’aspect le plus attrayant du film tient à sa façon d’administrer cette liberté à lui-même et à ses personnages.
Première
Si le conflit entre un Michel Vuillermoz à la mémoire défectueuse et une Valérie Donzelli féministe repose sur des schémas connus, il offre néanmoins un vent de folie à cette plongée colorée dans l'histoire récente de l'Europe.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
L’humour de Lionel Baiez – les heureux spectateurs d’"Un autre homme" (2008) savent de quoi on parle – peine à convaincre dans le premier tiers du film mais dès que le réalisateur lâche les chiens (partouze libertaire, comédie musicale qui oppose flics et manifestants, récit à mi-voix de Vuillermoz en plein cœur d’une place investie par les révolutionnaires), le film prend sa vitesse de croisière.
aVoir-aLire.com
Alors film léger, certes, rafraichissant aussi...Mais certainement pas dépourvu de bon sens.
Le Parisien
Malgré notre sympathie pour Valérie Donzelli et Michel Vuillermoz, on a tout de même un mal fou à se brancher sur leurs aventures.