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Stormtrooper62
43 abonnés
401 critiques
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2,5
Publiée le 19 mai 2017
De l'humour trash,un peu débile pour ce film interdit en France (on comprend pourquoi). Bref ,des blagues un peu facile mais on se prend tout de même au jeu,même si le résultat est relativement moyen.
Sur fond de dérision, un état bien pensant essaye de nous décrire le personnage au sommet de la tête de la Corée du Nord. PLV : à réserver aux américains
Ca doit être plutôt cool d'avoir la notoriété de James Franco ou Seth Rogen et de pouvoir se permettre des délires de ce genre-là quitte à ne se faire marrer que soi-même. Les lascars n'en sont pas à leur coup d'essai et sont, comme souvent, en roue libre. James Franco surjoue à mort son parfait crétin de personnage, certains gags graveleux flirtent avec le mauvais goût et le film n'est pas le brûlot qu'il aurait pu être, mais la bonne humeur du duo est communicative.
Hollywood s’offre la tête de Kim Jong-un, un culot assurément gonflé qui a fait un énorme buzz et suscité de vives réactions de la part du régime nord-coréen. Totalement déjanté, « L’Interview qui tue » est à prendre bien entendu au second degré. Une prise de risque politiquement incorrecte, portée par un humour corrosif, un peu trop gras tout de même. La relative sobriété de Seth Rogen, co-scénariste et co-réalisateur par ailleurs de ce délit, étonne et s’efface quelque peu derrière l’hyperbolisme de James Franco dans la peau d’un présentation échevelé et inculte de show télévisé.
The interview me fait penser au très mauvais This is the end, le même délire de potes pour un histoire qui devait rester.. un délire de potes plutôt qu'un long-métrage, la même vulgarité au vocabulaire très primaire (la marque de fabrique de Seth Rogen) et les mêmes acteurs dont le talent n'a que trop rarement été perçu à l'écran, exception faite de 127 heures pour James Franco, dont l'interprétation fut magistrale. Le film a bénéficié d'un battage médiatique indigeste suite à une vague polémique. Ce genre de "comédie" potache est peut-être celle de trop.. en ce qui me concerne.
Ce n’est pas tous les jours qu’on parle au Cinéma de la Corée du Nord : il y a bien eu quelques film d’espionnage où ils « fournissaient » les méchants mais rarement, comme ici, une occasion d’en rire. Malheureusement, l’humour choisi, de type pipi-caca avec en boucle la question métaphysique « Est-ce que Kim Jong-Un a un trou de balle ? » n’est pas mon humour. C’est dommage car il y avait matière à rire de certaines situations cocasses comme a pu les retranscrire, par exemple, le dessinateur Guy Delisle dans son livre « Pyongyang ». De même, on aurait pu s’amuser comme Sacha Baron Cohen le faisait dans son film « The Dictator », des condamnations à mort du petit personnel suite aux caprices du dictateur. L’angle choisi n’est pas celui-ci. Dommage ! De plus, le scénario n’est pas assez travaillé et le film de 112 minutes parait bien long…
"L'interview qui tue" représente exactement ce qui ne va pas aux Etats-Unis. Cet impérialisme et cette tendance permanente à vouloir prouver que ce pays est meilleur que les autres et peut résoudre n'importe quel conflit dans le monde. Derrière des airs de comédie bien grasse, c'est surtout un doigt d'honneur enfoncé dans l'anus de Kim-Jong-Hun (car apparemment il en a un) que nous offre ce film. Si la première partie tend à montrer un personnage qui a une âme et un côté fétard, ce qui est assez drôle, la fin se perd dans du mélo et de l'humour de mauvais goût. La relation entre Aaron et Sook est ultra-prévisible. La même histoire, en retirant la Corée du Nord, en se contentant d'être une sorte de "Anchorman" version Rogen-Goldberg aurait été plus intéressante et plus dans le ton du duo Seth Rogen-James Franco. Ils se sont attaqués à un terrain très dangereux et ca ne fonctionne pas. Pas étonnant que le leader suprême ait voulu faire interdire la sortie de ce film. Mention finale à la VF particulièrement mauvaise entre "embobarder", la traduction des paroles de Katy Perry... ce n'est vraiment pas brillant.
C'est sûr ce n'est pas la comédie de l'année, à vrai dire on ne se plie pas de rire en visionnant "The Interview".. Mais il faut avouer qu'on suit avec plaisir les pérégrinations des 2 protagonistes et ceci malgré quelques dialogues un pue lourd et qui trainent en longueur. On passe un bon moment en visionnant ce divertissement et n'est ce pas au final le principal!?
Le sujet sensible est assez bien traité et le scénario tient la route. Mais l'humour est gras et pas bien drôle. Nos deux personnages principaux partis interviewer Kim Jong-un sont totalement stupides jusqu'à la fameuse interview (Les 30 dernières minutes) qui relève de très loin le niveau du film et dispose d'un meilleur humour. Dommage qu'il ait fallu 1h30 pour en arriver là !
A mon sens l'un des meilleurs du duo Franco-Rogen. Egaux à eux même dans la manière très fine (!!!) de traiter le sujet, les compères s'en donnent à coeur joie dans la critique des médias, d'un système totalitaire, de la vision américano-américaine des conflits internationaux, etc...le tout dans un humour bien lourd teinté de naiveté, parfois scato (il faut certes aimer le genre!). Peu de temps mort... et une performance une fois de plus étonnante de Franco... qui sait décidemment tout jouer! Sublime acteur!
Ridicule au possible et sans interruption, il fait beaucoup rire et beaucoup moins réfléchir, même si... se moquer ainsi du pays le plus retardé politiquement au monde n’est évidemment pas innocent. Il ne vise ni la finesse ni la cohérence, mais ses objectifs, divertir et critiquer, sont pleinement atteints. On s’attache immédiatement à tous les personnages (oui, même Kim Jong-un !), on ne se pose pas de questions, ce qui n’empêche pas d’apprécier les quelques piques plus élevées. Pour s’en tenir au thème, disons qu’il sort l’artillerie lourde. Mais si la satire de la bombe nucléaire communiste à retardement qu’est la Corée du Nord est évidente, n’en perçoit-on pas une également des inébranlables États-Unis ? Pas si candide, finalement...
"L'interview qui tue" ("The Interview " en VO) est vulgaire à souhait, d'une idiotie et prévisibilité jamais vues ailleurs. L'histoire, au lieu de prendre parti et de s'amuser sur les décalages "images données/ images réelles" de la Corée (projet effleuré seulement dans le film, pour retomber dans le bas de plafond et le graveleux), ne raconte que la pseudo amitié du reporter et de Kim Jung Un qu'il doit pourtant tuer. Il aurait tout aussi bien pu assassiner le dictateur à coups de blagues foireuses, étant le but final du film. Rien d'intelligent donc, du scato à la place. Nous avons ici un très bon exemple de ce qu'est "perdre au change". À éviter à tout prix à moins d'aimer les blagues de mauvais goût et abrutissantes.
Une fiction bien marrante, délirante, fun, et surprenante.
Je dois dire que je m'attendais à un grosse production nanarnesque américaine, et malgré quelques passages qui vont dans ce sens, la majorité du film relève de la comédie légère certes, mais agréable à regarder. Cela reste de l'humour potache, mais comme il est utilisé pour discréditer un des plus grands dictateurs comptemporrain, il n'y a rien à redire. Qui dit gros budget, dit gros casting, bonne réalisation, bonne scène d'action, et très bons effets spéciaux. Rien de négatif sur l'aspect technique du film donc.
Une très bonne comédie qui vaut le détour, rien que pour son histoire plus qu'original, et quelque peu jouissive il faut l'avouer !
Bon The Interview, c'est très drôle et c'est pas fait dans la subtilité, mais les gags sont tellement hilarants que j'en oublie ces défauts gênants, le Duo Franco-Rogen marche très bien et on sent l'alchimie entre les deux personnages et c'est super agréable, la BO est pas très marquante, à vrai dire je ne me souviens d'aucun thème précis qui soit propre au film, c'est bourré de références pop culture et qui passe bien. Pour terminer, je dirai qu'on passe un bon moment avec des passages très drôle.