Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un deuxième film, après le très prometteur “Louise Wimmer”, tout de sensibilité poétique, de force intérieure et d’un clair-obscur accordé à l’âme de ses personnages.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le style contemplatif extrême du réalisateur a au moins un avantage : nous laisser le temps d'admirer le travail subtil sur la lumière (signée Thomas Letellier) et la richesse de la composition picturale. Mais à force de faire durer les plans — et ils durent ! —, l'émotion se transforme en agacement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Sandra Benedetti
Beaucoup de mystère et de piano pour une belle histoire manquée.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Il est des films qu’on aurait tant aimé aimer et dont on déplore qu’ils souffrent d’erreurs de casting, de scories, de maladresses. Il en est ainsi du nouvel et très appliqué opus que signe le réalisateur de "Louise Wimmer" grâce auquel, un beau jour de janvier 2012, la comédienne Corinne Masiero sortit enfin de l’ombre.
Le Parisien
par Catherine Balle
Dans "La Consolation", les personnages parlent à peine. Ils font la vaisselle, ferment les rideaux... Il y a bien un moment d'émotion dans ce long-métrage joliment réalisé mais, à la fin, on a presque envie de se jeter sur un bon "Fast and Furious". Pour se consoler.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Cet essai contemplatif sur le deuil est plombé par le jeu emprunté de l’acteur principal et des lourdeurs scénaristiques.
Libération
par Marcos Uzal
Passé un début léché et assez audacieux, le nouveau film de Cyril Mennegun s’égare dans sa quête de sublime entre chichis et pathos.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Cette forme endolorie, ou plutôt ce dolorisme formel, n’est en fin de compte qu’une volonté de bien faire ; elle ne porte, sur son dos courbé, aucune émotion.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Aux côtés de tant d’emphase et de gravité autoproclamée, l’émotion semble bannie, comme si elle était, pour le cinéaste, synonyme de vulgarité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Cyril Mennegun a voulu prendre le contre-pied de "Louise Wimmer", sa première fiction, un cri de colère contre la précarité. Mais ce film sur le deuil est d’un ennui mortel. Une "Chambre terne".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
En 2012, le réalisateur nous avait emballés avec Louise Wimmer, incarnée par la même Corinne Masiero. Cette fois, c'est un sentiment de désolation qui nous envahit. Que croit-il dire avec cette histoire de deuil filmée avec une prétention qui n'a d'égale que l'ennui qu'elle suscite.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le réalisateur de "Louise Wimmer", prenant le contre-pied de son précédent succès, signe un film intime et musical, sans convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Cyril Mennegun avait pour son premier film ("Louise Wimmer") réussi une combinaison de vivacité, de langage des corps et d’évitement de la sinistrose (…) que ce second opus vient complètement réfuter, rigide, pris au piège de l’auto-apitoiement, étrangement attiré par les atours les plus plombants du tragique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
La mise en scène épurée à l'extrême donne l'impression d'une coquille vide. Elle éloigne de toute émotion, voire sombre dans la caricature à force de symboles épais. On songe, hélas, moins à Bergman qu'à... un vieux sketch des Inconnus.
Le Dauphiné Libéré
Un deuxième film, après le très prometteur “Louise Wimmer”, tout de sensibilité poétique, de force intérieure et d’un clair-obscur accordé à l’âme de ses personnages.
Télérama
Le style contemplatif extrême du réalisateur a au moins un avantage : nous laisser le temps d'admirer le travail subtil sur la lumière (signée Thomas Letellier) et la richesse de la composition picturale. Mais à force de faire durer les plans — et ils durent ! —, l'émotion se transforme en agacement.
L'Express
Beaucoup de mystère et de piano pour une belle histoire manquée.
La Voix du Nord
Il est des films qu’on aurait tant aimé aimer et dont on déplore qu’ils souffrent d’erreurs de casting, de scories, de maladresses. Il en est ainsi du nouvel et très appliqué opus que signe le réalisateur de "Louise Wimmer" grâce auquel, un beau jour de janvier 2012, la comédienne Corinne Masiero sortit enfin de l’ombre.
Le Parisien
Dans "La Consolation", les personnages parlent à peine. Ils font la vaisselle, ferment les rideaux... Il y a bien un moment d'émotion dans ce long-métrage joliment réalisé mais, à la fin, on a presque envie de se jeter sur un bon "Fast and Furious". Pour se consoler.
Les Fiches du Cinéma
Cet essai contemplatif sur le deuil est plombé par le jeu emprunté de l’acteur principal et des lourdeurs scénaristiques.
Libération
Passé un début léché et assez audacieux, le nouveau film de Cyril Mennegun s’égare dans sa quête de sublime entre chichis et pathos.
Cahiers du Cinéma
Cette forme endolorie, ou plutôt ce dolorisme formel, n’est en fin de compte qu’une volonté de bien faire ; elle ne porte, sur son dos courbé, aucune émotion.
Critikat.com
Aux côtés de tant d’emphase et de gravité autoproclamée, l’émotion semble bannie, comme si elle était, pour le cinéaste, synonyme de vulgarité.
L'Obs
Cyril Mennegun a voulu prendre le contre-pied de "Louise Wimmer", sa première fiction, un cri de colère contre la précarité. Mais ce film sur le deuil est d’un ennui mortel. Une "Chambre terne".
Le Figaro
En 2012, le réalisateur nous avait emballés avec Louise Wimmer, incarnée par la même Corinne Masiero. Cette fois, c'est un sentiment de désolation qui nous envahit. Que croit-il dire avec cette histoire de deuil filmée avec une prétention qui n'a d'égale que l'ennui qu'elle suscite.
Le Monde
Le réalisateur de "Louise Wimmer", prenant le contre-pied de son précédent succès, signe un film intime et musical, sans convaincre.
Les Inrockuptibles
Cyril Mennegun avait pour son premier film ("Louise Wimmer") réussi une combinaison de vivacité, de langage des corps et d’évitement de la sinistrose (…) que ce second opus vient complètement réfuter, rigide, pris au piège de l’auto-apitoiement, étrangement attiré par les atours les plus plombants du tragique.
Studio Ciné Live
La mise en scène épurée à l'extrême donne l'impression d'une coquille vide. Elle éloigne de toute émotion, voire sombre dans la caricature à force de symboles épais. On songe, hélas, moins à Bergman qu'à... un vieux sketch des Inconnus.