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    Fast & Furious : Hobbs & Shaw
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    Kevin dioles
    Kevin dioles

    45 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 août 2019
    Cette histoire ne m'pas embarquée. Beaucoup de muscles, de combats bien menés, d'incohérences, et parfois des réparties qui m'ont fait sourire. Je tiens à féliciter l'équipes qui à monter ce film, pour toutes ses scènes nerveuses aux multiples plans. Mais cela n'à pas suffit pour que je puisse apprécier le scénario.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 décembre 2019
    Il faut vraiment que la saga fast and furious assume son univers et en fasse quelque chose de complètement fou car ce film est à la limite du ridicule.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 668 abonnés 12 406 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2023
    OK « Dom » Toretto est absent et alors ? Oubliez les courses de rues nocturnes et les grosses cylindrèes! En fait "Fast & Furious Presents : Hobbs & Shaw" (2019) est ni plus ni moins qu'un spin-off de la franchise dont Dwayne Johnson et Jason Statham ont pour mission de sauver le monde! Leur duo confère à ce premier spin-off le statut de film d'action spectaculaire et sans temps mort! Ne vous titillez pas le pois chiche, c'est un dèluge d'action improbable qui fait du bien par où ça passe! En tout cas ça soulage les neurones après une semaine de dur labeur! Avec à leurs côtès, Vanessa Kirby, femme sublime qui porte en elle un virus mortel, une èpidèmie programmable qui s'apprête à liquèfier tous les organes de la planète Terre! ils sont quand même fortiches les Ricains pour pondre de tel scènario à coup de combats et de poursuites à gogo! On est ici dans l'excès le plus total, mais toujours sur le mode de l'humour et du divertissement! Alors pourquoi s'en priver...
    AMCHI
    AMCHI

    5 780 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Je savais tout à fait à quoi m’attendre pour autant je n’ai pas eu droit au film bourrin, fun et sans Vin Diesel auquel j’espérais.
    C’est lourdaud, les vannes tombent à l’eau, trop de longueurs (très bavard par moment) et le final est too much (désolé mais des gars en tongs battant des gars surentraînés même au 1000ème degré ça ne passe pas).
    Niveau action je n’ai pas été épaté, le duo Johnson/Statham m’attirait mais je trouve qu’ils ne font pas d’étincelles et Vanessa Kirby coincée entre les 2 est transparente.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 février 2020
    Au fana de voiture qui se la collait en suivant Paul Walker jouer les beaux gosses en passager de Vin Diesel, légende mutique de la route pas même plus expressif lorsqu'il se bat contre Dwayne Johnson que lorsqu'il mime d'avoir perdu sa compagne, il ne servira à rien de jeter un oeil à Hobbs & Shaw, qui n'a décidément de Fast & Furious que le nom d'affiliation de spin-offs à la saga, qu'on n'aura jamais vu plus éloignée de ses intentions initiales.

    Lancé tambour battant dès ses premières minutes, ce mélange curieux entre un tas de bons films d'action connus du grand public installe un fossé profond avec la saga "officielle" en assumant totalement la direction entreprise par les 6 et 7 : ce concept de faire absolument n'importe quoi avec de grands moyens propulse la franchise dans une direction inattendue que le 9ème (!) épisode devra amener jusqu'à son paroxysme (c'est du moins ce que sa bande-annonce promet).

    Il paraît pourtant complexe, après le visionnage de ce premier spin-off, de partir encore plus loin dans le délire what the fuck : débile à en crever, il met tout de même en scène des voitures plongeant de building et survivant à des effondrements de bâtiments quand elles ne truck pas des hélicos de combat pilotés par des <>, pilotées par nos deux compères ou la famille Samoa d'Hobbs, soit de Dwayne Johnson qui aura compris que les origines d'une star adorée du public reste un excellent argument marketing à exploiter.

    Seulement, le too much de l'oeuvre couplé à son humour affligeant lassent la première heure passée : là où la surprise de voir un nanar de luxe (moitié de surprise, me direz-vous) donnait lieu à un émerveillement du niveau de stupidité déployé, se rendre compte que l'oeuvre se contente de sa bêtise sans vouloir sortir des sentiers battus lui assène un ressenti de répétition qu'on assimilerait presque à une boucle temporelle, le schéma action-blague-dragounette se repointant inlassablement, jusqu'à ce que son générique mi-comique mi-pathos vienne y mettre un terme en promettant forcément une suite, et en jouant sur l'humour attendu d'un Ryan Reynolds complètement inutile (mais toujours présent pour nous abrutir de ses blagues Deadpool).

    D'autant plus qu'on ne pourra s'enlever de l'esprit que là où la saga officielle a créé ses propres codes jusqu'à les parodier sans retenue, Hobbs & Shaw ne les reprenant qu'en fin de bobine préfère se monter comme un melting-pot foireux de tout un tas d'autres long-métrages cultes : principalement mélange entre les derniers Mission : Impossible et John Wick, son incapacité à inventé le pousse à pomper, tant qu'on y est, du côté du Transporteur et des Bond de Craig pour s'assurer un tout explosif et un succès garanti.

    Le résultat, fidèle à ce qu'on pouvait en attendre, se foire lamentablement du fait de son humour insupportable et présent la plupart du temps, en ce sens très inspiré de la recette Marvel actuelle, où les blagues prennent le pas sur les thématiques et détruisent tout enjeu. Et si le gros de l'oeuvre est laissé aux vannes ainsi qu'à la détente, c'est aussi pour respecter et toujours mieux glorifier la réputation et l'image de marque de ses deux héros, The Rock et Statham se la jouant autodérision au travers d'une bobine parodiant l'ensemble de leur carrière.

    Le soucis inhérent à la démarche de construire une oeuvre sur la douce moquerie à l'égard de ses stars place les jalons de son ambition : Hobbs & Shaw, qu'on savait loin d'être réfléchi, n'a donc rien d'autre à proposer qu'un ramassis de références pseudo geek et de repompes variées sur un fond d'esthétique reprise du style de Chad Stahelsky, collègue de travail du réalisateur David Leitch, et rendu célèbre pour avoir élevé, au moment du départ de la trilogie de Leitch, l'esthétique John Wick à un niveau artistique et lisible impensable, cela ajouté à des vannes lourdes et étouffantes seulement ajoutées pour rendre l'action sous CGI plus digeste et "proche du spectateur".

    Symptomatique de ce qui déconne en ce moment dans le cinéma de genre américain, Fast & Furious : Hobbs & Shaw, devenu bordélique comme si le rendre ridicule nous le ferait considérer comme une bonne comédie, n'existe que dans ses emprunts kitschs et ses inventions too much laissant penser qu'il ne sait inventer autrement qu'en poussant à leur paroxysme des concepts usés jusqu'à la moelle. Le surréalisme de son action, placé en édifice du divertissement ultra-spectaculaire lorgnant du côté du film de super-héros (l'invincibilité des personnages et la considération d'Elba comme Superman en témoignent), s'érige en ode à la connerie dont l'utilité principale est de justifier l'existence de spin-off non pas comme un mauvais film d'action excessif, mais bel et bien selon une nouvelle mouvance naissante dans le cinéma de genre moderne : le plaisir coupable volontaire et paresseux, si simple à faire quand on est incapable de pondre une oeuvre un tant soit peu aboutie.

    Le prétexte du plaisir coupable est en ce sens mignon qu'il renvoie aux nanars cultes des années 80, et l'excuse de ses âneries, de ses défauts, de ses emprunts et du but purement pécuniaire de son existence plutôt brinquebalante. Comment lui reprocher d'être mauvais s'il pointe un écriteau "Je suis un film de merde" le long de sa durée? A défaut de ne pas pouvoir le démonter pour cela, on pourrait au contraire lui reprocher de ne pas être suffisamment catastrophique pour ses ambitions nanardesques.

    Le pire dans l'histoire, c'est qu'on prend un pied raisonnable.
    Jorik V
    Jorik V

    1 267 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 août 2019
    La saga « Fast and Furious » est clairement la poule aux œufs d’or actuelle d’Universal. Alors pour dire de capitaliser au maximum sur la marque qui en est bientôt à son neuvième film (fait très rare hors du cinéma horrifique), la major lance en grande pompe le premier spin-off de la saga centré sur deux personnages annexes mais iconiques, Luke Hobbs et Deckard Shaw. Et comme l’entente de l’interprète du premier, Dwayne Johnson, avec le héros tutélaire des « Fast and Furious », Vin Diesel, n’est pas au beau fixe dans les coulisses, ce film dérivé permet de garder le personnage dans une production qui ouvre les portes à un univers partagé à la Marvel. On garde le même esprit avec grosses scènes d’action improbables, des filles sexy, des courses de voitures dans le but de sauver le monde avec en fond la famille comme point d’attache. Un cocktail explosif et divertissant que les films de la saga mère épousent à chaque fois de manière de plus en plus exponentielle et débridée d’épisode en épisode, avec plus ou moins de plaisir selon l’opus. Et pour ce premier spin-off c’est tellement poussé à l’extrême que ça en devient souvent ridicule. Si au début on retrouve avec plaisir ces deux personnages grandes gueules, gros bras et fortes têtes (les deux acteurs nous rejouent ce qu’il font couramment dans leurs films respectifs depuis des années sur grand écran sans changer d’un iota leurs partitions), plus le film avance et plus on se dit que tout cela n’apporte pas grand-chose de plus au sillon déjà plus que fourni des films d’actions bourrins et décérébrés qu’Hollywood affectionne tant. On est très loin de la maestria visuelle et du renouveau amené par les « John Wick » par exemple. Et niveau improbable et débile, le long-métrage se pose là.



    « Hobbs and Shaw » tente de se différencier un peu en augmentant le curseur de l’humour et en essayant vainement de renouer avec les buddy-movies à succès des années 80 du type « Bad Boys ». Sauf que les joutes verbales entre les deux protagonistes amusent parfois mais font rarement rire. Pire, elles s’étirent souvent plus que de raison. On ne reniera pas en revanche, la complémentarité et la complicité apparente dans l’opposition des deux acteurs/personnages déjà éprouvée dans les « Fast and Furious ». Mais ce pour quoi on va voir ce type de films c’est bien sur les scènes d’action dantesques. Certes elles sont au rendez-vous et elles impressionnent. Au début en tout cas. Elles sont au nombre de trois gros (et longs) morceaux de bravoure. Mais elles sont tellement improbables, sans queue ni tête, et réalisées sans vraiment de panache (pourtant orchestrées par le co-réalisateur du premier « John Wick ») qu’elles en deviennent éreintantes et qu’on est pressé que tout ce vacarme se termine. Comme dans les blockbusters du Michael Bay des mauvais jours. Et au vu du budget pharaonique, on est surpris par exemple de voir si clairement l’utilisation de fonds verts (dans la course-poursuite en Russie notamment). Pris au second degré, ce grand n’importe quoi pourrait être drôle, mais trop exagéré en durée et en excès, il finit par user. On prend donc un certain plaisir la première heure, puis on finit par se lasser. Heureusement l’apparition de quelques guests-stars viennent réveiller notre attention et « Hobbs and Shaw » peut compter sur son atout majeur : le personnage de Atty Shaw incarnée par une Vanessa Kirby déchaînée et convaincante. Elle assure le quota féministe de la femme de poigne très à la mode en ce moment. Elle impressionne plus qu’Idris Elba, un peu décevant dans le rôle du méchant. Bref, à réserver aux amateurs de testostérone et d’action idiote, loin des « Mission : impossible ». Et très loin de la meilleure réussite du genre et de la saga : « Fast and Furious 7 ».


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    Ti Nou
    Ti Nou

    491 abonnés 3 491 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 avril 2023
    Ce spin-off ne se démarque pas de la bêtise et de la surenchère des autres épisodes de la saga. Cependant Jason Statham et Dwayne Johnson, offrant quelques sympathiques moments d’autodérision, s’y amusent suffisamment pour que le moment ne soit pas trop déplaisant.
    scrat28
    scrat28

    77 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 septembre 2019
    Imaginez Fast & Furious 8 (pour son côté basique) remodelé dans un moule Marvel Studios (pour l'humour lourd pas drôle et le scénario débilisant). Vous obtenez Hobbs & Shaw. Une honte au blockbuster et une preuve de plus que la qualité des blockbusters (et pas que) périclite.
    Pour développer, j'ai apprécié cette saga à partir de l'épisode 5 qui est un sacrément bon film d'action avec une réalisation d'enfer. Il en va de même pour ses suites directes (6 et 7). Le 8ème était une chute vertigineuse en terme de qualité, avec une mise en scène banale. Je me réjouissais de ce Hobbs & Shaw qui, selon mes attentes, aurait une réalisation léchée et un casting solide enfin débarrassé de ce piètre "acteur" qu'est Vin Diesel, LE gros point noir de la saga selon moi... eh bien c'est tout le contraire. La réalisation est du même niveau que celle de Fast & Furious 8 (c'est à dire moche et banale), l'histoire est pire encore, le jeu d'acteur des 2 principaux fait de la peine à voir (alors que j'aime plutôt bien ces acteurs, à la base), et il faut dire qu'ils ne sont pas aidés par des dialogues et un scénario d'une nullité abysmale. Les concours de punchlines sont drôles 2 minutes, mais sont tellement à rallonge qu'ils perdent toute drôlerie et finissent par embarrasser (le niveau d'embarras que j'ai ressenti devant les blagues incessantes des Gardiens de la Galaxie 2). L'histoire est vide, avec un grand méchant invisible qui est là uniquement pour donner lieu à des suites, et des liens poussifs pour passer d'une scène à une autre. Et même l'action est faiblarde par rapport à ce que la saga nous a apporté dans les épisodes 5-6-7. Mention spéciale aux références pop-culture (Game of Thrones en particulier) aussi pathétiques qu'inutiles.
    Je suis bon public, j'adore le cinéma d'action et les blockbusters, j'ai adoré les épisodes 5 à 7 de la saga, mais là, c'était juste pas possible. Un blockbuster d'une paresse immense, un bon indicateur de la qualité générale des blockbusters après 10 ans de marvelisation du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 août 2019
    On se marrait en pensant à un spin-off de la saga Fast&Furious, mais les producteurs n’ont pas résisté à l’envi d’empocher un peu plus d’argent entre deux épisodes de la saga. Pourtant, le film démarrait bien, la première partie reste plaisante malgré l’humour assez bas de plafond. Arrivé à la seconde partie du film, on se retrouve dans les travers des films de la saga principale. Cela devient du grand n’importe quoi, le scénario prend des raccourcis totalement grossiers, on tombe dans le ridicule rapidement et le film s’enlise encore et toujours. Bien commencé et au final, le film se ramasse totalement perdant le peu de crédibilité que la première partie avait pu apporter.
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    42 abonnés 1 210 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 février 2021
    Le film remplit gentiment son petit cahier des charges sans en dévié d'une ligne. Cela nous donne un scénario très très moyen, de l'humour un peu lourd mais surtout une tonne de cascades (assez spectaculaires il est vrai). Bref, un film d'action comme on en voit des dizaines et des dizaines chaque année. Pas de quoi crier à la daube mais on est loin de de prendre beaucoup de plaisir devant ce film.
    kyokugenryu
    kyokugenryu

    26 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 août 2019
    Un film très honnête et qui délivre son lot de cascades, d'action frénétique et d'humour potache. Le coté cartoon est clairement assumé, ce qui crédibilise l'entreprise, tout le contraire des FF qui se veulent "serieux" mais qui finissent toujours par faire rire (malgré eux). Bref un bon moment, mention spéciale a Idris Elba qui s'éclate.
    gregbox51
    gregbox51

    37 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 décembre 2019
    Le film pourrait être intéressant, mais les poursuites et scène de castagne sont si invraisemblables qu'elles en gâchent l'opus. Les intermèdes mielleuses et bonne conscience ne font qu'aggraver son déroulement...
    Aure L
    Aure L

    23 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 septembre 2019
    Dans la continuité de la saga, un max d'explosions, du bon sentiment et quelques invraisemblances... Du blockbuster sans prise de tête
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mars 2020
    “Fast and Furious : Hobbs and Shaw” est à la fois une suite de “Fast and Furious 8” et un spin-off de la franchise. En effet, l’histoire se concentre principalement sur les personnages de Luke Hobbs, joué par Dwayne Johnson, et Deckard Shaw, joué par Jason Statham. Les deux hommes qui ne s’apprécient guère, vont devoir s’allier pour mettre un terme à une menace cyber-terroriste donc un virus pourrait tuer la moitié de la population. Comme d’habitude, le scénario de la saga est secondaire. L’idée est surtout de donner un maximum de scènes d’action aux spectateurs. Entre bastons à mains nues ou à coups de feux, courses de voitures, de motos ou d'hélicoptère, sauts en parachutes ou d’un gratte-ciel et diverses explosions dans tous les sens, “Fast and Furious : Hobbs and Shaw” rempli sa mission en livrant des séquences généreuses d’action, même si elles sont rarement plausibles.
    Le + : Si vous n’avez pas encore testé la 4DX, “Fast and Furious : Hobbs and Shaw” sera peut-être votre baptême idéal avec de la pluie, du vent, des éclaboussures, de la brume, des éclairs, de la fumée, des sensations sous les fesses, derrière les jambes ou le cou et votre siège qui bouge sans arrêt. Une attraction de près de 2h30, accrochez-vous !
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    Roub E.
    Roub E.

    947 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2021
    Dans le cas de la série Fast And Furious mon avis va de l’indifférence à la détestation. Je me suis lancé dans ce Spin Of sans rien attendre et parce que j’avais deux heures à tuer. Est ce le fait que je me suis accoutumé à la médiocrité? Mais j’ai moins détesté cet épisode. Peut être plus conscient de son côté n’importe quoi et grâce au second degré qu’apportent Dwayne Johnson et Jason Statham à leurs rôles respectifs. Après ça n’est pas une réussite pour autant, les scènes d’action sont confuses, une grosse partie du film se déroule sur des fonds verts immondes et on ne croit jamais à ce qui se passe à l’écran. En fait j’ai regardé ça d’un ennui poli et parce que le film est du genre que qualifie de « coup de coude » on a quasiment tout le temps l’impression qu’on nous dit « attend ça va être cool »! Reproche qu’on pouvait déjà faire à Deadpool 2 le précédent film du réalisateur David Leitch. Bref pour moi le meilleur épisode de la saga Fast And Furious mais uniquement parce qu’il a conscience d’être un spectacle dégénéré; du coup je ne suis pas sûr que ça soit un compliment.
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