Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cine Libre
par Rémi Jimenez
On oserait presque écrire qu'il y a quelque chose du Renoir d'"Une partie de campagne" dans cette façon de faire écho entre les notes et la nature, de faire rimer le déchaînement musical avec l'exaltation des arbres, des feuilles, de l'eau, et des hommes, bien entendu !
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Aden
par Philippe Piazzo
Avec ce fil d'intrigue ténu, Isao Takahata (...) a tissé une merveilleuse fable. (...) Chaque instant du film recèle une contemplation. Un papillon voletant près d'une lumière, une araignée suspendue à son filin, un chat traversant un pont...
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Cette fable subtile et distrayante sur les affres de la création mérite sans aucun doute l'attention du public français. A découvrir.
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Alain Grasset, Alain Morel, Pierre Vasseur
Ce joli film fait, depuis 1981, le tour des écoles de musique au Japon. (...) il est sans doute ce qu'on a vu de plus tendre, de mieux dessiné et de plus subtilement éducatif depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Positif
par Eithne O'Neill
Une âpre drôlerie jointe à la sentimentalité assumée érigent une architectonie: Goshu le violoncelliste rapproche Occident et Orient, rigueur et romantisme, moi-même et la Nature.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Bernard Génin
Cet amusant "master class" animalier est inspiré d'une nouvelle du Japonais Kenji Miyazawa. L'aspect didactique de la fable passe dans la douceur et la fantaisie, et l'exécution de la 6e Symphonie de Beethoven sur fond de décors champêtres est impeccable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Même si Goshu le violoncelliste apparaît comme une oeuvre mineure dans le travail d'Isao Takahata, on ne peut qu'être sensible à la beauté des décors peints du film, d'une simplicité extrême mais d'une incroyable force de suggestion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge kaganski
Décevant à l'échelle de Takahata, Goshu le violoncelliste distille néanmoins une subtilité et un raffinement plutôt absents des productions Disney ou Dream Works.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
(...) pour les beaux décors peints de Takamura Mukuo, Goshu le violoncelliste est très recommandable. quand bien même la répétitivité des scènes de répétition et la fin heureuse pourraient donner l'impression d'une partition inachevée.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par François Forestier
Un joli conte finement dessiné et filmé avec une grande variété de cadrages.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Véronique Le Bris
Bercé par la musique de Beethoven, ce film d'animation est on ne peut plus japonais. Par sa morale subtile, ses décors splendides, son personnage méritant. Trop, peut-être, pour retenir l'attention des petits Occidentaux qui découvrent, grâce à lui, des mondes insoupçonnés.
Cine Libre
On oserait presque écrire qu'il y a quelque chose du Renoir d'"Une partie de campagne" dans cette façon de faire écho entre les notes et la nature, de faire rimer le déchaînement musical avec l'exaltation des arbres, des feuilles, de l'eau, et des hommes, bien entendu !
Aden
Avec ce fil d'intrigue ténu, Isao Takahata (...) a tissé une merveilleuse fable. (...) Chaque instant du film recèle une contemplation. Un papillon voletant près d'une lumière, une araignée suspendue à son filin, un chat traversant un pont...
Chronic'art.com
Cette fable subtile et distrayante sur les affres de la création mérite sans aucun doute l'attention du public français. A découvrir.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Ce joli film fait, depuis 1981, le tour des écoles de musique au Japon. (...) il est sans doute ce qu'on a vu de plus tendre, de mieux dessiné et de plus subtilement éducatif depuis longtemps.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Positif
Une âpre drôlerie jointe à la sentimentalité assumée érigent une architectonie: Goshu le violoncelliste rapproche Occident et Orient, rigueur et romantisme, moi-même et la Nature.
Télérama
Cet amusant "master class" animalier est inspiré d'une nouvelle du Japonais Kenji Miyazawa. L'aspect didactique de la fable passe dans la douceur et la fantaisie, et l'exécution de la 6e Symphonie de Beethoven sur fond de décors champêtres est impeccable.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Même si Goshu le violoncelliste apparaît comme une oeuvre mineure dans le travail d'Isao Takahata, on ne peut qu'être sensible à la beauté des décors peints du film, d'une simplicité extrême mais d'une incroyable force de suggestion.
Les Inrockuptibles
Décevant à l'échelle de Takahata, Goshu le violoncelliste distille néanmoins une subtilité et un raffinement plutôt absents des productions Disney ou Dream Works.
Première
(...) pour les beaux décors peints de Takamura Mukuo, Goshu le violoncelliste est très recommandable. quand bien même la répétitivité des scènes de répétition et la fin heureuse pourraient donner l'impression d'une partition inachevée.
TéléCinéObs
Un joli conte finement dessiné et filmé avec une grande variété de cadrages.
Zurban
Bercé par la musique de Beethoven, ce film d'animation est on ne peut plus japonais. Par sa morale subtile, ses décors splendides, son personnage méritant. Trop, peut-être, pour retenir l'attention des petits Occidentaux qui découvrent, grâce à lui, des mondes insoupçonnés.