Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Envoûtant, asphyxiant, brillant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Ouest France
par Gaël Golhen
Un grand film sauvage et violent.
Positif
par Ariane Allard
Âpre, romantique, surnaturel : "Les Confins du monde" ressemble à un rêve éveillé. Ou à un cauchemar. En clair, on n'est pas près de l'oublier.
20 Minutes
par Caroline Vié
La vie des jeunes gens confrontés à un conflit qui les dépasse est parfaitement rendue dans cette fresque poisseuse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Un faux film de guerre qui se transforme en quête presque surnaturelle. Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Une errance physique et mentale qui mènera [le personnage] aux confins de la folie, et dont le film dépeint la violence avec un profond réalisme.
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Guillaume Nicloux fait magistralement cohabiter les contraires dans des scènes en constant recommencement. La structure linéaire agrémenté d’ellipses donne une profondeur supplémentaire aux personnages et laisse imaginer les événements manquants en fonction de la disposition des individus à communiquer.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Funèbre et surréaliste, cette plongée aux côtés de jeunes soldats ivres de violence passionne et désarçonne.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un film envoûtant.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film de guerre sombre et intense, violent et spectral, littéralement habité par Gaspard Ulliel.
Franceinfo Culture
par Jean-Francois Lixon
Loin des chromos attendus, [Gaspard Ulliel] poursuit une vengeance illusoire dans la boue, sous la pluie et dans les brouillards d'un Vietnam du Nord magnifique et mortel. Gérard Depardieu y est somptueux dans un second rôle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans cet enfer cruel et poisseux, Gaspard Ulliel, comme habité par l’obsession qui le ronge, apporte une tonalité fiévreuse à la névrose de son personnage. Laquelle le mène aux confins du monde, au plus profond de ce que Conrad, dans un autre récit d’aventure intérieure, appelait le cœur des ténèbres.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Gaspard Ulliel offre là son meilleur rôle, habité, luttant contre ses ennemis intérieurs, contemplant le vide.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film à l’atmosphère envoûtante, qui sent la sueur et le sang, porté par un grand Gaspard Ulliel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Récit absolu de vengeance autant que voyage dans les tréfonds d’une âme perdue, le quatorzième film de Guillaume Nicloux est un objet exigeant et cauchemardesque, qui examine la Guerre d’Indochine et ses exactions au prisme de l’intime.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Lamm
Aussi, le film hésite sans cesse, par le contraste entre sa photo magnifiquement délavée (signée David Ungaro) et son montage au pas de course, entre l’onirique et le concret, le discursif et le muet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Nedjma Van Egmond
Un film superbe.
Première
par Gaël Golhen
On pense bien entendu à Coppola ou à Fuller, mais la mise en scène de Nicloux n’est pas baroque ou sauvage. Elle est physique, exsude la chaleur, l’humidité, transpire la lumière verdâtre des limes. On sent la sueur, le sang, la boue...
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Jessica Saval
Critique de la folie pure, "Les Confins du Monde" met en scène les vivants et les morts avec une même énergie violente, brutale, inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Jacques Morice
Le film est disparate, voire décousu. Mais il offre une alchimie presque expérimentale, consistant à confronter différents degrés de réalité, différents corps d’acteurs — Ulliel, en zombie amaigri, face au bouddha Depardieu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Franck Lalieux
Si Guillaume Nicloux montre les forces colonialistes françaises, il n’en fait pas son sujet. Il montre la violence des uns et des autres mais, circonscrite au territoire filmé au sein d’une quête intime, évite d’identifier les camps selon des normes manichéennes. Chacun a sa raison propre, et c’est là que le film résonne et hante longtemps après la projection.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Si l'horreur de la guerre est retranscrite avec réalisme, le scénario, lui, laisse à désirer. Au milieu des corps mutilés, l'idylle entre Maï et Robert semble déplacée, comme un élément externe que le réalisateur se contente de survoler.
L'Obs
par François Forestier
Impression de lenteur, parfois de sur-place, dû à un scénario qui combine des éléments de "la 317e Section" et d'"Au cœur des ténèbres", et qui nous laisse parfois au bord du chemin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"Les Confins du monde" est un objet d’une rare méticulosité, une recherche approfondie dans les profondeurs du war movie indochinois, où la quête de vengeance d’un officier français s’accompagne d’un imagier d’un genre évidemment marqué par le Vietnam américain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely et Fabrice Leclerc
Entêtant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Guillaume Nicloux filme cette quête quasi métaphysique que la barbarie des hommes a fait naître et qui se résout dans le renoncement. Film de guerre si l’on veut, film existentiel surtout où dans un monde d’horreur, il s’agit de rester humain.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par Daniel Blois
Ambitieux, Les Confins du monde se voudrait l'héritier de glorieux aînés, entre Coppola et Malick. Mais il peine à rendre la quête du protagoniste palpable et émouvante.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
L’équilibre du minimalisme taiseux de Gaspard Ulliel et de la violence expressive de Guillaume Gouix ne saurait compenser tout à fait l’absence, dans le film, d’un véritable trajet.
Critikat.com
par Josué Morel
Autrement dit, si l'apparition de Depardieu participe d’un processus, la plupart des plans-clefs de l’odyssée de Tassen reposent davantage sur une intention livrée telle quelle, sur l’idée d’une scène plus que sur une scène véritable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Au-delà de la crudité de certaines scènes, la quête obsessionnelle de vengeance d’un soldat dans l’Indochine de 1945, accumule les clichés et tourne rapidement à vide.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Pour dénoncer la barbarie, il n’évite pas la complaisance dans sa représentation de la violence. Une atmosphère malsaine assez envoûtante.
La Voix du Nord
Envoûtant, asphyxiant, brillant.
Ouest France
Un grand film sauvage et violent.
Positif
Âpre, romantique, surnaturel : "Les Confins du monde" ressemble à un rêve éveillé. Ou à un cauchemar. En clair, on n'est pas près de l'oublier.
20 Minutes
La vie des jeunes gens confrontés à un conflit qui les dépasse est parfaitement rendue dans cette fresque poisseuse.
Bande à part
Un faux film de guerre qui se transforme en quête presque surnaturelle. Fascinant.
CNews
Une errance physique et mentale qui mènera [le personnage] aux confins de la folie, et dont le film dépeint la violence avec un profond réalisme.
Culturopoing.com
Guillaume Nicloux fait magistralement cohabiter les contraires dans des scènes en constant recommencement. La structure linéaire agrémenté d’ellipses donne une profondeur supplémentaire aux personnages et laisse imaginer les événements manquants en fonction de la disposition des individus à communiquer.
Ecran Large
Funèbre et surréaliste, cette plongée aux côtés de jeunes soldats ivres de violence passionne et désarçonne.
Elle
Un film envoûtant.
Femme Actuelle
Un film de guerre sombre et intense, violent et spectral, littéralement habité par Gaspard Ulliel.
Franceinfo Culture
Loin des chromos attendus, [Gaspard Ulliel] poursuit une vengeance illusoire dans la boue, sous la pluie et dans les brouillards d'un Vietnam du Nord magnifique et mortel. Gérard Depardieu y est somptueux dans un second rôle.
Le Dauphiné Libéré
Dans cet enfer cruel et poisseux, Gaspard Ulliel, comme habité par l’obsession qui le ronge, apporte une tonalité fiévreuse à la névrose de son personnage. Laquelle le mène aux confins du monde, au plus profond de ce que Conrad, dans un autre récit d’aventure intérieure, appelait le cœur des ténèbres.
Le Figaro
Gaspard Ulliel offre là son meilleur rôle, habité, luttant contre ses ennemis intérieurs, contemplant le vide.
Le Parisien
Un film à l’atmosphère envoûtante, qui sent la sueur et le sang, porté par un grand Gaspard Ulliel.
Les Fiches du Cinéma
Récit absolu de vengeance autant que voyage dans les tréfonds d’une âme perdue, le quatorzième film de Guillaume Nicloux est un objet exigeant et cauchemardesque, qui examine la Guerre d’Indochine et ses exactions au prisme de l’intime.
Libération
Aussi, le film hésite sans cesse, par le contraste entre sa photo magnifiquement délavée (signée David Ungaro) et son montage au pas de course, entre l’onirique et le concret, le discursif et le muet.
Marianne
Un film superbe.
Première
On pense bien entendu à Coppola ou à Fuller, mais la mise en scène de Nicloux n’est pas baroque ou sauvage. Elle est physique, exsude la chaleur, l’humidité, transpire la lumière verdâtre des limes. On sent la sueur, le sang, la boue...
Rolling Stone
Critique de la folie pure, "Les Confins du Monde" met en scène les vivants et les morts avec une même énergie violente, brutale, inoubliable.
Télérama
Le film est disparate, voire décousu. Mais il offre une alchimie presque expérimentale, consistant à confronter différents degrés de réalité, différents corps d’acteurs — Ulliel, en zombie amaigri, face au bouddha Depardieu.
aVoir-aLire.com
Si Guillaume Nicloux montre les forces colonialistes françaises, il n’en fait pas son sujet. Il montre la violence des uns et des autres mais, circonscrite au territoire filmé au sein d’une quête intime, évite d’identifier les camps selon des normes manichéennes. Chacun a sa raison propre, et c’est là que le film résonne et hante longtemps après la projection.
L'Express
Si l'horreur de la guerre est retranscrite avec réalisme, le scénario, lui, laisse à désirer. Au milieu des corps mutilés, l'idylle entre Maï et Robert semble déplacée, comme un élément externe que le réalisateur se contente de survoler.
L'Obs
Impression de lenteur, parfois de sur-place, dû à un scénario qui combine des éléments de "la 317e Section" et d'"Au cœur des ténèbres", et qui nous laisse parfois au bord du chemin.
Les Inrockuptibles
"Les Confins du monde" est un objet d’une rare méticulosité, une recherche approfondie dans les profondeurs du war movie indochinois, où la quête de vengeance d’un officier français s’accompagne d’un imagier d’un genre évidemment marqué par le Vietnam américain.
Paris Match
Entêtant.
Sud Ouest
Guillaume Nicloux filme cette quête quasi métaphysique que la barbarie des hommes a fait naître et qui se résout dans le renoncement. Film de guerre si l’on veut, film existentiel surtout où dans un monde d’horreur, il s’agit de rester humain.
Voici
Ambitieux, Les Confins du monde se voudrait l'héritier de glorieux aînés, entre Coppola et Malick. Mais il peine à rendre la quête du protagoniste palpable et émouvante.
Cahiers du Cinéma
L’équilibre du minimalisme taiseux de Gaspard Ulliel et de la violence expressive de Guillaume Gouix ne saurait compenser tout à fait l’absence, dans le film, d’un véritable trajet.
Critikat.com
Autrement dit, si l'apparition de Depardieu participe d’un processus, la plupart des plans-clefs de l’odyssée de Tassen reposent davantage sur une intention livrée telle quelle, sur l’idée d’une scène plus que sur une scène véritable.
La Croix
Au-delà de la crudité de certaines scènes, la quête obsessionnelle de vengeance d’un soldat dans l’Indochine de 1945, accumule les clichés et tourne rapidement à vide.
Le Journal du Dimanche
Pour dénoncer la barbarie, il n’évite pas la complaisance dans sa représentation de la violence. Une atmosphère malsaine assez envoûtante.