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    Gemma Bovery
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    3,3
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    347 critiques spectateurs

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    dominique P.
    dominique P.

    837 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 septembre 2014
    Un film très classique et très agréable à visionner.
    C'est sympa, amusant.
    Toutefois, je m'attendais à mieux, à quelquechose de plus "enlevé", ce film reste assez mou dans l'ensemble et c'est dommage.
    Raphaël O
    Raphaël O

    146 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2015
    Adaptée du roman éponyme, cette comédie dramatique d'Anne Fontaine, mettant en scène un texte de Flaubert, dispose d'un scénario drôle, jouissif, sensible, habillement écrit et est portée par l'irrésistible duo Gemma Arterton/Fabrice Lucchini.
    Un petit bijou.
    DRI75
    DRI75

    12 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 octobre 2014
    Fait pour un nouveau show de Luchini comme dans le piètre « Alceste à bicyclette ». Les vieux clichés sur la Normandie…
    C’est creux, fade, grotesque, on s’ennuie.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    412 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 septembre 2014
    Arterton / Luchini revisitant Flaubert. Sur le papier Gemma Bovery promet de belles choses mais le scénario s'égare et les étincelles ressemblent plus à des pétards mouillés. L'écrivain se retourne dans sa tombe.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    Film très divertissant, une bouffée de fraicheur.
    Luchini fidèle à lui même, chamboulé par l'arrivée d'une jeune anglaise et Gemma Arterton met en valeur la femme dans toute sa sensualité.
    Daniel C.
    Daniel C.

    145 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2014
    Quand on aime Fabrice Luchini, on va voir ce qu'il propose et on assiste à du Luchini, ce qui n'est pas désagréable du tout. C'est aussi l'occasion d'une belle excursion en Normandie très joliment filmée. C'est encore l'occasion de voir le snobisme de ces anglais, qui profitent de cette région, s'y installent, mais sans peut-être s'y immerger, peut-être en conquérants. Gemma Bovery, c'est surtout cette Gemma Aterton, délicieusement désirable, en particulier lorsqu'elle pétrit le pain. C'est une scène d'une sensualité extraordinaire. Peut-être ce qui m'a dérangé dans ce film, c'est qu'aucun des personnages n'est vraiment attachant, comme si chacun avait quelque chose à se reprocher, comme si les travers de chacun apparaissaient à un moment ou un autre rendant l'identification ou la projection sur tel ou telle, parcellaire. C'est un film qui contraint à supporter l'ambivalence! Alors qu'un monde dans lequel la partition bon/mauvais est clairement perceptible, c'est quand même plus simple!!!!
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    191 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2014
    Quelle belle prestation de Fabrice Lucchini dans ce film bien ficelé qui m'a complètement emporté et conquise.
    annereporter94
    annereporter94

    49 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2014
    Gemma Aterton, aussi bluffante que dans "Tamara Drewe"; Fabrice Luchini, égal à lui-même... Vous l'aurez compris, ce film est un petit bijou alliant comédie et intellectualisme avec une rare dextérité...
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 403 abonnés 4 438 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 novembre 2015
    Bon, ben non, ce film ne fonctionne malheureusement pas. Dommage, mais clairement Anne Fontaine n’a pas eu la même maitrise que Stephen Frears dans leur adaptation respective d’un même auteur.
    Le casting est sur le papier attrayant. On hérite de nouveau de Gemma Arterton, déjà héroïne de Tamara Drewe, et je dois dire qu’elle est au top. Rien à redire, elle a toujours beaucoup de charme, et en plus on profite de son accent et de ses essais en français, ce qui est très agréable. Elle endosse avec talent cette Gemma Bovery, bien épaulé dans le rôle de son époux par Jason Flemyng, efficace lui aussi. Il y a quelques bons seconds rôles aussi, mais alors grosse, très grosse déception du côté de Fabrice Luchini. Mou du genou, incapable d’être drôle, incapable d’être émouvant, incapable même d’être détestable, il campe une sorte d’éponge toute molle, sans vie, sans intérêt. On n’est pas du tout dans le coup, et lance un terrible vent d’archaïsme sur ce film. Isabelle Candelier à ses côtés n’est pas franchement plus enthousiasmante, et j’aurai préféré qu’on l’échange contre Pascale Arbillot, bien meilleure et réduite ici à presque rien.
    Le scénario est très creux. En fait le film est vide, tourne autour de trucs sans intérêt (le cupidon), et on s’ennuie ferme devant un métrage ni drôle, ni dynamique, ni frais, ni triste (quoique, mais c’est vraiment mal amené). Ça n’a aucune vie, c’est artificiel, c’est parfois même prétentieux, et là où Tamara Drewe était à la fois piquant, drôle, émouvant, Gemma Bovery est fade, sans relief, et peu emballant. On retiendra juste la bonne idée de dévêtir Gemma Arterton une ou deux fois, histoire de relancer un poil l’attention du spectateur.
    Visuellement c’est correct. Les décors sont assez beaux, l’ambiance normande plutôt bien retranscrite, mais l’ensemble reste austère. La mise en scène appliquée d’Anne Fontaine ne laisse guère de place à la fantaisie, et encore moins une bande son monacale. C’est peut-être voulu, mais je trouve que cela n’aide guère à faire passer le film, qui avec plus de légèreté et de fraicheur aurait sans doute pu compenser, en partie ses faiblesses de fond.
    Je donne donc 1.5, et il faut le dire, c’est grâce avant tout au couple Arterton-Flemyng. Le film n’est jamais vibrant, le final n’est en rien touchant, et ça vie bien trop peu pour nous enthousiasmer. Vraiment regrettable.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    133 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2014
    "Gemma Bovery", jolie oeuvre cinématographique déclarant la flamme d'un Luchini passionné à une Arterton au jeu intéressant mais, en fin de compte, peu original (on en a vu déjà beaucoup des "femmes fatales", le plus dur est qu'elles sont vraiment difficiles à renouveler). Sur fond d'attitude littéraire, limite théâtrale, on est pris par cette histoire de toute simplicité (comme pour tous les films dans lesquels joue Luchini en fait), on suit l'emprise d'une femme sur les hommes, passant de l'amusement au tragique. L'acteur principal, comme à son habitude, s'éprend des mots et les sort à la manière de Molière. Il badine, flâne un peu, voir beaucoup, mais continue à plaire à son public, le nombre d'entrées en est témoin. La mise en scène d'Anne Fontaine, comme pour "Perfect Mothers", s'use avant d'arriver au bout. Elle fait du classique. Pour se distraire avant la maison de retraite, c'est plutôt une bonne idée. Agréable mais trop attendu, même lorsqu'on a pas lu le livre.
    Kévin Pilastra L
    Kévin Pilastra L

    9 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 septembre 2014
    Une petite touche de poésie dans un océan de blockbuster !, F. Luchini y est à son avantage et la jeune et jolie Gemma Arterton mérite à elle seule le détour, ne serait ce que dans sa façon lascive de pétrir la pâte !!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 septembre 2014
    un agreable moment de cinéma.belle images. a voir.
    Fritz L
    Fritz L

    183 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 septembre 2014
    En 1954, François Truffaut dénonçait à travers son article « Une certaine tendance du cinéma français », une catégorie de films labélisés « Qualité française ». Il s’agissait d’œuvres académiques tournées en studio, très scénarisées et sans grande inventivité filmique. Soixante ans après, on pourrait reprendre cette appellation en l’adaptant à l’air du temps, et dont « Gemma Bovery » est l’un des plus beaux fleurons. Car depuis une bonne décennie, s’enchaînent des sorties cinématographiques de films tous calibrés à l’identique (pitch simpliste de comédie agrémenté de drame(s), états d’âmes petits bourgeois, casting bétonné (souvent les mêmes acteurs) et peu inspiré, mise en scène plan plan et linéaire, décors naturels passe partout). On pense aux récents « On a failli être amies » et « La liste de mes envies » ou encore à « Le grand méchant loup », « Amitiés sincères »… en 2013. La cible (au niveau du public) est aisée à cerner, il suffit de regarder la composition des salles : public familial et plus de 50 ans). Films réputés, par excellence, pour être diffusés un dimanche soir, à l’heure de forte écoute, sur l’une ou l’autre des grandes chaînes de TV. On se dit toutefois, malgré le piètre niveau de cette production, qu’au moins elle dit être rentable. Hors en se penchant sur les recettes d’exploitation en salle des quatre exemples cités, on se rend compte qu’excepté « Amitiés sincères », les autres films ne couvrent pas le coût du budget (68% pour « On a failli être amies », 52% pour « La liste de mes envies », 33% pour « Le grand méchant loup »). On se dit alors, que si le public « cinéma » ne suit pas, peut-on encore qualifier ces productions de films ? Ou ne sont-ce que des produits marketing qui entre droits télévisuels, VOD et autre merchandising trouvent une rentabilité qui dépasse le seul cadre du plaisir du spectateur ? Pour en revenir à « Gemma Bovery » (il faut bien en parler un peu !), séance de 20h en première semaine un dimanche, la salle était vide ! Logique, car si le pitch était intéressant (bande-annonce trompeuse notamment) il est au final très mal exploité voir improbable de bout en bout. En ce sens, Anne Fontaine vient contrarier Flaubert qui nous disait, « le mot ne manque jamais quand on possède l’idée ». Quant aux acteurs, ils restent au minimum de leurs capacités (Luchini hébété et totalement en retrait, Gemma Aterton filmée en unique objet de sensualité, Elsa Zylberstein ridicule en grande bourgeoise parvenue…). Quant à la mise en scène, elle ne dépasse guère son cadre et ne décolle pas, bien au contraire. Elle s’enlise sur la base de ce scénario totalement dénué de sens, pire, jamais drôle… Restent quelques beaux plans (le travail du pain), le plaisir de retrouver l’incroyable Edith Scob (A quand un nouveau vrai grand rôle ???), et l’inénarrable décor de la Normandie, bien mal desservie ici.
    Plume231
    Plume231

    3 891 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 janvier 2015
    Fabrice Luchini, quand bien même il est dit ou plutôt il dit, puisque c'est lui le narrateur, qu'il est un ancien bobo parisien, en boulanger normand, on n'y croit pas des masses. On y croit pas des masses d'autant plus que son personnage n'est pas vraiment creusé, reste flou, ce qui en plus bien sûr n'aide pas à le rendre crédible mais n'aide pas non plus le spectateur à s'identifier à lui.
    L'intrigue quant à elle, dont il est inutile de préciser qu'elle fait énormément référence au roman de Gustave Flaubert "Madame Bovary", n'est pas déplaisante mais là encore peu creusée ce qui rend d'une très grande fadeur certains moments, à l'instar surtout de la romance avec le fils de la châtelaine du coin qui donne juste l'impression d'être là pour faire un parallèle avec celle entre Rodolphe et l'(anti-)héroïne de Flaubert.
    Un exercice artificiel qui n'aurait pu qu'être sans le moindre intérêt s'il n'y avait Gemma Arterton. Mon regard masculin ne pouvait bien sûr qu'accrocher cette véritable bouffée de beauté et de fraîcheur qui a elle seule réussit à rendre digeste un ensemble qu'on aurait même pas daigné ingurgiter sans cela. On pourra juste regretter que la présence de l'actrice soit beaucoup plus intéressante qu'un personnage un peu trop lisse pour convaincre. Ce qui fait que Gemma bat à plate couture Bova... euh Bovery.
    nicolas t.
    nicolas t.

    57 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 septembre 2014
    Très académique, ce téléfilm de luxe bourré de clichés
    sur la normandie, les anglais, la littérature et la boulangerie (!!!)
    ne vaut que pour la présence de Luchini qu'on aimerait plus fielleux et caustique
    face à cette mollesse générale.
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