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"Je suis supporter du Standard" a su trouver le juste tempo pour raconter la passion du foot. Un sans-faute à la seconde près : le film dure quatre-vingt-dix minutes.
Par amour pour une femme, un célibataire fan de foot décide de décrocher (...). Un postulat plaisant que l’acteur-réalisateur Riton Liebman empoigne à la fois avec habileté et maladresse.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Avec sa romance convenue, ses seconds rôles schématiques et ses raccourcis scénaristiques, [le film] préfère jouer la montre plutôt que de développer du beau jeu.
Parce qu’à l’instar de la tolérance du spectateur lambda, un scénario n’est pas extensible à loisir, Riton Liebman prouve une fois de plus que films longs et idées courtes ne font pas d’heureux ménages.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
"Je suis supporter du Standard" a su trouver le juste tempo pour raconter la passion du foot. Un sans-faute à la seconde près : le film dure quatre-vingt-dix minutes.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Monde
Si les situations de comédie romantique sont parfois plaquées, l'humour belge qui imprègne le film le rend très sympathique.
TéléCinéObs
Par amour pour une femme, un célibataire fan de foot décide de décrocher (...). Un postulat plaisant que l’acteur-réalisateur Riton Liebman empoigne à la fois avec habileté et maladresse.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie faiblarde, qui exploite mal ses personnages et manque cruellement d'humour.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Première
Avec sa romance convenue, ses seconds rôles schématiques et ses raccourcis scénaristiques, [le film] préfère jouer la montre plutôt que de développer du beau jeu.
aVoir-aLire.com
Parce qu’à l’instar de la tolérance du spectateur lambda, un scénario n’est pas extensible à loisir, Riton Liebman prouve une fois de plus que films longs et idées courtes ne font pas d’heureux ménages.