Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
Il y avait bien longtemps qu'un polar français ne nous avait tenu en haleine à ce point. [...] Filmée en plans serrés, sur des dialogues précis et parfois drôles, la confrontation entre les deux acteurs, qui n'avaient jamais joué ensemble, impressionne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Alain Spira
Malicieusement, ces "96 heures" durent 96 minutes, mais sachez que ce duel cinématographique intense ne vous laissera pas le temps de compter les secondes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Un duel au sommet, tendu et captivant, entre deux acteurs majuscules: Niels Arestrup, le caïd, et Gérard Lanvin, le flic otage.
TéléCinéObs
par François Forestier
C'est du polar serré, dur, comme on aime. Pas de complaisance, pas d'amuse-gueules, juste la dureté d'un poing serré.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Niels Arestrup, truand retors, face à Gérard Lanvin en grand flic : voilà une affiche avec deux "gueules" du cinéma français. Mais le film ne tient pas la distance et les péripéties sont prévisibles. Certains personnages sont sacrifiés (...). Dommage d'être passé à côté d'un bon polar.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Schoendoerffer oscille entre l'ultra-violence et la froideur médico-légale. (...) Il a rebattu les cartes, s'est posé et réussit son tête-à-tête, genre très casse-gueule. Dommage que des approximations de scénario (...) affaiblissent l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Pierre Fornerod
La mise en scène aurait trouvé plus d'impact à se concentrer sur le face-à-face entre l'otage et son bourreau. Car Niels Arestrup et Gérard Lanvin tirent le meilleur rendement d'une partition qui met solidement en valeur leur capital expressif.
Première
par Gérard Delorme
[...] le spectateur est prié d'accepter un monceau d'invraissemblances sans poser de questions. [...] les deux interprètes principaux s'en sortent avec les honneurs [...].
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Guillemette Odicino
Rien de nouveau dans le genre, mais un solide divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Duel au sommet pour Lanvin et Arestrup, dans un polar psychologique qui pose habilement les pions sur l’échiquier pour mieux les faire basculer au gré d’une intense confrontation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Kancel est un pervers incontrôlable. Carré est adepte d'une rationalité virilement stoïque. Niels Arestrup est Kancel. Gérard Lanvin est Carré. L'heureuse surprise est que le huis clos dure moins de quatre-vingt-seize heures.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Après “Switch”, Schoendoerffer confirme avec ce polar baclé, sans idées et sans envergure, qu'il a renoncé à toute ambition. Triste.
Positif
par Philippe Rouyer
Obsédé par l'idée de changer ses axes de caméra pour ne pas lasser le spectateur de son décor unique, Schoendoerffer en perd de vue le principal : ses personnages. Le scénario s'épuise vite et les dialogues ont une fâcheuse tendance à la grandiloquence. La fin est particulièrement ratée.
Metro
par Mehdi Omaïs
La mise en scène, plate et adynamique, peine à emporter l'adhésion du spectateur. A l'horizon de ce nouveau polar hexagonal bâclé, il y a vraiment ni inspiration, ni souffle, ni originalité.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Le Parisien
Il y avait bien longtemps qu'un polar français ne nous avait tenu en haleine à ce point. [...] Filmée en plans serrés, sur des dialogues précis et parfois drôles, la confrontation entre les deux acteurs, qui n'avaient jamais joué ensemble, impressionne.
Paris Match
Malicieusement, ces "96 heures" durent 96 minutes, mais sachez que ce duel cinématographique intense ne vous laissera pas le temps de compter les secondes.
Télé 7 Jours
Un duel au sommet, tendu et captivant, entre deux acteurs majuscules: Niels Arestrup, le caïd, et Gérard Lanvin, le flic otage.
TéléCinéObs
C'est du polar serré, dur, comme on aime. Pas de complaisance, pas d'amuse-gueules, juste la dureté d'un poing serré.
Le Journal du Dimanche
Niels Arestrup, truand retors, face à Gérard Lanvin en grand flic : voilà une affiche avec deux "gueules" du cinéma français. Mais le film ne tient pas la distance et les péripéties sont prévisibles. Certains personnages sont sacrifiés (...). Dommage d'être passé à côté d'un bon polar.
Le Point
Schoendoerffer oscille entre l'ultra-violence et la froideur médico-légale. (...) Il a rebattu les cartes, s'est posé et réussit son tête-à-tête, genre très casse-gueule. Dommage que des approximations de scénario (...) affaiblissent l'ensemble.
Ouest France
La mise en scène aurait trouvé plus d'impact à se concentrer sur le face-à-face entre l'otage et son bourreau. Car Niels Arestrup et Gérard Lanvin tirent le meilleur rendement d'une partition qui met solidement en valeur leur capital expressif.
Première
[...] le spectateur est prié d'accepter un monceau d'invraissemblances sans poser de questions. [...] les deux interprètes principaux s'en sortent avec les honneurs [...].
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Rien de nouveau dans le genre, mais un solide divertissement.
aVoir-aLire.com
Duel au sommet pour Lanvin et Arestrup, dans un polar psychologique qui pose habilement les pions sur l’échiquier pour mieux les faire basculer au gré d’une intense confrontation.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Monde
Kancel est un pervers incontrôlable. Carré est adepte d'une rationalité virilement stoïque. Niels Arestrup est Kancel. Gérard Lanvin est Carré. L'heureuse surprise est que le huis clos dure moins de quatre-vingt-seize heures.
Les Fiches du Cinéma
Après “Switch”, Schoendoerffer confirme avec ce polar baclé, sans idées et sans envergure, qu'il a renoncé à toute ambition. Triste.
Positif
Obsédé par l'idée de changer ses axes de caméra pour ne pas lasser le spectateur de son décor unique, Schoendoerffer en perd de vue le principal : ses personnages. Le scénario s'épuise vite et les dialogues ont une fâcheuse tendance à la grandiloquence. La fin est particulièrement ratée.
Metro
La mise en scène, plate et adynamique, peine à emporter l'adhésion du spectateur. A l'horizon de ce nouveau polar hexagonal bâclé, il y a vraiment ni inspiration, ni souffle, ni originalité.