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Cohle.
54 abonnés
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2,5
Publiée le 17 mars 2014
Certainement très inspiré par "Infernal Affairs" - thriller hongkongais immanquable réalisé d'Andrew Lau, qui donnera le si renommé remake de Martin Scoresese -, "New World" est un film qui peine à trouvé sa propre identité au cours de la première heure, posant difficilement les bases d'une intrigue à base de complots et de retournement de situation. Si le départ est selon moi, mal rythmé - beaucoup trop de longueurs qui desservent le film -, "New World" prends véritablement son sens dans sa dernière demie-heure, parvenant à s'éloigné justement du déjà-vu, et proposant quelque chose de plus ou moins original. "New World" aurait vraiment pu être un bon film si ces influences n'étaient pas si présentes, ou du moins plus discrètes, "Infernal Affairs" pour la trame principale - même si elle s'en éloigne fort heureusement durant la dernière demie-heure -, la scène de l'ascenseur qui rappelle tout de même fortement "Old Boy". Côté casting, on a encore un Choi Min-sik qui livre un sans faute, toujours aussi charismatique à l'écran. "New World" n'est donc certainement pas le meilleur thriller coréen sorti ces dernières années, mais il reste un divertissement correct, proposant une intrigue satisfaisante à défaut d'être inoubliable.
Une réalisation impeccable, une très belle photographie, un casting de qualité et un scénario qui réserve de très belles surprises. De la finesse dans le monde sans pitié de la mafia coréenne où les gentils sont pauvres et laids (police) et les méchants riches et beaux. La vraie réussite tient dans tous les petits détails dont le film est truffé et qui ne se dévoilent que dans le final très inattendu ....
Je commence déjà par avouer que je suis imperméable en régle générale au cinéma asiatique, sans doute un trop grand delta entre nos deux cultures qui m'empêche de rentrer dans les films. Toute régle ayant ses exceptions, je mets à part les films policiers sud coréens. Pour moi qui suis adepte de polars pourvu qu'ils soient bien noirs j'avoue que la production locale à pleinement de quoi me satisfaire même si j'ai toujours du mal à distinguer certains acteurs les uns des autres ce qui me complique un peu la tâche pour suivre le fil de l'histoire. "New world" est exactement dans cette veine, se placant dans une lutte de pouvoir sauvage au sein d'une triade qui ferait passer la Camorra Napolitaine pour une association caritative. Dés la 1ère image on est dans le vif du sujet : ca va pas être un film pour jeunes filles sensibles...entre trahisons, infiltrations de la police et executions sommaires, "new world" fait très peu dans le sentiment. Pas de temps morts, ca dézingue d'un bout à l'autre, c'est cruel et c'est sombre... 3 / 5
New World n’échappe pas à cette catégorie des films sud-coréens du genre thriller les plus poignants du monde, et surtout les plus traumatisants (Old boy, The chaser, pour ne citer que ces deux films). Ici, le scénario n'est pas forcément original et fait penser au film Hong-Kongais Infernal affairs. Nous suivons un policier infiltré dans un important syndicat du crime en Corée du Sud. Suite à la mort du chef, une guerre de pouvoir va s'engager pour désigner le successeur. New World est un thriller à rebondissements, il n’est pas rare de voir un événement bouleverser les enjeux ou la hiérarchie du pouvoir. Le film demeure aussi très lisible de bout en bout. On ne se perd jamais devant la multitude de personnages, car le scénariste a eu l’intelligence de simplifier les enjeux, quitte à laisser tomber certaines sous-intrigues en cours de route comme celle impliquant la femme du héros. On se passionne pour cette lutte de pouvoir grâce à des rebondissements, des personnages hauts en couleur interprétés par des acteurs talentueux, et une photographie à tomber par terre. Par contre, là où New World surprend, c’est via son humour. Certains personnages sont très décalés comme le patron du héros, ou les bouseux. Si on rigole parfois, la réalité nous rattrape, et le traumatisme n’en est que plus fort. Le long-métrage de Park Hoon-jung atteint son paroxysme avec une scène d’action impliquant des dizaines de figurants pour un combat au couteau qui vaut le détour. Pour conclure, New World est encore un thriller passionnant, comme seul les Sud-Coréens savent faire.
Il y a du indubitablement du "Infernal Affairs" (la trilogie hong kongaise d' Alan Mak et d'Andrew Lau) dans "New World" mais Park Hoon-Jung a su se détacher de ses influences pour nous proposer un trés bon film de gangsters. Quasiment aucun reproche à faire à "New World" si ce n'est qu'une petite prise de risque dans le scénario qui s'avère, au final, assez classique.
Un film qui rend hommage à tout un pan de la culture du film d'action et d'espionnage (et pas seulement Coréen). Le tout donne un mélange qui fonctionne plutôt bien mais qui ne va pas plus loin que les films référencés. Alors du coup on s'amuse mais on aurait aimé un peu plus. Et j'avoue avoir eu du mal à différencier les différents acteurs, ce qui m'a un peu empêché de comprendre l'histoire vu que tous les acteurs ne font pas particulièrement d'effort. Déçu.
Un thriller venant tout droit de corée est toujours une bonne surprise. Et ici New World se déroule en plein dans la mafia et se rapproche plus d'un film de gangster que d'un film d'action ou d'un thriller. Un peu trop radin en scènes de combats, il faudra autre chose pour nous tenir captivé. Heureusement, une scène dans l'ascenseur, concentrée de violence bien crue vaut vraiment le coup d'œil. L'ambiance est assez sombre et c'est déjà ça le principal.
Au niveau du scénario, le réalisateur nous livre une œuvre noire, bien rythmée, grâce à la justesse de son écriture. Le duo d'acteurs qui impressionnera le plus est composé de Lee Jung Jae et de Park Sung Woong, jouant les personnages les plus froids et antipathiques. Le reste du casting convaincra sans livrer de performances exceptionnelles.
On est assez vite pris dans cet engrenage de manipulations déployées par la police afin d'influer sur l'élection du nouveau chef mafieux. Aidé de taupes placées dans l'organisation, ils vont mener les gangsters par le bout du nez. Prêts à tout pour se hisser à la tête de la mafia, les candidats vont user de la force sans limite. La conclusion assez perverse et sadique termine New World en beauté, nous convaincant pleinement de l'intrigue posée depuis le début.
Même s'il manquera un léger punch au film, New World réussit tout de même à nous combler, avec la psychologie de ses personnages, et sa fin originale, finement écrite...
Un bon film de gangster asiatique où le bien et le mal s’emmêlent conduisant les personnages à des choix de plus en plus difficile et de moins en moins contestable moralement. Le suspense est bon mais le tout souffre de deux défauts : 1) le héros manque profondément de charisme 2) le dénouement est un peu trop lent et quasi contemplatif.
Un film d'infiltré en mode fadasse sans la moindre originalité. Je m'attendais au moins à ce que ça soit prenant mais New World gâche son potentiel en ne privilégiant jamais le plus important. On ne se concentre jamais sur la vie de Lee le personnage principal, ni sur sa vie privé ni sur comment la vie criminelle influe sur son comportement pour que sa soi-disant attirance vers le milieu tant vendue par les autres personnages, et qui est censé être le cœur de l'histoire, paraisse crédible. Et encore plus fort, le film n'investit aucun effort sur les éléments censés amener des rebondissements ni sur comment introduire les motivations des personnages, tout est raconté sans le moindre relief. Résultat des courses: on se contente de suivre sans investissement les manipulations de gangsters pour le pouvoir survolés par des dialogues clichés tout en comptant sur la musique pour dicter quel émotion nous sommes censé ressentir sur tel scène. New World n'est sauvé de justesse que par ses acteurs qui ne parviennent pas à prendre l'ascendant sur les autres dans une histoire plate qui les rabaisse tous au même niveau. Pour la tension, c'est pas encore ça.
On m'a conseillé ce film que je ne connaissais pas et c'est clairement une très bonne surprise. On sent vite les influences du Parrain et d'infernal affairs sur ce métrage qui parvient tout de même à garder une identité, à rester contrairement à d'autres films coréens assez épuré (avec des fulgurances de violence tout de même), avec ces personnages ambiguës, ce contexte de guerre des gangs omniprésents, des rebondissements efficaces et une belle musique. Niveau interprétation c'est aussi du tout bon, et plus l'intrigue avance, plus le film devient captivant. C'est donc un film coréen très maîtrisé (dans son histoire comme dans sa mise en scène) que nous livre Park Hoon-Jung. À voir.
Décidément, le cinéma sud coréen ne cessera de m'impressionner, dans New World nous avons une bataille, au sein du syndicat du crime, bien développée et bien exploitée. Ne vous attendez pas à n'avoir que du sang et des coups de fusil, on s'élance plutôt sur un échiquier géant où les pions avancent un à un. Un très bon thriller. J'approuve !
Comment tester la loyauté, le décompte des morts grimpe dans une action efficace . Le réalisateur et scénariste Hoon-jung Parc raconte cette histoire sinueuse des guerres intestines au sein d'un syndicat du crime avec patience et élégance . 3.5/5
New world par le scénariste de j'ai rencontré le diable Park Hoon-jung qui s'essaye au Polar sous guerre de sucession et de trahison pour une organisation,et qui pour ma part ma fait ni chaud ni froid tout d'abord parce que le film est beaucoup trop long ensuite des personnages trop caricatural mainte fois vu dans d'autres genre le flic infiltré,le mafieu un brin demeuré et j'en pense on a deja vu tout ca dans infernal affair ou bien dans des John woo entre autres Sa revolutionne rien,en plus son recit manque litteralement de force et de rythme car qu'es que sa parle et sa parle,un film qui se regarde amplement mais recement je lui est preferé plus un A company man beaucoup plus interessant que celui si dommage donc moi j'aime le rythme