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chrischambers86
14 054 abonnés
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2,0
Publiée le 1 juin 2016
Bide monstrueux à sa sortie, "Piègè" appartient à la race des films français qui n'ont pas fait un pli dans les salles et encore moins en DVD! Premier long-mètrage de Yannick Saillet, clippeur de Goldmann, Voulzy et Indochine qui a fait exactement le film qu'il avait envie de voir à l'ècran! Pourquoi pas faire un film de guerre dans un environnement de guerre que Sailler aime après tout ? Tournè à Ouarzazate au Maroc alors que l'action est censèe se situer en Afghanistan, "Piègè" n'est pas très bon mais a le mèrite d'être relativement court (78 min) et de passer finalement très vite! Un homme...une mine...un dèsert...Si l'homme bouge, il meurt! Un combat entre soi et soi que Pascal Elbè va devoir mener seul! Un challenge pour l'acteur de "Père et Fils" qui va passer 90% de son temps immobile en essayant de tenir le spectateur en haleine! Comme on le voit, les situations irrèalistes ne manquent pas dans l'environnement le plus inhospitalier qui soit et l'histoire est bancale à bien des ègards! A consommer cul sec...
C'est pas évident de faire ce genre de film car même si l'idée est très simple il faut quand même tenir la distance et garder le spectateur en haleine jusqu'au bout. Ce film m'a fait penser à Buried même si ici on est dans un faux huis clos avec un contraste intéressant avec ce soldat coincé dans un paysage immense. Pour en revenir au film j'ai trouvé ça décevant il n'y pas d'intensité ni de tension, le réalisateur n'arrive pas à créer quelque chose on reste de marbre face à cette situation pas aidé par un Pascal Elbé peu inspiré et qui ne fait passer aucune émotion. Le scénario est trop léger il y a un vrai manque d'idées et de rebondissements ce qui fait que ça tourne en rond puis le final est à l'image du film sans grande inventivité, trop facile et décevant.
Voilà un premier film qui avait tout pour nous mettre en haleine et donner un bon suspens. Une espèce de Buried à ciel ouvert. Si Yannick Saillet a un certain sens de la mise en scène et de l'image, on ne peut pas en dire autant de son scénario. L’histoire se met assez vite en place pour nous faire plonger dans un...
Pour son premier long-métrage, Yannick Saillet et son chef opérateur Raymond Dumas filment de très belles images du désert afghan mais, plus que ses longs plans lumineux, c’est la volonté de tisser tout un scénario autour d’un homme immobile pendant plus d’une heure (exactement comme ça avait été fait dans 127 heures ou Phone Game en fait) qui faisait de Piégé un film audacieux et donc attirant. Au vu du nombre d’auteurs (quatre) derrière l’écriture de cette histoire, on ne peut être que terriblement déçu par son manque d’idées pour maintenir et renouveler la tension (qui ne passe que par le jeu de Pascal Elbe) mais aussi par ses étirements inutiles et la prévisibilité de son évolution, ce dont on ne peut conclure que, même s’il ne dure qu’une heure et quart, le film est trop long pour ce qu’il a à nous offrir.
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18 103 critiques
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1,5
Publiée le 18 octobre 2020
Il est vrai que tous les films sont un fantasme car ils viennent de l'imagination de quelqu'un. Mais même la fantaisie a une sorte de livre de règles. Si Mary Poppins débarque d'un vaisseau spatial vous commencez à vous poser des questions au lieu d'accepter le drame qui se déroule. Lorsque vous commencez à dire à mi-chemin d'un film que c'est impossible et que personne ne peut le faire même si c'est un fantasme alors le film a échoué. Dans Piégé Denis est un soldat français pris au piège dans un désert. Il a mis le pied sur une mine qui est la seule mine à des centaines de kilomètres. S'il bouge il sera explosé. Il se fait tirer dans le bras il n'a pas d'eau. Et pourtant il reste debout un jour et une nuit en prenant soin de son pied pendant un temps. Piégé me rappelle ces vieux westerns quand Tom Mix se fait tirer dessus. Il n'y a pas de sang et pas de douleur. Une bonne photographie sauve un film très mauvais de la cote zéro. Car parfois je me sentais presque aussi piégé que Denis...
Film reconnu d’intérêt culturel, Piégé est une sorte de huit clos en plein désert Afghan. En réalité filmé dans le désert de Ouarzazate au Maroc, ce film est extrêmement particulier dans sa narration, puisque le personnage principal reste immobile tout le long, le pied coincé sur une mine. Sous ses faux airs de film de guerre, ce premier long-métrage de Yannick Saillet est finalement un drame psychologique. Il faut donc s’accrocher. Car malgré le superbe jeu de Pascal Elbé, il ne se passe pas grand chose. Le réalisateur ne fait pas dans la fantaisie et ne se la joue pas Danny Boyle. Sa mise en scène est donc réaliste et sobre et c’est ce qui fait défaut à ce court film qui paraîtra quand même long. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Ayant posé le pied sur une mine à double détente, un soldat français se retrouve bloqué au milieu du désert afghan, sous peine que l'engin explosif se déclenche. Ce type de scénario, centré sur un personnage pris au piège et paralysé, a déjà été bien exploité, via des films tels que "Phone Booth" ou "Buried". La principale différence est que "Piégé" n'est pas un huis-clos. Cela permet à Yannick Saillet de nous livrer de beaux paysages ouverts, contrastants avec l'enfer que vis le protagoniste. Cet environnement alimente également en péripéties l'intrigue du film, assez efficace. Côté acteurs, Pascal Elbé est très convaincant dans le rôle principal, et l'on notera un Laurent Lucas charismatique en second rôle. Le défaut principal du film est sa courte durée (moins de 1h20), qui laisse sur sa faim. Mais cela a le mérite de ne pas laisser de temps mort. Au final, "Piégé" est un bon film d'action, et constitue une originalité dans le paysage cinématographique français.
Et bien j'ai trouvé ça plutôt sympa et bien foutu moi. J'y ai trouvé ce à quoi je m'attendais. Pas déçu donc, la faible durée est aussi en sa faveur, sans être péjoratif du tout. Le film est une réussite de tension et de suspense français. Avec un Laurent Lucas sous exploité ici et au cinéma en général. J'aime
Ce genre de situation est sensé tenir en haleine le spectateur de A à Z, mais dans cet exercice de style, "Piégé" se trouve à la traîne. Bien que la durée du film soit relativement courte (moins d'1h20), il faut sérieusement s'accrocher pour se coltiner la douloureuse prestation de Pascal Elbé... Ajoutez à cela des dialogues et des situations irréalistes (ou bien stupides), et vous obtiendrez un film qui éloigne minute après minute la tension pourtant recherchée par le metteur en scène et souhaitée du spectateur.
1h14 d’incohérences pures, sans déconner, la gonzesse dans le camion a les mains liés à une palette et les pieds détachés ! En 2 jours même pas idée d'enlever le bandeau qu'elle avait sur la tronche et de péter la palette pour aider Elbe. Le film est inutile, aucun suspense, les acteurs sont tout simplement affreux, Elbe est véritablement mauvais, une balle dans le bras mais aller on s'en fout, il n'a jamais mal et c'est comme ça tout le long, au début en voyant la bande annonce j’espérais un genre de Buried mais sur une mine et bien non, rien de crédible, ça filme des pierres, les collines pour combler un film vide.
Un film français techniquement réussi ! Et oui c'est possible, mais ne nous emballons pas non plus, ce métrage qui a donc certaines qualités visuelles n'en reste pas moins ennuyant, ce qui apparait comme un comble pour un film qui dure 1h15 ! L'idée est bonne et accompagnée d'une mise en scène efficace et d'excellents acteurs, ça aurait pu donner quelque chose de très bon à l'image d'un "127 heures" ou dans une moindre mesure d'un "Buried". Seulement voilà, ici l'intérêt n'est jamais vraiment relancé et l'ensemble est loin d'être palpitant, en outre les personnages sont creux, ont des réactions plutôt étranges et surtout ne provoquent aucune empathie. Difficile dans ces conditions d'accrocher pleinement au métrage, on est loin du navet mais encore plus loin du chef d'oeuvre. Peut attendre une sortie TV.
L'idée de base façon "huis clos" en extérieur était pas si mauvaise, mais pour un long métrage, même court de 1h18 ça passe mal car c'est long et ennuyeux .
Tout commence dans un véhicule avec des militaires, ambiance de kéké au rendez vous et surtout bim action qui arrive aussitôt, qui sont les personnages ? On s'en fiche car en dehors de Pascal Elbé on ne s'intéresse quasiment pas aux personnages ce qui les rend insipides et creux au possible, en gros on s'en fout totalement des personnages . Les acteurs ne se foulent pas des masses, la réalisation est correct malgré une photographie qui force trop sur la luminosité par moment .
Le manque de rythme est assassin dans ce type de film, les situations exagérés sont soit grotesques, soit inutiles .
Puis si l'on regarde bien le film tout pouvait se finir en 20 minutes, donc oui piégé aurait du être un court métrage, un court métrage qui aurait été correct, la on est devant un film ambitieux mais qui abuse de son format et rend le tout imbuvable et agaçant . Un film plat, fade et lourd .
Un petit objet cinématographique sans importance, voire très anecdotique. Le personnage joué par Pascal Elbé ne suscite pas de sympathie particulière, les personnages secondaires non plus d'ailleurs. Si bien qu'on se soucie assez peu de leur sort finalement. Beaucoup de remplissages pour un film court heureusement. Ce huis clos désertique est vite tombé dans les oubliettes. Une copie à revoir.
« Piégé » semblait une bonne idée sur le papier. Un soldat isolé en territoire ennemi pose le pied sur une mine. Il ne peut plus bouger sans prendre le risque de la faire exploser. Le voilà immobilisé, seul dans le désert, à la merci de tous les dangers. Intéressant non ? Malheureusement, le réalisateur Français Yannick Saillet se montre peu inspiré et ne parvient pas à insuffler le moindre intérêt à son histoire. Les minutes se suivent et s'étirent interminablement sans qu'il ne se passe rien ou presque. On se désintéresse rapidement de ce pauvre malheureux coincé en plein désert et on fini par s'endormir profondément à ses côtés. En tout cas, c'est ce qui m'est arrivé à moi (héhé). J'ai quand même tenu à regarder la fin (en accéléré) pour constater que la seconde moitié était aussi terne que la première. Dommage, les films Français sur la guerre en Afghanistan sont plutôt rares. Il y avait matière à beaucoup mieux !