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    Deux jours, une nuit
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    Lowrisam
    Lowrisam

    21 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 avril 2021
    À simplifier à l’extrême leur scenario, les frères Dardennes livrent un exercice de style un peut falot. Reste la vulnérabilité de Marion Cotillard qui transperce l’écran.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 950 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 février 2023
    Le récit touchant mais assez artificiel et alourdi par trop de pathos, du combat social d’une femme pour la sauvegarde de son emploi, interprétée par la vibrante Marion Cotillard.
    k21
    k21

    15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2021
    Un film qui montre assez bien certaines facettes sombres du monde professionnel contemporain : égoïsme, coups bas et indifférence.
    Marion Cotillard est très juste dans ce rôle.
    2985
    2985

    248 abonnés 1 034 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 février 2021
    Jean-Marc t'a téléphoner, je voudrais parlé à intel, c'est à peu prés les deux seul phrases que vous entendrez dans ce film pompeux à souhait. Déjà que l'idée de base n'es pas bien crédible les frères Dardenne ne cesse de filmer la même scène en boucle accompagné des même dialogues et de la même approche, ce qui devient très vite redondant. Marion Cotillard en déprimé pleurnicheuse en fait des caisse. Un remake d'un jour sans fin version sociale. Clairement une déception et très surcôté
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 517 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 octobre 2020
    La seule chose que réalise Deux Jours, Une Nuit c'est d'avoir honte de vivre dans ce monde la. Une jolie femme avec un mari aimant et deux beaux enfants risque de perdre son emploi. Cela pourrait mettre sa famille en danger de devoir déménager dans un appartement moins agréable. Mais ne vous inquiétez pas elle n'est pas condamnée. Elle parvient à rassembler toute son énergie et aura le pouvoir de rendre visite à quelques collègues avant lundi matin pour tenter de les faire changer d'avis et rejeter une prime qui lui permettrait de garder son emploi. Nous la suivons au volant d'une belle voiture de classe moyenne se bourrant le visage de pilules et de mini pizzas sur son chemin vers des rencontres pathétiques et prévisibles avec des personnes dépeintes soit comme des égoïstes soit comme des anges luminescents. La quantité d'auto apitoiement léthargique et le drame comme la perte de votre emploi devient presque humoristique. S'il est difficile de prétendre savoir ce qui se passe dans l'esprit des vrais pauvres du monde on ne peut qu'imaginer qu'ils fronceraient au moins les sourcils devant le paysage. Ce film est un appel odieux à la solidarité et un faux appel au nom des personnes déprimées. Il n'y a guère de scène sans surimpression dramatique et c'est déjà ennuyeux que Marion Cotillard remporte de nombreux prix à cause de cela. Le seul prix que ce film mérite malheureusement n'existe pas. Il serait mérité par la seule tentative d'un peu de légèreté (les Gloria qui chantent dans la voiture) qui gagnerait facilement le prix de la scène la plus mauvaise de la décennie. C'est un film réalisé par les Dardenne donc pour moi c'est mauvais et sans intérêt...
    Pierre Delareux
    Pierre Delareux

    27 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2020
    Un scénario peu convaincant (trop de thèmes abordés rendant floue la critique sociale, des clichés lourds voire grotesques), un jeu d'acteur très moyen (Cotillard peine à transmettre les émotions), les plans longs n'apportant rien à la narration. Bref passer votre chemin.
    Diszi
    Diszi

    1 abonné 70 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2020
    J'ai pas vu le temps passé. Mario Cotillard émouvante , elle me transmettait son angoisse ,j'avais les larme aux yeux. La répétition de son engagement à voir ses collègues était à chaque fois un "suspense" mais elle se sentait coupable de sa démarche. Pas de temps morts en 1h 30.Même si "prime" contre "licenciement" peut être discutable on est au coeur de la France ou pour beaucoup les fin de mois sont difficiles en plus des licenciement qui guettent beaucoup d'ouvriers, employés.
    EspritReveur01
    EspritReveur01

    1 abonné 151 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 avril 2020
    Deux Jours, Une Nuit n'est malheureusement pas percutant malgré le message qu'il tente de faire passer. Le rôle de Cotillard est ici sans intérêt et le porte-à-porte qu'elle fait tout le long du film nous permet de voir différents types de psychologies face à une telle situation, n'ayant que trop peu d'impact sur le spectateur, même avec ce choix scénaristique final.
    brianpatrick
    brianpatrick

    83 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 février 2020
    Les films des frères Dardelle reçoivent chaque année tous les prix disponibles sur cette planète. Si quelqu'un créé un festival il va illico offrir sa pépite d'or aux frère Dardelle. Après dans les faits, dans les salles, c'est la surprise générale pour les spectateurs. Là le film, heureusement que Marion Cottillard reste une très grande actrice car sinon le film tombait à une demie étoile. Après voilà, dans une usine, soit les ouvriers reçoivent une prime soit le patron licencie une employée dépressive. Ils votent vendredi et vont voter une seconde fois le lundi. Alors la dame passe tout le weekend à voir ses collègues pour qu'ils changent leurs votes. A la moitié du film quand il en reste huit à visiter, c'est drôlement long. Dans notre petite vie d'ouvriers personne n'a jamais voté pour ce genre de fait, mais bon, les frères Dardelle ne font que du cinéma et soulèvent leurs multiples coupes.
    Uther Zendrest
    Uther Zendrest

    4 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 janvier 2020
    Une salariée rencontres ses collègues pour les convaincre d'abandonner leur prime pour qu'elle puisse rester dans l'entreprise. Le film laisse une grande part aux dialogues guerre passionnant en oubliant totalement le spectateur d'images convenues et mornes.
    Remi S.
    Remi S.

    19 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2020
    Dans une société où la recherche permanente de profit et de rentabilité rythment la vie des populations, la valeur humaine se voit s’effacer dans le symbole de l'argent. Les frères Dardenne, habitués d'un style réaliste et profondément social, nous entraînent dans *Deux jours, une nuit*, un nouveau comte moderne sur les traces d'une femme cherchant à rétablir la solidarité humaine !

    Apres un vote soumis aux employés d'une entreprise de panneau solaire, Sandra (Marion Cotillard) se voit perdre son job contre le choix de la majorité de ses collègues d'obtenir une prime de 1000 euros. Celle-ci décide donc de rétablir un vote plus égalitaire (accusant son patron d'avoir manipulé certains employés), et s'engage au cours de deux jours et d'une nuit, d’inciter ses collègues à voter pour elle et l’empêcher de se retrouver au chômage.

    Jean-Pierre et Luc Dardenne scrute ce personnage de Sandra, de retour d'une sévère dépression, s'engager dans cette difficile épopée. Malgré ce fond estivale, la misère envahit l'écran. Ce n'est pas une misère relativement visible, mais plutôt sous-entendu : lorsque certains employés refusent de voter pour Sandra, ils pensent avant-tout à leurs prime. Une prime qui peut à la fois aider à contrer la difficulté de vivre, mais une prime qui aussi aiderai à financer des choses futiles (meubles, intérieur de maison, ...). C'est ici que ce joue cette question primordiale : Quel est l'état actuel de la solidarité humaine ? Peut-on la changer ?
    Sandra n'est pas seule. Son mari, ses enfants et quelques collègues la soutienne. Mais la peur du futur, de la dépression et de l'inhumanité du patronat donne à Sandra cette sensation angoissante de la solitude. Nous ressentons cette violence intérieur et ce mal-être, dans une représentation de la société qui est complètement la nôtre.

    Entre les refus et les silences volontaires qui assombrissent le récit, certains élans de solidarité éclaircissent ce triste monde. Une sensation de déterrer l'entraide humaine, si longtemps enfoui en dessous d'un sol égoïste. Dans ces moments là, malgré les doutes, les larmes de peuvent que couler et les sourires s'afficher en perspective d'un bel avenir.
    Mais quand cette course de deux jours et une nuit trouve sa fin, et que le jour du nouveau vote approche, les questionnements persistent quant au réel avenir de Sandra. La majorité des employés refusera t'elle sa prime immatérielle, pour favoriser le bien-être et la survie d'un humain ? Inévitablement, quelques personnes changent certes, mais la société et le patronat eux ne bougent pas. Là où la prime sera au final distribuée et que Sandra pourra garder son travail, une autre personne en période déterminée ne verra son contrat se réitérer. **Sandra l'a bien compris, elle ne les comprends plus !** Elle peut repartir à la recherche d'un nouveau travail, mais cette fois-ci avec le sourire aux lèvres. Elle sait maintenant que des gens l'ont aidée, et qu'elle-même à aidée aussi.

    Sans jamais avoir trouvé mon plein-bonheur dans le cinéma des frères Dardenne, *Deux jours, une nuit* s’avère plutôt bien comme une oeuvre intéressante chez les cinéastes belges. Comme toujours, le réalisme et la dénonciation priment. Et ici c'est un visage qui est symbole. Le visage de Sandra incarné merveilleusement bien par Marion Cotillard, désespérément à a recherche d'une dernière lueur d'humanité.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Le message du film, révélé à l'extrême fin, est sympathique et juste. Mais le film est exceptionnellement ennuyeux, bourré de poncifs et les personnages sont désespérément caricaturaux ; en fait, il n'y a que deux typologies parmi une vingtaine de personnages. Quelle pauvreté par rapport à la vraie vie !
    Incertitudes
    Incertitudes

    203 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2019
    Deux jours, une nuit est d'une actualité brûlante. Et m'est avis que ce n'est pas prêt de changer sauf amélioration spectaculaire de l'économie. A une époque où nos hommes politiques (et ce parmi les plus hauts placés bien souvent) identifient le chômeur comme coupable, au lieu du chômage, là c'est l'inverse. C'est une mère de famille qui va se battre pour sauver son emploi qui ne tient plus qu'à un fil. Un fil déjà rompu en fait qu'elle va essayer de recoller le temps d'un week-end en allant demander à ses collègues de renoncer à leur prime. Des collègues avec qui elle a des affinités, à force de les côtoyer tous les jours. C'est souvent ce qui est demandé dans les petites annonces ou pendant les entretiens d'embauche : avoir le fameux esprit d'équipe. Qui part en fumée quand on parle d'argent. La solidarité, quand il ne s'agit que de théorie, ça va. Quand elle implique de refuser mille euros pour réintégrer une salariée, elle n'existe plus. Ou alors, ils se baseront sur ce que décident les autres. Soit ils sont égoïstes, soit ils sont lâches. Après, il y a une réalité sociale à prendre en compte. Mille euros c'est mille euros. Certes, cette ouvrière va se retrouver au chômage mais la situation de ses collègues de travail n'est guère brillante non plus. On peut en vouloir aux plus violents mais pas à ceux ayant déjà le couteau sous la gorge même avec un travail. C'est dur. Ça se passe en Belgique mais c'est ce qu'on connaît tous les jours en France. Pays miné par le chômage de masse, la désindustrialisation, la concurrence venue de Chine laissant sur le bord de la route les plus fragiles, ceux habitant loin des bassins d'emploi qui ne sont plus que des chiffres, des points sur une courbe et que des conseillers vont trimballer de formation en formation, de stage en stage, de CDD en CDD. Et quand on voit le monde de l'entreprise dépeint par les frères Dardenne, on ne peut qu'avoir envie de la fuir. Faites des études, soyez maître de votre destin, créez votre activité seraient les mots d'ordre. Un constat implacable, amer mais juste car il nous touche ou nous a touché dans notre vie personnelle.
    Pierre.L
    Pierre.L

    15 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2019
    La particularité du film qui se déroule en un week-end, du vendredi soir au lundi matin, c'est que nous voyons peu le lieu de travail de Sandra tout en découvrant un à un la plupart de ses collègues, chez eux...Parmi les 16, deux la soutiennent d'emblée, deux semblent clairement la mépriser. Et pour tous les autres que Sandra devra convaincre (comprimés de Xanax aidant...), on mesure bien l'arbitrage délicat entre solidarité plus ou moins manifeste et soucis financiers personnels/familiaux : "Mets toi à ma place", une réplique pouvant légitimement émaner de chaque côté...S'agissant du monde du travail actuel, il est sûrement compliqué de faire des reportages/documentaires (ne serait-ce que pour trouver des personnes acceptant de témoigner...), le cinéma et la fiction inspirés de faits réels ont ainsi un rôle utile à jouer. La façon dont "Deux jours, une nuit" est tourné permet une immersion facile et, chose appréciable, il n y a pas de musique de fond.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 février 2019
    Film très mal joué, je me suis ennuyé pendant tout le film, je ne le conseille pas du tout ! A ÉVITER !
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