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1h30 mortellement emmerdante inouï qu'on puisse écrire ou tourner un film aussi nul!!!!
Il faut vraiment aimer les films creux pour y trouver ou y inventer une interprétation quelconque ou vivre dans le pays des bisounours peut être!!!😝
Il faut vraiment aimer les films creux pour y trouver ou y inventer une interprétation quelconque ou vivre dans le pays des bisounours peut être!!!😝
bsalvert
un sujet très difficile porté avec brio par d'excellents acteurs mais les scènes sont trop répétitives à mon goût, bilan on s'ennuye et on sombre.
PLV : Marion Cotillard est convainquante lors de sa première défense
PLV : Marion Cotillard est convainquante lors de sa première défense
Je ne suis pas un grand fan des frères Dardenne même si je reconnais que ce sont des grands cinéastes. Je ne suis encore moins fan de l'horripilante Edith Piaf mais je dois reconnaître que le film est formidable et ses interprètes à la hauteurs.
Poussif, redondant, réalisation trop épurée. On s'ennuie ferme. Critique complète en cliquant sur le lien
En dessous du niveau des 2 derniers films des frères. C'est en voyant le film que l'on comprend mieux pourquoi il n'a rien obtenu à Cannes cette année !
J'ai rarement vu un film social français avec cette qualité, cette intégrité narrative, (on pense au film américain, 11 hommes en colère), d'emblée rien n'est acquis dans le film et sans le dévoiler, chaque rencontre avec un collègue de travail est une épreuve aussi incertaine que la précédente, pour ne pas perdre son emploi....
Marion Cotillard est bouleversante et rend le réalisme du film poignant, par ses intonations, ses expressions, et sa psychologie très nuancée...
Pour moi , les frères Dardenne se hissent au niveau de Ken Loach et offrent au cinéma de langue française une pépite sociale, où chaque mot est pesé, où la crise sociale et les égoïsmes ou les gestes amicaux sont les reflets impitoyables de l'homme, en tant qu'être social.....
Rien n'est joué comme j'ai cru le lire ici ou là, et la fin est d'une nuance très révélatrice de la notion (presque philosophique) de bonheur.....Des questions essentielles se posent au spectateur, la société n'est au fond qu'une addition d'individus bien individualistes c'est le cas de le dire......
Reflet indubitable d'une époque, d'une société et d'une personne, j'ai vécu un excellent moment de cinéma ou plutôt d'humanité, je conseille......
Marion Cotillard est bouleversante et rend le réalisme du film poignant, par ses intonations, ses expressions, et sa psychologie très nuancée...
Pour moi , les frères Dardenne se hissent au niveau de Ken Loach et offrent au cinéma de langue française une pépite sociale, où chaque mot est pesé, où la crise sociale et les égoïsmes ou les gestes amicaux sont les reflets impitoyables de l'homme, en tant qu'être social.....
Rien n'est joué comme j'ai cru le lire ici ou là, et la fin est d'une nuance très révélatrice de la notion (presque philosophique) de bonheur.....Des questions essentielles se posent au spectateur, la société n'est au fond qu'une addition d'individus bien individualistes c'est le cas de le dire......
Reflet indubitable d'une époque, d'une société et d'une personne, j'ai vécu un excellent moment de cinéma ou plutôt d'humanité, je conseille......
Ce film m'a fait pensé à une chanson de Jacques Martin:
"Je frappe au n°1 / Je d'mande mam'selle Angè-leuh / La concierge me répond : / Mais quel métier fait-elle? / Elle fait des pantalons / Des jupes et des jupons / Et des gilets de flanelle / Elle fait des pantalons / Des jupes et des jupons / Et des bonnets de coton / Ah - ah -ah - ah / Je ne connais pas ce genre de métier / Allez voir à côté" et ainsi de suite... 16 fois!
Ma note est deux fois plus élevée que pour la vie d'Adèle, car il dure 2 fois moins longtemps...
"Je frappe au n°1 / Je d'mande mam'selle Angè-leuh / La concierge me répond : / Mais quel métier fait-elle? / Elle fait des pantalons / Des jupes et des jupons / Et des gilets de flanelle / Elle fait des pantalons / Des jupes et des jupons / Et des bonnets de coton / Ah - ah -ah - ah / Je ne connais pas ce genre de métier / Allez voir à côté" et ainsi de suite... 16 fois!
Ma note est deux fois plus élevée que pour la vie d'Adèle, car il dure 2 fois moins longtemps...
Jean-Marc t'a téléphoner, je voudrais parlé à intel, c'est à peu prés les deux seul phrases que vous entendrez dans ce film pompeux à souhait. Déjà que l'idée de base n'es pas bien crédible les frères Dardenne ne cesse de filmer la même scène en boucle accompagné des même dialogues et de la même approche, ce qui devient très vite redondant. Marion Cotillard en déprimé pleurnicheuse en fait des caisse. Un remake d'un jour sans fin version sociale. Clairement une déception et très surcôté
"Deux jours, une nuit" pose la question de la dignité et de l’influence du regard d’autrui : jusqu’à quelle extrémité peut-on aller pour parvenir à ses fins ? Marion Cotillard, bouleversante, doit rendre visite à tous les collègues de son personnage pour essayer de les convaincre de renoncer à leur prime, dans le but d’empêcher son renvoi. Pour ce faire, Sandra va user de tous les arguments en sa possession, élaborer un discours formaté qu’elle va modifier au gré de la personnalité de ses interlocuteurs. Par conséquent, chaque entrevue est très différente de la précédente et parvient à faire émerger la vérité dissimulée derrière chaque ouvrier. En effet, un simple dialogue, un échange de regard, une décision, un ton dans la voix, chaque détail de chaque rencontre jusqu’au refus même de confronter Sandra, permet de comprendre la personnalité de chacun, savoir quels sont ses difficultés, ses priorités, les valeurs qu’il défend… C’est évidemment très beau, et douloureux dans la mesure où on partage complètement la peine de la jeune femme, jusqu’à éprouver une boule au ventre avant chaque rencontre, se demandant si on va réussir à faire changer d’avis la personne en face de soi. Les Dardenne ont énormément travaillé sur l’empathie, aidant à saisir en un regard la détresse de Sandra, perdue dans la contemplation d’oiseaux et faisant part de son désir d’être parmi eux – la plus belle scène du film ? Quant à la fin, elle répond à la question posée au début : non, il n’y a aucune honte à se battre pour retrouver son emploi, à condition de ne pas causer de tort aux autres. Comment mettre les gens en face de leur vérité pourrait être une activité indigne, alors même que cela peut permettre d’améliorer l’existence de chacun ? Ce n’est humiliant que si l’on ne croit pas en soi et qu’on imagine une supériorité inhérente aux autres, mais il suffit de dépasser ce sentiment pour se rendre compte que seule la solidarité est au-dessus de tout.
Si Marion Cotillard dans son rôle de composition a mis ses escarpins "CHANEL" au placard pour composer un personnage "SANDRA" maladive et déprimée, c'est pour la longue litanie des frères DARDENNE qui martèlent que "le son du capitalisme détruit le tissu social". Doit on générer l'histoire par nos sombres accents misérables ou peut on apprécier la lente descente psychotique et déprimante d'une Marion Cotillard, déclinant son jeu dans les méandres de la multiplication des jeux de scènes, presque tous identiques ? Notre critique sur notre site est en ligne !!!
On tourne en rond, on reprend des scènes et on recommence. Affligeante mise en scène, affligeante actrice qui, d'un film à l'autre, est incapable de de renouveler.
Une fable cruelle sur le renoncement doublée d’une étude documentaire réaliste du monde du travail. Sans fard, la composition de la dépressive Marion Cotillard ne laisse pas indemne mais est contestable néanmoins dans sa crédibilité. La difficulté de Sandra, l’héroïne, réside ici dans la répétition des scènes ou, afin de conserver son emploi, elle doit demander à ses collègues de revoir leur vote. S’ensuit la gestion de la réaction des personnages confrontés à la requête de Sandra, plus ou moins difficile. Petit détail, c’est bien la première fois que le soleil est au rendez-vous dans la réalité cinématographique des frères Dardenne.
Superbe Marion, et bravo aux frères Dardenne, chemin de croix pour l'héroïne !!
Je n'avais jamais "osé" un film des Dardenne. Et puis pour ne pas mourir idiote...je me suis lancée dans ce cinéma dit âpre, sans concessions, "vérité", dérangeant et j'en passe (oui comme ça, on n'a pas envie!).
Aucune regret bien au contraire. J'ai passé haut la main l'examen. Un film juste SUBLIME!!
Tout est effectivement comme je le craignais mais parfaitement maîtrisé, avec du sens, une vérité bouleversante et sincère. L'authenticité que je recherche au cinéma. MERCI!!! Je suis du secteur social avec des cas sociaux comme on dit vulgairement. Et oui c'est cela le quotidien pour beaucoup.1000 euros peuvent changer une vie et pousser à l'immoral même. L'interprétation de Marion Cotillard est époustouflante, dans un rôle pourtant peu affable et sympathique (elle sort d'une dépression et pleure très souvent, molle). Mais c'est cette détresse qui est justement véritablement essentielle dans ce film : elle doit parcourir un chemin semé d'embûches sur un week-end pour se relever...ou pas! Et elle le porte ce rôle une fois encore : digne, épuisée (et épuisante!), forte, désespérée, bouleversée (et bouleversante). Le reste de la distribution est tout autant impeccable, mention à l'époux" de Cotillard, d'une patience et d'un amour qui s'oppose finalement à l'aspect rêche du thème comme de la réal. La direction d'acteur des Dardenne est vraiment sans erreur. Pas de pathos, pas d'erreur dans la direction que prend le film, pas de fioritures (pas de musique, y compris dans les génériques, cadres souvent serrés, étouffants, lumière brute, cadrages en mouvement derrière ou face aux personnages, scènes répétitives qui asphixient le spectateur - on souffre avec elle dans son périple de "mendicité"). Droit au but! Certains au contraire y trouvent du blabla ou du surjeu. Il faut alors adhérer au propos déjà, puis à la manière effectivement de le conter (si seulement cette histoire était un conte! On pourrait en rire alors!). La réalité proposée dans ce film est si frontale qu'elle peut déstabilisée mais il y a un espoir véritable, malgré les coups que l'héroïne (au sens noble) se prend. Ils aiment leurs personnages, leurs failles et forces. Alors certes, c'est sans concessions pour le patronat (il manque plus que l'international chanté!) mais cette démonstration de cynisme est bien là pour montrer le monde pitoyable dans lequel on se débat tous, et pire pour d'autres encore. La scène finale est juste admirable, sans compromis encore, émotionnellement elle emporte tout et ça fait du bien! Un peu de dignité retrouvée, un joli bras d'honneur au capitalisme aussi et merde! C'est du ciné radical et engagé ouvertement, on aime ou on n'aime pas. Pour ma part, j'ai des films en retard à visionner !!
Aucune regret bien au contraire. J'ai passé haut la main l'examen. Un film juste SUBLIME!!
Tout est effectivement comme je le craignais mais parfaitement maîtrisé, avec du sens, une vérité bouleversante et sincère. L'authenticité que je recherche au cinéma. MERCI!!! Je suis du secteur social avec des cas sociaux comme on dit vulgairement. Et oui c'est cela le quotidien pour beaucoup.1000 euros peuvent changer une vie et pousser à l'immoral même. L'interprétation de Marion Cotillard est époustouflante, dans un rôle pourtant peu affable et sympathique (elle sort d'une dépression et pleure très souvent, molle). Mais c'est cette détresse qui est justement véritablement essentielle dans ce film : elle doit parcourir un chemin semé d'embûches sur un week-end pour se relever...ou pas! Et elle le porte ce rôle une fois encore : digne, épuisée (et épuisante!), forte, désespérée, bouleversée (et bouleversante). Le reste de la distribution est tout autant impeccable, mention à l'époux" de Cotillard, d'une patience et d'un amour qui s'oppose finalement à l'aspect rêche du thème comme de la réal. La direction d'acteur des Dardenne est vraiment sans erreur. Pas de pathos, pas d'erreur dans la direction que prend le film, pas de fioritures (pas de musique, y compris dans les génériques, cadres souvent serrés, étouffants, lumière brute, cadrages en mouvement derrière ou face aux personnages, scènes répétitives qui asphixient le spectateur - on souffre avec elle dans son périple de "mendicité"). Droit au but! Certains au contraire y trouvent du blabla ou du surjeu. Il faut alors adhérer au propos déjà, puis à la manière effectivement de le conter (si seulement cette histoire était un conte! On pourrait en rire alors!). La réalité proposée dans ce film est si frontale qu'elle peut déstabilisée mais il y a un espoir véritable, malgré les coups que l'héroïne (au sens noble) se prend. Ils aiment leurs personnages, leurs failles et forces. Alors certes, c'est sans concessions pour le patronat (il manque plus que l'international chanté!) mais cette démonstration de cynisme est bien là pour montrer le monde pitoyable dans lequel on se débat tous, et pire pour d'autres encore. La scène finale est juste admirable, sans compromis encore, émotionnellement elle emporte tout et ça fait du bien! Un peu de dignité retrouvée, un joli bras d'honneur au capitalisme aussi et merde! C'est du ciné radical et engagé ouvertement, on aime ou on n'aime pas. Pour ma part, j'ai des films en retard à visionner !!
Voilà un film qui surprend. 2 jours 1 nuit nous raconte le combat d'une mère de famille revenant de dépression dans son entreprise et qui subira un vote de ses collègues : ou ils acceptent une prime de 1000€ et elle perd son travail ou ils perdent leur prime et elle retrouve son poste. En gros, le genre de combat qui peut arriver à chacun d'entre nous. Et cette réalité fait la force du film. On peut noter la magnifique interprétation de Marion Cotillard qui excelle lorsqu'elle interprète des rôles de femme fragile comme "De rouille et d'os". Tout le film repose sur ses épaules et elle ne fait pas défaut aux frères Dardenne. La fin du film est extrêmement réussi (c'est rare de nos jours).
Bref : comme le montre ce film, la vie impose des choix et des combats. Regarder ce film est un choix que vous ne regretterez pas !
Bref : comme le montre ce film, la vie impose des choix et des combats. Regarder ce film est un choix que vous ne regretterez pas !
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