Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
La Croix
par Arnaud Schwartz
Marion Cotillard, transformée, remarquablement dirigée et pleinement investie dans son rôle, est une expérience bouleversante à vivre. Le cinéma des Dardenne, ancré dans le réel, sobre, économe de ses effets, fuyant toute facilité, atteint ici un degré rare de densité. On ne sort pas de ce film-là, on le garde en soi.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"Deux jours et une nuit" à cocher dans le calendrier de l'histoire moderne du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par La rédaction
Sans les moindres effets spéciaux et avec un budget costumes extrêmement modéré, "Deux jours, une nuit" prend aux tripes avec violence, gifle nos sensibilités cognitives et confère à Sandra le charisme et l’aura d’une Wonder Woman.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
"Deux jours, une nuit", film magnifique des Dardenne.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
par Pierre Murat
On décèle, désormais, chez les Dardenne — parallèlement à l'apparition du soleil dans leurs films —, non pas un goût pour le miracle (le mot les ferait fuir), mais le reflet d'une transcendance possible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Impossible de reconnaître la môme Piaf dans cette femme nature transcendée par deux grands réalisateurs.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Jean Roy
Cela a d'ailleurs toujours été le point fort du cinéma des Frères, cette aptitude à traquer le réel sans jamais dévier (...).
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Les réalisateurs belges signent une histoire puissante, en forme de conte cruel, peuplé de bonnes fées et de Carabosse. Mené comme un thriller sur des individus qui refusent de finir broyés dans le compresseur social, le film offre à Marion Cotillard un rôle qu'elle tient avec intensité. Seul bémol : le choix de dialogues répétitifs (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Entretenant jusqu’à son issue un suspense habile, Deux jours, une nuit déploie ainsi chaque rencontre de Sandra avec ses collègues selon un système de boucles et de répétitions, une horlogerie complexe dont la beauté est de toujours dissimuler ses rouages. Toute la richesse du film tient dans les variations infimes de ces rencontres, qui dessinent au final une sorte d’éventail des comportements humains.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Marilyne Letertre
Entre thriller social et survival movie, leur 9ème film bouleverse sans pathos et transmet un sublime message d'espoir transcendé par une vibrante Marion Cotillard.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
(...) Jean-Pierre et Luc Dardenne ne font aucune concession susceptible d'entraver l'intégrité de leur regard sur le monde, la force intrinsèque de leurs personnages, la chorégraphie humaine qui anime leur mise en scène. Un récit implacable, bâti sur le suspense d'un compte à rebours.
Première
par Christophe Narbonne
Comme tous les films de rupture, "Deux Jours, une nuit", porté par l'interprétation retenue de Marion Cotillard, est une belle promesse de renouvellement. On hâte de voir la suite.
Transfuge
par Louis Séguin
Il y a, dans "Deux jours, une nuit", une façon élégante de laisser poindre la métaphore dans un cinéma qui ne l'admet pas a priori, puisque les frères Dardenne mettent le réel en scène comme ce qui n'a aucun équivalent.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le cinéma - vérité des frères Dardenne (...) prend toujours au tripes, mais sans jamais verser dans l'émotion facile. (...) En rupture de glam, la comédienne nous chavire.
aVoir-aLire.com
par Tristan Gauthie
"Deux jours, une nuit", s’il n’a pas la force désespérée de leurs précédents films, dresse un constat implacable du monde du travail et brosse un magnifique portrait de femme porté par une Marion Cotillard entre ferveur et renoncement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Guillaume Orignac
Vingt ans après leur première palme d’or, les frères Dardenne ouvrent leur nouveau film comme ils refermaient presque leur deuxième : sur le visage d’une jeune femme, abandonnée entre la veille et le sommeil, les traits chiffonnés par la lutte - menée, à venir - contre le monde. C’est que "Deux jours, une nuit" prend des allures de sequel inavouée de "Rosetta", reprenant son personnage pour la replonger dans la bataille sociale.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Marion Cotillard joue juste et confère de la vérité aux situations, notamment dans les scènes familiales. Sous le charme de la comédienne, les Dardenne se perdent dans la contemplation. Ils se sont fait plaisir, mais oublient le spectateur entre deux portes.
Paris Match
par Alain Spira
Pour peindre leur galerie de portraits de travailleurs, les frères Dardenne ont choisi les bonnes teintes, mais les pinceaux qu’ils manient sont un peu gros. Frôlant parfois la caricature, ils évitent, grâce à leur justesse de ton, la transformation de leur toile en croûte.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Le film le plus schématique et le plus caricatural des frères Dardenne.
La Croix
Marion Cotillard, transformée, remarquablement dirigée et pleinement investie dans son rôle, est une expérience bouleversante à vivre. Le cinéma des Dardenne, ancré dans le réel, sobre, économe de ses effets, fuyant toute facilité, atteint ici un degré rare de densité. On ne sort pas de ce film-là, on le garde en soi.
Le Parisien
"Deux jours et une nuit" à cocher dans le calendrier de l'histoire moderne du cinéma.
Libération
Sans les moindres effets spéciaux et avec un budget costumes extrêmement modéré, "Deux jours, une nuit" prend aux tripes avec violence, gifle nos sensibilités cognitives et confère à Sandra le charisme et l’aura d’une Wonder Woman.
Ouest France
"Deux jours, une nuit", film magnifique des Dardenne.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
On décèle, désormais, chez les Dardenne — parallèlement à l'apparition du soleil dans leurs films —, non pas un goût pour le miracle (le mot les ferait fuir), mais le reflet d'une transcendance possible.
20 Minutes
Impossible de reconnaître la môme Piaf dans cette femme nature transcendée par deux grands réalisateurs.
L'Humanité
Cela a d'ailleurs toujours été le point fort du cinéma des Frères, cette aptitude à traquer le réel sans jamais dévier (...).
Le Journal du Dimanche
Les réalisateurs belges signent une histoire puissante, en forme de conte cruel, peuplé de bonnes fées et de Carabosse. Mené comme un thriller sur des individus qui refusent de finir broyés dans le compresseur social, le film offre à Marion Cotillard un rôle qu'elle tient avec intensité. Seul bémol : le choix de dialogues répétitifs (...).
Les Inrockuptibles
Entretenant jusqu’à son issue un suspense habile, Deux jours, une nuit déploie ainsi chaque rencontre de Sandra avec ses collègues selon un système de boucles et de répétitions, une horlogerie complexe dont la beauté est de toujours dissimuler ses rouages. Toute la richesse du film tient dans les variations infimes de ces rencontres, qui dessinent au final une sorte d’éventail des comportements humains.
Metro
Entre thriller social et survival movie, leur 9ème film bouleverse sans pathos et transmet un sublime message d'espoir transcendé par une vibrante Marion Cotillard.
Positif
(...) Jean-Pierre et Luc Dardenne ne font aucune concession susceptible d'entraver l'intégrité de leur regard sur le monde, la force intrinsèque de leurs personnages, la chorégraphie humaine qui anime leur mise en scène. Un récit implacable, bâti sur le suspense d'un compte à rebours.
Première
Comme tous les films de rupture, "Deux Jours, une nuit", porté par l'interprétation retenue de Marion Cotillard, est une belle promesse de renouvellement. On hâte de voir la suite.
Transfuge
Il y a, dans "Deux jours, une nuit", une façon élégante de laisser poindre la métaphore dans un cinéma qui ne l'admet pas a priori, puisque les frères Dardenne mettent le réel en scène comme ce qui n'a aucun équivalent.
Télé 7 Jours
Le cinéma - vérité des frères Dardenne (...) prend toujours au tripes, mais sans jamais verser dans l'émotion facile. (...) En rupture de glam, la comédienne nous chavire.
aVoir-aLire.com
"Deux jours, une nuit", s’il n’a pas la force désespérée de leurs précédents films, dresse un constat implacable du monde du travail et brosse un magnifique portrait de femme porté par une Marion Cotillard entre ferveur et renoncement.
Chronic'art.com
Vingt ans après leur première palme d’or, les frères Dardenne ouvrent leur nouveau film comme ils refermaient presque leur deuxième : sur le visage d’une jeune femme, abandonnée entre la veille et le sommeil, les traits chiffonnés par la lutte - menée, à venir - contre le monde. C’est que "Deux jours, une nuit" prend des allures de sequel inavouée de "Rosetta", reprenant son personnage pour la replonger dans la bataille sociale.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Figaroscope
Marion Cotillard joue juste et confère de la vérité aux situations, notamment dans les scènes familiales. Sous le charme de la comédienne, les Dardenne se perdent dans la contemplation. Ils se sont fait plaisir, mais oublient le spectateur entre deux portes.
Paris Match
Pour peindre leur galerie de portraits de travailleurs, les frères Dardenne ont choisi les bonnes teintes, mais les pinceaux qu’ils manient sont un peu gros. Frôlant parfois la caricature, ils évitent, grâce à leur justesse de ton, la transformation de leur toile en croûte.
Cahiers du Cinéma
Le film le plus schématique et le plus caricatural des frères Dardenne.