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Votre avis sur Les Figures de l'ombre ?
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tifdel13
C’est une merveilleuse histoire vraie que nous conte Les Figures de l’ombre. Dans les années 60, trois femmes d’exception, Katherine Johnson, Mary Jackson et Dorothy Vaughan ont permis aux Etats-Unis d’avancer dans leur conquête spatiale et de rattraper les Russes, un temps en avance.
Instructif et émouvant, Les Figures de l’ombre adapté du livre de Margot Lee Shetterly, dresse le superbe portrait de trois mathématiciennes qui grâce à...
Venez découvrir la suite de cette critique et plein d'autres sur mon site ScreenReview !
Instructif et émouvant, Les Figures de l’ombre adapté du livre de Margot Lee Shetterly, dresse le superbe portrait de trois mathématiciennes qui grâce à...
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PLR
Quelque part entre bien et très bien. Pas tout à fait très bien en raison de la longueur. C'est devenu une manie d'étirer sans que ce ne soit sans doute nécessaire. Mais ça reste une belle histoire, débordante de bons sentiments. Une aventure scientifique quelque peu occultée par une dénonciation de l'inégalité des droits. Pas seulement sur des critères de race. Egalement sur les inégalités entre hommes et femmes. Alors évidemment quand la discrimination s'abat (à fleuret moucheté mais quand même) contre des scientifiques qui quoique brillantes sont des femmes et noires, c'est la totale. Mais heureusement, dans l'Amérique qui en ces années soixante part à la conquête spatiale (pour damer le pion à l'ennemi soviétique), il y a des gentils qui font tout ce qu'ils peuvent pour dépasser ces préjugés sexistes et raciaux. Et tout se termine très bien. C'est le genre. Et c'est américain. Mais aucune raison de bouder son plaisir. Qui est-ce qui n'aime pas les belles histoires ?
SebLefr3nch
Les biopics, Les américains aiment ça mettre en avant des personnalités qui ont marqué leur histoire. Cette fois-ci, ce sont trois femmes qui sont mises à l'honneur, trois femmes qui ont travaillé pour la NASA et ont permis de réaliser des progrès considérables dans la recherche spatiale. De plus elles étaient noires en pleine ségrégation dans les états du sud, ce qui est encore plus marquant. D'un point de vue scénaristique, le film est assez traditionnel. C'est bien rythmé avec des rebondissements bien placés. Rien de bien original. Le plus intéressant, ce sont les parcours de ces trois femmes et la manière dont elles vont changer le regard des blancs sur leurs capacités et leur condition de femme et rien que pour ça, le film vaut le coup. Beaucoup d'humour est intégré dans certaines situations et dialogues grâce à leurs caractères. La réalisation est très classique. Le trio d'actrices principales est excellent. Les acteurs secondaires le sont aussi. On redécouvre Kevin Costner dans un bon rôle. Un bon film qui traite à la fois de la ségrégation et le combat des femmes pour se faire une place dans la société.
Second film de Theodore Melfi, après « Vincent » sorti en 2014 sur Netflix avec l’imminent Bill Murray. « Les figures de l’ombre » est son premier film au cinéma. Hidden Figures, revient sur un sujet fort et historique sur les Etats-Unis. Elle raconte l’histoire vraie de trois femmes exceptionnelles, travaillant à la NASA, dans des domaines bien précis. Seul souci et quel souci, elles sont noires et cette histoire se déroule en 1960. Les Russes ont pris de l’avance sur le programme Américain de quoi rendre furax Kevin Costner. Alors que les U.S.A ne sont guère en avance et pas qu’en matière spatiale. À la NASA, les femmes non malheureusement pas les mêmes postes que les hommes. Aucune n’a de haute responsabilité, si ce n’est une femme de couleur blanche interprétée par Kristen Dunst.
Theodore Melfi réussit sa mission de raconter une histoire, dure mais belle. Il remplit le devoir de mémoire qui lui incombait. On passe un bon moment et on en ressort exalté. Les Figures de l’Ombre délivre un message clair : La différence doit s’effacer devant l’intérêt commun. Quelque soit la race ou le sexe, l’excellence ne devrait jamais rester dans l’obscurité.
l histoire est vraiment instructif ,les 3 actrices excellentes et la reconstitution de l époque semble réelle. mais la réalisation et mise en scène est attentue ,certaines trop prévisible et forçant les bons sentiments
(...) Est-ce que s’intéresser à la science empêche de réfléchir aux questions de société ? Les Figures de l’ombre, pourtant, prétend le faire. Mais de manière si maladroite qu’on finit par ne plus y croire. (...) Jimmy Kimmel s’amusait aux Oscars de ce qu’un individu peut accomplir si on l’empêche d’aller aux toilettes ; la trivialité de son propos a moyennement plu, c’est pourtant bien le travers de ce film qui peine à convaincre tant il dilue l’essentiel dans l’anecdotique, le politique dans le mélo.
VO-Avant-première
Ce biopic consacré à trois femmes ultra intelligente de la NASA dans les années 60, qui luttent contre la ségrégation et le sexisme, ne va pas changer le genre. Les trois actrices jouent très bien, chacune dans leur style propre, ce qui apporte une singularité a leur personnage. Kevin Costner en impose sans plus alors Jim Parsons ne fait pas d'étincelles. Ce film est une diapositive de l'époque, les costumes notamment sont bien rendus, ainsi que des mœurs. On s'aperçoit aussi que des choses restent à faire à notre époque. Ce film s'avère plus être un hommage a la NASA et a IBM qu'à l'intelligence élevée des trois personnages principales qui n'est pas bien retranscrite à l'écran.
Bref, à voir parmi les sélectionnés aux Oscars et parce qu'une piqure de rappel sur l'égalité des droits hommes-femmes, blancs-noirs n'est jamais de trop. C'est aussi un bel appel à ne jamais laissé tomber malgré les obstacles.
Ce biopic consacré à trois femmes ultra intelligente de la NASA dans les années 60, qui luttent contre la ségrégation et le sexisme, ne va pas changer le genre. Les trois actrices jouent très bien, chacune dans leur style propre, ce qui apporte une singularité a leur personnage. Kevin Costner en impose sans plus alors Jim Parsons ne fait pas d'étincelles. Ce film est une diapositive de l'époque, les costumes notamment sont bien rendus, ainsi que des mœurs. On s'aperçoit aussi que des choses restent à faire à notre époque. Ce film s'avère plus être un hommage a la NASA et a IBM qu'à l'intelligence élevée des trois personnages principales qui n'est pas bien retranscrite à l'écran.
Bref, à voir parmi les sélectionnés aux Oscars et parce qu'une piqure de rappel sur l'égalité des droits hommes-femmes, blancs-noirs n'est jamais de trop. C'est aussi un bel appel à ne jamais laissé tomber malgré les obstacles.
Film innovant mettant en lumière la face cachée de la NASA. Ce long-métrage mérite d’être vu tant le sujet traité est intéressant, notamment l’accent mis sur la doctrine « séparés mais égaux » de la Cour Suprême légitimant la ségrégation raciale aux USA. Toutefois, la problématique raciale n’est qu’effleurée (idéologiquement, sociologiquement, politiquement et juridiquement), l’histoire est romancée et le film bascule dans l’héroïsme à outrance, là où toute la sobriété du monde était nécessaire. En somme, un film intéressant de par sa problématique, mais qui ne tient pas toutes ses promesses.
Bonne chronique sur la Nasa et son fonctionnement. On a tendance à se dire que la ségrégation est une affaire ancienne mais pas du tout vu que ce film se déroule en 1962 et en Virginie, état situé à seulement 300 km de Washington ! Très bon casting et bravo à Mahershala Ali vu notamment dans House of cards mais surtout dans Moonlight.
Frédéric M.
Histoire originale et captivante (surtout si vous êtes amateur de la conquête spatiale). Le film est admirablement réalisé et interprété. Touchant, parfois drôle. Une face méconnue de l'histoire derrière John Glenn à découvrir
Merci encore au club 300 de m'avoir permis de découvrir en exclusivité ce film
Merci encore au club 300 de m'avoir permis de découvrir en exclusivité ce film
Le cinéma hollywoodien semble décidé à avoir bonne conscience avec les afro-américains. Ces dernières années, on ne compte plus les essais cinématographiques plus ou moins réussis mettant en valeur une minorité qui prend enfin sa place. Dans le lot, "Les Figures de l'ombre" a beau afficher un classicisme qui ne surprend guère (histoire vraie, tout ça tout ça...), il faut avouer qu'il est agréablement réussi. S'il évite de trop montrer combien la tâche de ces trois scientifiques (femmes et noires !) pour monter les échelons de la NASA fut ardue, il évite assez habilement la complaisance habituelle de ces films à récompenses pointant du doigt le malheur d'un peuple comme s'il voulait nous faire sentir coupables. Ici, le scénario ne s'acharne que sur les points positifs qui font de ces femmes des modèles d'acharnement et de volonté. Elles sont belles, elles sont brillantes et elles furent des pionnières dans leur domaine ! Alors oui, on n'échappe pas aux poncifs du genre, aux moments d'émotions un peu forcés mais très bien joués et on n'est guère surpris par le dénouement. Mais ça fait du bien de voir un tel sujet traité avec la juste distance, tout simplement par envie de raconter une bonne histoire même si elle a ses artifices. Sans être exceptionnel, "Les Figures de l'ombre" remplit donc son office de solide divertissement émotionnel et instructif, levant le voile sur des femmes de l'ombre aux rôle majeurs dans la conquête spatiale. Les trois actrices principales sont d'ailleurs formidables et débordent d'énergie tandis que Kevin Costner se pose en valeur sûre du long-métrage dans un rôle de vieux briscard humaniste qui n'a guère le temps de se poser des questions raciales. On en ressort émus juste ce qu'il faut mais tout de même pas dupes de certaines ficelles un peu grosses. Mission quasiment accomplie néanmoins !
« Les Figures de l’Ombre » est un excellent biopic, disposant d’une histoire qui permet de découvrir le travail irremplaçable et déterminant dans la course de la conquête de l’espace, de trois femmes afro-américaines à la NASA. L’intrigue se focalise sur les conditions difficiles qu’ont rencontrées ces femmes en raison de la ségrégation raciale, doublée du manque d’équité entre les hommes et les femmes. Le travail de Theodore Melfi, le réalisateur, offre un métrage particulièrement engagé du début à la fin, sans négliger l’aspect émotionnel avec une petite touche de romance. Un film qui permet de capter l’attention du cinéaste le plus inopportun. Un film à ne pas manquer.
Un film instructif et exaltant évoquant trois scientifiques géniales mais sous-estimées parce qu'elles sont femmes et afro-américaines. Les années 60 vous avez dit ?
Une critique plus détaillée et d'autres sur
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Reparti bredouille des Oscars, Les figures de l'ombre (Hidden Figures) est un biopic trop académique signé Théodore Melfi, sauvé in extremis par la complémentarité d'un trio qui fonctionne très bien.
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