Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une brillante et désopilante immersion dans l’Amérique intello sur fond de couleurs automnales.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Listen Up Philip" respire un tel amour de la création, de l’écriture et du cinéma, que l’on peut sans honte s’abandonner à son charme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Le film atteint une vibration plus émouvante, celle des romances impossibles et tragiques qui s’accumulent dans la vie du héros.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TF1 News
par Romain Le Vern
Sur le papier, ce troisième film du réalisateur Alex Ross Perry possède tous les atours peu réjouissants de la comédie dépressive arty en noir et blanc calibrée pour Sundance. Evidemment, on a tout faux : c'est super lucide, de mauvaise humeur, remarquablement écrit et interprété - Jason Schwartzman, génial.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Frédéric Strauss
(Le) mélange sophistiqué de tonalités donne un film séduisant et âpre, réflexion à la fois intellectuelle et sensible sur la création et les élans de la vie. Qui ouvrent les chemins de la célébrité, de l'amour. Ou de la grande solitude.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
Philip finit par épuiser dans un même geste sa narration et son spectateur, nous renvoyant un reflet brutal et juste de nos médiocrités sans nous offrir la possibilité cathartique de nous en défaire par le rire.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Julien Gester
Si l’on ne peut lui dénier un brin de grâce, qu’il doit au seul brio, plein d’exultation sous la bile, de ses acteurs (...), "Listen Up Philip" se complaît tant dans l’orchestration des mesquineries et de l’exécrabilité de personnages-pantins gargarisés de leur personne qu’il en omet de voir combien il peut leur ressembler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
Si la mise en scène est adroite, la présence d'un point de vue critique est moins sûre.
Première
par Bernard Archour
Un personnage si puissamment écrit (somptueuse mitraillade de dialogues) et interprété (Jason Schwartzman, sidérant de nuances) que le film ne sait plus trop quoi faire lorsque celui-ci disparaît de l'intrigue, au point de voir son intelligence se retourner contre lui.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Cette comédie de l’ego acerbe s’amuse du nombrilisme de son narrateur, incarné avec jubilation par Jason Schwartzman, délicieusement odieux en pendant sardonique de Woody Allen.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
On peut aimer un héros antipathique, il y en a dans "Maris et Femmes" de Woody Allen, mais Philip ne laisse jamais jaillir de folie comme Woody Allen acteur, ou comme Seymour Cassel dans la scène du salon de "Faces" qui est ici rejouée à blanc. On ne peut pas se reposer sur lui, parce qu’il nous garde à distance admirative.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Jonathan Pryce est le seul atout du film, avec la beauté des actrices. Sinon, pour le reste, l’ennui règne. N’est pas Woody Allen qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Transfuge
par Louis Séguin
Alex Ross Perry n'actualise finalement qu'assez peu les codes du film d'intellectuel new-yorkais.
L'Humanité
Une brillante et désopilante immersion dans l’Amérique intello sur fond de couleurs automnales.
Le Monde
"Listen Up Philip" respire un tel amour de la création, de l’écriture et du cinéma, que l’on peut sans honte s’abandonner à son charme.
Les Inrockuptibles
Le film atteint une vibration plus émouvante, celle des romances impossibles et tragiques qui s’accumulent dans la vie du héros.
TF1 News
Sur le papier, ce troisième film du réalisateur Alex Ross Perry possède tous les atours peu réjouissants de la comédie dépressive arty en noir et blanc calibrée pour Sundance. Evidemment, on a tout faux : c'est super lucide, de mauvaise humeur, remarquablement écrit et interprété - Jason Schwartzman, génial.
Télérama
(Le) mélange sophistiqué de tonalités donne un film séduisant et âpre, réflexion à la fois intellectuelle et sensible sur la création et les élans de la vie. Qui ouvrent les chemins de la célébrité, de l'amour. Ou de la grande solitude.
Culturopoing.com
Philip finit par épuiser dans un même geste sa narration et son spectateur, nous renvoyant un reflet brutal et juste de nos médiocrités sans nous offrir la possibilité cathartique de nous en défaire par le rire.
Libération
Si l’on ne peut lui dénier un brin de grâce, qu’il doit au seul brio, plein d’exultation sous la bile, de ses acteurs (...), "Listen Up Philip" se complaît tant dans l’orchestration des mesquineries et de l’exécrabilité de personnages-pantins gargarisés de leur personne qu’il en omet de voir combien il peut leur ressembler.
Positif
Si la mise en scène est adroite, la présence d'un point de vue critique est moins sûre.
Première
Un personnage si puissamment écrit (somptueuse mitraillade de dialogues) et interprété (Jason Schwartzman, sidérant de nuances) que le film ne sait plus trop quoi faire lorsque celui-ci disparaît de l'intrigue, au point de voir son intelligence se retourner contre lui.
aVoir-aLire.com
Cette comédie de l’ego acerbe s’amuse du nombrilisme de son narrateur, incarné avec jubilation par Jason Schwartzman, délicieusement odieux en pendant sardonique de Woody Allen.
Cahiers du Cinéma
On peut aimer un héros antipathique, il y en a dans "Maris et Femmes" de Woody Allen, mais Philip ne laisse jamais jaillir de folie comme Woody Allen acteur, ou comme Seymour Cassel dans la scène du salon de "Faces" qui est ici rejouée à blanc. On ne peut pas se reposer sur lui, parce qu’il nous garde à distance admirative.
Franceinfo Culture
Jonathan Pryce est le seul atout du film, avec la beauté des actrices. Sinon, pour le reste, l’ennui règne. N’est pas Woody Allen qui veut.
Transfuge
Alex Ross Perry n'actualise finalement qu'assez peu les codes du film d'intellectuel new-yorkais.