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Votre avis sur Chemins croisés ?
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Film romantique très très à l'eau de rose et plein de bons sentiments tout mignon tout choupinou mais qui a quand même quelques qualités.
Sophia, une étudiante talentueuse fait la rencontre de Luke, un jeune bull-rider. Alors qu'ils rentrent d'un pique-nique un soir, ils portent secours à un vieil homme, nommé Ira, pris au piège dans sa voiture en flammes. Sophia récupère une corbeille en osier dans le véhicule et l'apporte à Ira à l’hôpital. A l'intérieur se trouve la correspondance entre le senior et l'amour de sa vie, Ruth. En lisant ces lettres à Ira, Sophia va découvrir une histoire semblable à celle qu'elle vit avec Luke...
La réalisation n'est pas mauvaise mais pas géniale: les prises de vues vont au plus simple, le cadrage est précis, la mise en scène très banale, la profondeur de champ est bonne et les mouvements fluides. C'est pas moche mais c'est plat.
Le scénario se divise en deux parties: la mauvaise, celle qui se passe dans l'époque actuelle (Sofia et Luke), qui n'offre pas grand-chose, très prévisible, assez cliché, avec des incohérences et qui tente d'être trop sentimentale et triste et qui finit par lasser. Et puis il y a la bonne, qui se passe dans les années 1940 (Ira et Ruth), qui est bien mieux construite, plus rythmée, avec des éléments vraiment dramatiques et tristes mais aussi de la légèreté. Cette partie aurait pu faire un film à part entière mais il y a donc cette partie "contemporaine" qui gâche un peu la fête et un climax complètement surréaliste et ridicule (1 chance sur 60 000 que ça arrive).
Les acteurs s'en sortent plutôt bien, rien de merveilleux mais ils sont assez convaincants.
Les personnages ne sont pas très attachants et on arrive trop vite à les cerner, au moins ils ne sont pas insupportables.
Les dialogues sont assez bons.
La photographie est soignée, il y a une lumière et des couleurs très vives (trop peut être) dans la partie Sophia-Luke mais un effet sépia très réussi dans la partie Ira-Ruth.
Le montage est bon, le rythme est agréable.
Les décors sont réussis, les costumes aussi mais la musique trop tire-larmes.
"Chemins croisés" est le drame romantique par excellence avec son lot de niaiseries, mais j'avoue avoir vu bien pire...
Sophia, une étudiante talentueuse fait la rencontre de Luke, un jeune bull-rider. Alors qu'ils rentrent d'un pique-nique un soir, ils portent secours à un vieil homme, nommé Ira, pris au piège dans sa voiture en flammes. Sophia récupère une corbeille en osier dans le véhicule et l'apporte à Ira à l’hôpital. A l'intérieur se trouve la correspondance entre le senior et l'amour de sa vie, Ruth. En lisant ces lettres à Ira, Sophia va découvrir une histoire semblable à celle qu'elle vit avec Luke...
La réalisation n'est pas mauvaise mais pas géniale: les prises de vues vont au plus simple, le cadrage est précis, la mise en scène très banale, la profondeur de champ est bonne et les mouvements fluides. C'est pas moche mais c'est plat.
Le scénario se divise en deux parties: la mauvaise, celle qui se passe dans l'époque actuelle (Sofia et Luke), qui n'offre pas grand-chose, très prévisible, assez cliché, avec des incohérences et qui tente d'être trop sentimentale et triste et qui finit par lasser. Et puis il y a la bonne, qui se passe dans les années 1940 (Ira et Ruth), qui est bien mieux construite, plus rythmée, avec des éléments vraiment dramatiques et tristes mais aussi de la légèreté. Cette partie aurait pu faire un film à part entière mais il y a donc cette partie "contemporaine" qui gâche un peu la fête et un climax complètement surréaliste et ridicule (1 chance sur 60 000 que ça arrive).
Les acteurs s'en sortent plutôt bien, rien de merveilleux mais ils sont assez convaincants.
Les personnages ne sont pas très attachants et on arrive trop vite à les cerner, au moins ils ne sont pas insupportables.
Les dialogues sont assez bons.
La photographie est soignée, il y a une lumière et des couleurs très vives (trop peut être) dans la partie Sophia-Luke mais un effet sépia très réussi dans la partie Ira-Ruth.
Le montage est bon, le rythme est agréable.
Les décors sont réussis, les costumes aussi mais la musique trop tire-larmes.
"Chemins croisés" est le drame romantique par excellence avec son lot de niaiseries, mais j'avoue avoir vu bien pire...
Comédie sentimentale bisounounours, oh la la la c'est mielleux ... allez ça vaut bien 5 étoiles car c'est certe mièvre mais c'est un belle exercice de style. Ah si la vie était ainsi ... mais il est agréable de redécouvrir ô combien l'esprit humain est un grand rêveur.
Très belle actrice imparable ... et pour mister perfect, on le verrait bien en James Bond, ça pourrait le faire.
Très belle actrice imparable ... et pour mister perfect, on le verrait bien en James Bond, ça pourrait le faire.
Clémentine K.
Toujours le même thème avec Nicholas Sparks mais parfois on a bien des surprises. Par contre ici, j'ai senti le temps long jusqu'à être un peu émue par l'histoire. Je trouve aussi un peu flagrant de voir toujours le même genre d'acteurs interpréter les personnages de l'écrivain... Pas le meilleur, certes, mais il se regarde.
Une histoire d'amour assez simple, sans grande originalité mais un duo d'acteurs qui fonctionne bien !
GyzmoCA
Une sublime comédie romantique avec Scoot Eatswood (fils du monstre Clint) et Britt Robertson. On suit des deux histoires d'amour avec 50 ans d'écart, deux histoire qui ont le coup de foudre comme point de départ. Le jeux des acteurs est excellent, la mise en scène sobre et efficace, le tout un très bon film. A voir !
FaRem
Nicholas Sparks aime bien ce rapport passé/présent même si ça ne concerne pas les mêmes personnages comme ici avec l'histoire d'amour de deux couples à deux époques différentes. Mais pour le coup, j'aurais préféré qu'il se concentre uniquement sur une seule histoire, car même si celle d'Ira et Ruth n'est pas inintéressante, elle ne m'a pas vraiment captivé. Alors que c'est tout l'inverse pour celle de Sofia et Luke, j'ai beaucoup aimé l'alchimie qu'il y a entre les acteurs et Britt Robertson est superbe, je l'avais déjà trouvé excellente dans "Ask My Anything". Pour parler plus globalement du film, il ne m'a pas déçu, mais quand on ne se "passionne" que pour une histoire, c'est difficile de rester captivé jusqu'au bout ce qui fait que je suis pas mal ennuyé durant la 2e partie du film en plus, je trouve qu'il n'y a pas un réel aboutissement et le final est trop facile.
L'histoire d'un jeune homme qui fait du rodéo : Il monte sur des taureaux furieux et doit rester sur eux au moins 8 secondes en ne se tenant que d'une main. Il va rencontrer une fille, la romance démarre. Il rencontrent sur la route un vieil homme accidenté de la route qui va leur raconter sa propre histoire d'amour. De la sensualité, du déjà-vu dans la plupart des scènes et dialogues, de l'humour rosâtre... Que du classique romantique à l'eau de rose. Un film destiné davantage à un public féminin. Je reste assez bluffé par Scott Eastwood qui est le parfait reflet de son père, surtout vis-à-vis du regard. Hâte de le voir dans des rôles plus "méchant" !
Jolie petite romance, "film de filles", une histoire touchante. Pour ma part je me suis retrouvée dans les personnages. Belles performances des jeunes acteurs.
Parmi les drames romantiques il y a une sous-catégorie : les drames romantiques tirés des romans sentimentaux de Nicholas Sparks. L'écrivain américain est un habitué des best-sellers et chaque fois que ceux-ci sont adaptés en film c'est également le carton assuré au box-office. L'emblématique "N'oublie jamais" en est l'exemple type. Cette sous-catégorie n'est pourtant pas d'une richesse scénaristique et créative incroyable. En fait, elle fonctionne toujours sur le même squelette narratif : on est dans la Caroline du Nord, on suit les péripéties romantiques de deux jeunes gens blancs et hétéros. L'un d'origine modeste est peu éduqué, voire avec une famille dysfonctionnelle, ou bien, où il manque un parent (c'est d'ailleurs souvent le garçon), l'autre d'un milieu plus aisé, avec une famille idéale, est plus éduqué et se passionne en général pour l'art. Les deux se rencontrent et c'est immédiatement, même s'ils ne se l'avouent pas ou ne le réalisent pas d'emblée, le coup de foudre. Le reste du film s'étire entre musique grandiloquente et péripéties naïves se bornant à les voir lutter contre le destin pour obtenir leur “ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants”... On comprend aisément qu'avec une trame de scénario si consensuelle les films n'aient pas de mal à rameuter les midinettes de tous sexes. On ne va pas jouer les snobs, si vous êtes d'humeur romantique vous passerez un moment assez agréable, d'autant plus que celui scinde son histoire en deux au travers de deux couples dont les histoires voisines se font échos. Le film place, de plus, une des deux histoires dans le cadre des bull-riders, c'est-à-dire des rodéos avec des taureaux ; ce qui offre des images impressionnantes. C'est aussi l'occasion de voir le fils de Clint Eastwood, Scott Eastwood, afficher une plastique de rêve et un certain talent qui ne sont pas sans évoquer son illustre paternel. Les fans de mélos seront aux anges, les autres selon qu'ils supportent plus ou moins bien les histoires mièvres passeront un moment plus ou moins distrayant. À vous de voir.
Le roman d’amour le plus long déballé au cinéma, pour la raison qu’il y est deux histoires parallèles, deux amours à deux époques à intervalles lointaines, les années 40 tiennent beaucoup dans ces intrigues amoureuses.
On préfère cette histoire là, le couple Ira et Ruth Levinson, institutrice d’école peintre artiste, uni dans la vie pour toujours, malgré les regrets, efforts de guerre puis vient la paix, de n’avoir ce qu’ils ont toujours désirés.
C’est touchant comme poésie romantique mélancolie, pas trop mal super extraordinaire, le reste est accompagné de Scott Eastwood dans le miroir de l’amour, avec Britt Robertson, mignonnet sans plus, le rodéo de l’amour pour le bull riding cowboy Eastwood.
Une fabrique de marque célèbre familiarisée, c’était vraiment the longest ride of romantic fiction fortunately happiest ending, doux comme le miel, ne pique et ne brûle la bouche, fondant au palais gustatif légère sensation.
On préfère cette histoire là, le couple Ira et Ruth Levinson, institutrice d’école peintre artiste, uni dans la vie pour toujours, malgré les regrets, efforts de guerre puis vient la paix, de n’avoir ce qu’ils ont toujours désirés.
C’est touchant comme poésie romantique mélancolie, pas trop mal super extraordinaire, le reste est accompagné de Scott Eastwood dans le miroir de l’amour, avec Britt Robertson, mignonnet sans plus, le rodéo de l’amour pour le bull riding cowboy Eastwood.
Une fabrique de marque célèbre familiarisée, c’était vraiment the longest ride of romantic fiction fortunately happiest ending, doux comme le miel, ne pique et ne brûle la bouche, fondant au palais gustatif légère sensation.
Une belle romance, classique, sans surprise mais attachante. 2 histoires similaires que seule l'époque sépare bien mises en image avec de bons acteurs.
Sans être le film de l'année, sans nul doute, il trouvera ses fans. Assez peu de mièvreries mais une fin attendue, peu de surprises mais bon, c'est une romance ! 3/5 !!!
Sans être le film de l'année, sans nul doute, il trouvera ses fans. Assez peu de mièvreries mais une fin attendue, peu de surprises mais bon, c'est une romance ! 3/5 !!!
Audrey L
Un film qui collera à une soirée romantique, sans pour autant être brillant sur le plan technique. Sans cette fin bidonnée et hautement ridicule, Chemins Croisés était un film à la trame inspirée (bien que ouvertement fleur bleue) et qui se regardait facilement. Mais le niveau du jeu d'acteurs est assez bas : Scott Eastwood se contente d'être une couverture de Playgirl Magazine, et Britt Robertson se la joue simplement midinette aux émotions excessives (il n'y a qu'à voir la scène devant l'ordinateur, plus que mal jouée...). Et ce, sans parler des gags faciles, des rebondissements courus d'avance, de la mise en avant d'un sport qui ne fait pourtant pas l'unanimité (je ne comprendrais jamais le plaisir à rendre des animaux complètement maboules et stressés...). Heureusement pour les amateurs (il y en a toujours), des ralentis vous permettront de voir les rodéos sous toutes les coutures. Le film se laisse regarder comme une production commerciale et fleur bleue bien lisse, ce qui plaira sûrement à son public-cible de jeunes misses à la Saint-Valentin (excusez le cliché). Mais la fin est une énormité monstrueuse.
Les livres de Nicholas Sparks, les films tirés de ses romans, sont pour moi, une aventure à travers le temps. L'amour, de deux être, la singularité, et l'unicité de chaque histoire. Chacune d'entres elles me touchent, et plus particulièrement celle-ci. Même, si j'ai notamment beaucoup apprécié un Havre De Paix. Chemins Croisés a sur faire vibrer mon âme et touché mon cœur. Qu'il est bon de rêver, de s'évader. J'espère qu'il vous plaira autant qu'il m'a plu. Et je crois, que vous l'apprécierez tout comme moi.
Film qui part très mal mais qui se termine en symphonie d'émotions ! Comme quoi il fait toujours s'accrocher ! C'est à se demander si c'est le même film que j'ai regardé en début et fin de soirée ? Le début est mièvre, rempli de clichés plus gros les uns que les autres et franchement c'est un peu à vomir puis à l'heure de film tout bascule, le ton change, l'histoire de Ruth se met en place, l'arrivée de Daniel illumine le film et tout devient émouvant (j'ai même versé ma larme deux fois) et la fin est triste et belle et je suis très heureux d'avoir tenu bon et d'avoir vu ce très beau film ! Une vraie belle surprise !
Un film de romance qui met en parallèle deux histoires d'amour à deux époques différentes. Cette superposition se révèle être une véritable réussite et donne beaucoup de relief a l'histoire ! Le film repose en grande partie sur le talent des acteurs principaux et ils se sont mis dans la peau de leur personnage avec brio, tant est qu'on en parvient parfois ému ! Quelques petites longueurs se remarquent de temps a autres mais rien de très gênant. Une très bonne surprise, vous passerez un bon moment si vous êtes un amateur du genre !
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