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JoMik
52 abonnés
275 critiques
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3,5
Publiée le 6 juillet 2019
On est bien en présence d'un toy's story, le visuel est réussi et on a une bonne morale (entraide, respect...). Par contre les échanges ne sont pas toujours à la portée des petits. Certains passages sont excellents, les débuts de la fouchette par exemple, mais ça ne suffit pas à faire un film, qui traîne un peu en longueur et n'apporte rien de nouveau.
➖ Avis bref : Un 4ème film pour la franchise de Toy Story. Nous retrouvons plus ou moins l’ensemble de la bande qui aurons tous à coup sûr au moins une courte apparition. Nous avons même un nouveau style pour la bergère ! Ils y également un bon lot de nouveaux personnages, certains drôles, comme agaçants, mais aussi mignons et presque flippants (les poupées en mode « Chair de poule »). Parmi tous un coup de cœur.. Gabby, une poupée et un personnage bien plus profond qu’il n’y parait, même si trop peu exploité à mon goût. Dès l’introduction, j’ai failli croire que cette suite serait un prequel, mais loin de là, c’est belle est bien une suite. Une suite décevante d’ailleurs, même si sympathique (cela reste du Toy Story). Le troisième faisait tellement une meilleure et plus belle conclusion à mes yeux. Ici, ont gâche un peu tout ça pour au final offrir un nouveau destin aux personnages. Difficile de ne pas rester insensibles à la fin, forcément pour ce dernier (c’est officiel, c’est vraiment le dernier.) ils joueront forcément sur l’émotion jusqu’à la conclusion, même si ce volet ait cassés bons nombres de choses, au sens propre comme figuré... C’est une bonne animation en soi y’a de l’humour et de bons sentiments, jusqu’à toujours renvoyés de beaux messages, mais cela n’en fait pas une suite à la hauteur. Une histoire un chouïa répétitive sur le côté aventure, mais avec une parcelle de nouveautés sur les nouvelles directions et choix envisagés par les personnages. Enfin bref, une petite déception malgré une animation plutôt bonne.
franchement, cette suite tient la route si on ne se pose pas trop de question sur l'apparition de vie chez les jouets XD techniquement c'est une merveille de tout les instants ! trop de persos tuent les persos ! à force de rajouter des jouets à l'équipe à chaque film, maintenant il y en a qu'on voit à peine ! hormis Woody et Buzz, l'équipe de toy story 1 2 ont 10 minutes d'écran à tout casser ! l'histoire est néanmoins pertinente dans l'évolution de Woody et les nouveaux personnages sont biens malgré la voix de Gabby qui est vraiment sans relief :/ enfin bref, restez jusqu'à la toute fin des crédits ! comme dirait Duke Caboom : oohh yeah !
un très bon film drôle,émouvant, plein de surprises. Pas d'histoire d'amour dommage.Des acteurs connus comme tom hanks(la voix de Woody ).Des scènes d'aventures par moment
Pour moi, Toy Story 3 concluait parfaitement la fin de la saga Toy Story et il était impossible de faire mieux. Pour la plupart d'entre vous, Pixar a réussi l'exploit de sortir un 4ème opus qui perpétue parfaitement l'histoire Toy Story. Pour ma part, le pari est raté. Le film est sympathique mais largement dispensable. L'aventure est des plus classiques, les gags beaucoup moins nombreux, de nombreux personnages passent au second voire au troisième plan et le final est loin de valoir la fin parfaite de Toy Story 3. Ce film vient donc entacher la mythique saga ce qui était malheureusement largement prévisible.
Coloré, amusant et touchant. Ce (probable) dernier volet de la série nous emmène dans un voyage d’émotions de découvertes et de plaisir. Disney ne déçoit pas.
La saga "Toy Story" a manifestement encore des choses à raconter. Contrairement à ce que l'on pouvait imaginer, ce quatrième opus se révèle aussi drôle et attendrissant que ses prédécesseurs. Ce n'est pas l'épisode de trop. "Toy Story 4" bénéficie d'une bonne mise en scène et de nouveaux personnages truculents. Il y a encore beaucoup d'émotion et de rebondissement dans cette nouvelle aventure exaltante de nos jouets favoris.
Il y a clairement un air de déjà vu dans les nouvelles aventures de Woody et compagnies. Mais quand on voit l'émerveillement des enfants et adultes à la fin on reconnait les bons films. Du pur Pixar. Vivement le 5.
Comme d’habitude avec Pixar le film est à double lectures. C’est ce qui fait la beauté de ce long métrage d’animation. Les petits y trouveront leur compte et les adultes ressortiront touchés avec des sujets profonds comme l’indépendance, le fait de choisir sa propre voie etc.. je recommande vivement.
Clairement le moins bon des 4 et mes peurs étaient confirmées : c'est l'épisode de trop. Le premier gros défaut est qu'il y a beaucoup trop de personnages (ceux du premier second troisième et dernier opus donc). Le second défaut et non des moindres c'est que ce film est presque un déjà vu, on perd un jouet et on retourne le chercher. Le dernier défaut et non des moindres, c'est qu'il n'y pas vraiment de méchant dans cet opus ! Dans le premier, le méchant était clairement identifié, dans le second aussi et ça se fini mal pour lui. Ici, il n'y a pas vraiment de méchant. Après, les effets sonores et quelques touches d'humours font leur effet et on appréciera forcément un ou plusieurs jouets. Personnellement j'ai adoré le personnage de Duck Caboum. Mais ça s'arrête là. Un film assez bon mais sans plus.
La saga des films « Toy Story » qui a inauguré les films d’animation en images de synthèse il y a maintenant plus de vingt ans semblait s’être conclue avec un troisième épisode de très haute volée tout aussi bien techniquement que sur le versant émotionnel. La conclusion qui voyait Woody et ses amis passer des mains d’Andy devenu grand à la petite Bonnie atteignait des sommets d’émotion et parvenait à notre plus grand étonnement à nous arracher des larmes de crocodile. Certainement la séquence à la plus haute charge émotionnelle de toute l’histoire de l’animation. Lorsqu’un quatrième volet a été annoncé, on a été dubitatifs mais on s’est rapidement dit que le savoir-faire de Pixar allait déjouer nos craintes. Alors si, encore une fois, l’aspect technique est irréprochable (il n’y a qu’à voir le réalisme des décors de la fête foraine ou du magasin d’antiquités, celui du chat ou même de la pluie par exemple pour s’en convaincre), on sera plus réservé sur l’histoire en elle-même et sur la réelle nécessité d’une suite.
Cette fois le scénario prend en considération la notion de consommation, celle de lassitude et celle d’oubli par le biais du personnage de la fourchette en plastique devenue jouet et via tous les jouets en fin de vie délaissés ou jetés aux encombrants. A ce titre, la Bergère et ses sbires deviennent un groupe de résistants au fort potentiel féministe, chose très à la mode en ce moment. Forky est donc un produit recyclable et, en filigrane, on parle donc de gaspillage et d’écologie. Pour le quota humour, ajoutons Ducky et Bunny, deux peluches de fête foraine siamoises impayables. Ce sont ces nouveaux personnages qui font tout le sel (et l’humour) de ce quatrième épisode. On regrette cependant que tous les autres personnages cultes de la saga soient remisés au placard voire de simples figurants (même Buzz dont on ne sait plus trop quoi faire ici et Jessy). Mais il ne pouvait en être autrement, un film d’une heure et demie ne pouvait consacrer du temps à autant de personnages.
De plus la première demi-heure, principalement dans la chambre de Bonnie, n’est pas très convaincante et se traîne en longueur, dans la redite. On se dit vite que c’est la suite de trop. Mais lorsque la petite troupe de jouets part en camping-car et atterrit à la fête foraine et au magasin d’antiquités, le film se fait plus plaisant et drôle, notamment avec les vilains incarnés par Gaby et les pantins. Les péripéties s’enchaînent donc et le morceau de bravoure du sauvetage de Forky est très impressionnant et marrant. C'est toujours aussi inventif et doublé à la qualité exceptionnelle des couleurs, des textures et des rendus, on est finalement conquis même si ce quatrième épisode reste le moins bon de la saga (si on les prend bien sûr chacun à l’année de leur visionnage car le progrès technique évoluant ce serait injuste de les comparer aujourd’hui). En revanche, les tentatives d’émotion sont moins réussies et on préfère vraiment oublier le final pour se rappeler celui, inoubliable, du troisième.
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