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Votre avis sur Toy Story 4 ?
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Après un troisième opus qui concluait à la perfection la franchise, j’étais un peu sceptique à l’idée de retrouver l’univers de « Toy story » pour un quatrième film, la peur de l’épisode de trop. Au final, même si celui-ci n’est pas indispensable et offre une nouvelle conclusion un peu moins forte, ce volet s’en sort quand même avec les honneurs. Il m’a moins touché que son prédécesseur malgré des nouveaux personnages que j’adore (mention spéciale à Fourchette et Duke Caboom) mais j’ai quand même passé un bon moment. A la fois tendre et drôle, je n’ai pas vu le temps passé. Je me suis beaucoup amusé même si son final traîne quelques longueurs avec cette boutique d’antiquités où on reste trop longtemps là où la fête foraine s’avérait pourtant plus riche et moins glauque. L’animation est quant à elle parfaite avec une fluidité et un soin dans les détails qui nous prouve que Pixar n’a rien perdu de sa superbe en passant chez Disney. Un très bon film d’animation qui ravira toute la famille.
Idée scénaristique géniale, profusion de gags, rythme haletant (voire éreintant), tout était réuni pour faire de cette suite un petit chef-d'oeuvre. Mais la mode lamentable du comédien bancable embauché pour faire du doublage et surtout pouvoir poser un nom sur l'affiche a eu raison de cette VF totalement ratée. Si Jp Puymartin et R Darbois assurent leur habituelle performance irréprochable, quelle déception de les entendre entourés non pas de "fourchette", "la bergère" ou "ducky", mais de Pierre Niney, Audrey Fleurot ou Jamel Debbouze, tous trois parfaitement incapables d'interpréter autre chose qu'eux-mêmes.
Je ne suis pas un fan de la saga Toy Story, le 1 est sympa, mais sans plus, le 2 est moyen et ennuyant, et le 3 et pas mal, mais manque d'ambition.
Toy Story 4, est un assez bon film, la réalisation et l'animation du film est très bien, le film est drôle, certains personnages servent à rien, mais on comprend pourquoi ils les ont mis, les musiques sont sympa mais oubliable, le scénario est sympa, mais manque d'originalité,
certains moments évoqué sont oubliés, personnellement le film m'a fais penser à Avengers Endgame.
J'ai passé un meilleur moment devant cet opus que les précédents.
C'est donc je pense pour moi le meilleur de la saga.
Toy Story 4, est un assez bon film, la réalisation et l'animation du film est très bien, le film est drôle, certains personnages servent à rien, mais on comprend pourquoi ils les ont mis, les musiques sont sympa mais oubliable, le scénario est sympa, mais manque d'originalité,
certains moments évoqué sont oubliés, personnellement le film m'a fais penser à Avengers Endgame.
J'ai passé un meilleur moment devant cet opus que les précédents.
C'est donc je pense pour moi le meilleur de la saga.
films qui ne devrais pas exister, certes le films est bon mais ne dois SURTOUT PAS ETRE sur grand-écran. sur Disney+ j'aurais était d'accord. la fin du 3 est parfaite est la un quatrième volet nul. une aventure d'un point A à un point B. l'émotion (qui marche du tonnerre dans le 3) ne ma rien fait. bref un gros fuck au fan de la franchise (donc je suis un peu). a par l'animation et quelque personnages il y a rien. note : 5/20
rêve brisé, enfance détruite
Le film sert juste à détruire nos enfances
Je vous le déconseille si vous voulez garder un bon de souvenir de toy story
sinon à vos risques et péril
ATTENTION il se peut que vous pleurez à la fin
Le film sert juste à détruire nos enfances
Je vous le déconseille si vous voulez garder un bon de souvenir de toy story
sinon à vos risques et péril
ATTENTION il se peut que vous pleurez à la fin
Toy Story 4 est un désastre absolu. Les personnages sont stupides, l’intrigue est creuse, et le film ne mérite même pas d’être considéré comme faisant partie de la franchise Toy Story. C’est un gaspillage total de temps et d’argent.
La saga Toy Story avait réussi le tour de force de nous offrir des suites toujours plus réussie. Ce quatrième opus est-il celui de trop? Si Toy Story 4 reste très bon, les jouets commencent à s'essouffler, il serait bienvenue de ne pas gâcher la série en la prenant pour une poule aux œufs d'or.
Encore un excellent opus qui ne deroge pas aux precedents. La franchise est loin de s'essoufler avec la présence de nouveau personnage. Mention speciale au cascadeur canadien. Il a fallu 9ans pour attendre une suite et c'est reussi.
J'ai verse une petite larme à la fin mais chut !!!!!!
J'ai verse une petite larme à la fin mais chut !!!!!!
gimliamideselfes
Mouais... Je dois dire que pour moi Toy Story aurait dû finir avec le 3, Woody, Buzz et tous les autres détruits dans la décharge. Un final tragique au possible, tout le monde en pleurs, beauté absolue...
Mais la fin du 3 était une fin en soi. Il n'y avait rien besoin de rajouter de plus. Je veux dire on peut toujours inventer des nouvelles aventures, de nouvelles intrigues, mais c'est inutile, au mieux c'est du bonus... mais un bonus inutile. Bref, une fois l'histoire conclue, il faut savoir s'arrêter.
Et là, vous allez me voir venir, ce n'est qu'une itération de plus, une aventure de plus... une aventure que je trouve banale : il faut sauver un jouet pour faire plaisir un enfant... On n'a de cesse de nous le répéter, comme si le film avait peur qu'on ne trouve pas cet enjeu suffisant... C'est pénible. Mais surtout on a déjà vu ça... on ne propose rien de fondamentalement neuf dans l'histoire... En fait la seule originalité c'est l'histoire d'amour entre Woody et la bergère. Il me semble qu'elle avait disparue dans le troisième film et là le film s'ouvre et on comprend pourquoi.
Disons qu'il pourrait y avoir des séquences d'émotions fortes entre Woody et la bergère, mais qu'elles ne fonctionnent que moyennement parce qu'elles ne sont pas assez intimes. Et surtout une séparation comme à la fin de la scène d'introduction n'a pas réellement d'impact si on sait qu'ils vont se retrouver plus tard dans le film (logique elle est sur toutes les affiches...).
Mais revenons sur l'intimité, à la fin du film, on a une séquence d'adieux, mais au lieu qu'elle se fasse dans l'intime du couple ou du duo, elle se fait avec tous les guignols autour et forcément on perd de la saveur. J'ai l'impression qu'ils avaient peur qu'on soit ému et donc il fallait inscrire les adieux dans des péripéties, sans que réellement tout s'arrête et qu'on prenne le temps de faire ça correctement... Comme s'il ne fallait pas que les adieux comptent.
Et vraiment, ces séquences émotions un peu ratées sont à peu près tout ce qu'il y a d'intéressant dans le film. Alors on a bien la méchante, qui ne l'est pas réellement, mais j'avoue la trouver beaucoup trop manipulatrice pour réellement croire en sa rédemption... Disons que sur le papier c'est une bonne idée d'avoir un méchant non manichéen, mais dans l'exécution encore une fois c'est faiblard. Sans compter le fait que c'était assez prévisible.
Mais sinon oui, j'ai souri, comme lorsque le lapin et le poussin font des plans pour récupérer une clé... c'est bien trouvé... Disons que ça propose pendant un instant autre chose que les étapes calibrées que l'on est en train de suivre.
Aussi je suis vraiment déçu que pour un ultime (?) épisode, Buzz fasse limite de la figuration. (bon étant petit j'ai toujours été plus Woody que Buzz, mais quand même) Mais je suppose que c'est le jeu pour avoir quelque chose à raconter, car on a des personnages sur lesquels il n'y a plus rien à dire... alors pour être dans l'air du temps on fait de la bergère une aventurière, on zappe totalement des personnages Buzz, Jesse, et surtout on invente un nouveau leitmotiv à Woody. Mais franchement je ne suis pas convaincu.
En fait, j'en reviens à ce que je disais au départ, c'est un film inutile...
Pas antipathique...
mais inutile...
Mais la fin du 3 était une fin en soi. Il n'y avait rien besoin de rajouter de plus. Je veux dire on peut toujours inventer des nouvelles aventures, de nouvelles intrigues, mais c'est inutile, au mieux c'est du bonus... mais un bonus inutile. Bref, une fois l'histoire conclue, il faut savoir s'arrêter.
Et là, vous allez me voir venir, ce n'est qu'une itération de plus, une aventure de plus... une aventure que je trouve banale : il faut sauver un jouet pour faire plaisir un enfant... On n'a de cesse de nous le répéter, comme si le film avait peur qu'on ne trouve pas cet enjeu suffisant... C'est pénible. Mais surtout on a déjà vu ça... on ne propose rien de fondamentalement neuf dans l'histoire... En fait la seule originalité c'est l'histoire d'amour entre Woody et la bergère. Il me semble qu'elle avait disparue dans le troisième film et là le film s'ouvre et on comprend pourquoi.
Disons qu'il pourrait y avoir des séquences d'émotions fortes entre Woody et la bergère, mais qu'elles ne fonctionnent que moyennement parce qu'elles ne sont pas assez intimes. Et surtout une séparation comme à la fin de la scène d'introduction n'a pas réellement d'impact si on sait qu'ils vont se retrouver plus tard dans le film (logique elle est sur toutes les affiches...).
Mais revenons sur l'intimité, à la fin du film, on a une séquence d'adieux, mais au lieu qu'elle se fasse dans l'intime du couple ou du duo, elle se fait avec tous les guignols autour et forcément on perd de la saveur. J'ai l'impression qu'ils avaient peur qu'on soit ému et donc il fallait inscrire les adieux dans des péripéties, sans que réellement tout s'arrête et qu'on prenne le temps de faire ça correctement... Comme s'il ne fallait pas que les adieux comptent.
Et vraiment, ces séquences émotions un peu ratées sont à peu près tout ce qu'il y a d'intéressant dans le film. Alors on a bien la méchante, qui ne l'est pas réellement, mais j'avoue la trouver beaucoup trop manipulatrice pour réellement croire en sa rédemption... Disons que sur le papier c'est une bonne idée d'avoir un méchant non manichéen, mais dans l'exécution encore une fois c'est faiblard. Sans compter le fait que c'était assez prévisible.
Mais sinon oui, j'ai souri, comme lorsque le lapin et le poussin font des plans pour récupérer une clé... c'est bien trouvé... Disons que ça propose pendant un instant autre chose que les étapes calibrées que l'on est en train de suivre.
Aussi je suis vraiment déçu que pour un ultime (?) épisode, Buzz fasse limite de la figuration. (bon étant petit j'ai toujours été plus Woody que Buzz, mais quand même) Mais je suppose que c'est le jeu pour avoir quelque chose à raconter, car on a des personnages sur lesquels il n'y a plus rien à dire... alors pour être dans l'air du temps on fait de la bergère une aventurière, on zappe totalement des personnages Buzz, Jesse, et surtout on invente un nouveau leitmotiv à Woody. Mais franchement je ne suis pas convaincu.
En fait, j'en reviens à ce que je disais au départ, c'est un film inutile...
Pas antipathique...
mais inutile...
Étonnant pour un volet 4, mais cet opus est aussi bon que les précédents. ..Humour et tendresse sont au rendez-vous pour ce dernier film de la série. Grands et petits y trouveront leur compte.
Toy Story 4 est la suite qu'on n'attendait pas tant la fin du troisième opus était parfaite. Le petit Andy devenu grand léguait ses jouets à une petite fille et perpétuait leur destin lié à l'enfance. Le temps est passé, mais l'histoire continue. Il n'est plus tellement de transmission ici mais plutôt de refus. Le refus du temps qui passe. Le refus que les choses changent. Le refus de la réalité. C'est exactement ce qui arrive à notre cher Woody qui se rend compte que Bonnie n'est pas Wendy. Et l'obstination à fantasmer sa relation de jouet avec cette petite fille, en voulant absolument qu'elle devienne ce qu'elle était avec Andy fait parfois de la peine. Mais pourtant, au fur et à mesure, c'est l'acceptation de la situation qui peu à peu, apparait.
Pour ces jouets doués de conscience, le sens de leur existence est une question parfois omniprésente. Quelle est la vocation d'un jouet. Comme un jouet fabriqué à partir de déchet peut-il tenir son rôle. Ou comment un jouet oublié peut trouver un but. C'est la métaphore assez directe des questions que se posent les humains, à se demander si la vie vaut d'être vécue si l'on n'a pas d'enfant. C'est profond, et certainement pas intelligible pour le jeune public. Mais le double sens chez Pixar est quelque chose qui se savoure. Une fois de plus, la narration est impeccable et techniquement, l'animation est encore plus belle que ce qu'on a pu voir auparavant.
Enfin, l'humour et l'émotion sont encore présents. Ce quatrième opus n'était vraiment pas indispensable et pourtant, il se savoure toujours avec autant de plaisir. Car grandir avec ces personnages est une chose inestimable.
Pour ces jouets doués de conscience, le sens de leur existence est une question parfois omniprésente. Quelle est la vocation d'un jouet. Comme un jouet fabriqué à partir de déchet peut-il tenir son rôle. Ou comment un jouet oublié peut trouver un but. C'est la métaphore assez directe des questions que se posent les humains, à se demander si la vie vaut d'être vécue si l'on n'a pas d'enfant. C'est profond, et certainement pas intelligible pour le jeune public. Mais le double sens chez Pixar est quelque chose qui se savoure. Une fois de plus, la narration est impeccable et techniquement, l'animation est encore plus belle que ce qu'on a pu voir auparavant.
Enfin, l'humour et l'émotion sont encore présents. Ce quatrième opus n'était vraiment pas indispensable et pourtant, il se savoure toujours avec autant de plaisir. Car grandir avec ces personnages est une chose inestimable.
Pour moi, Toy Story 3 concluait parfaitement la fin de la saga Toy Story et il était impossible de faire mieux. Pour la plupart d'entre vous, Pixar a réussi l'exploit de sortir un 4ème opus qui perpétue parfaitement l'histoire Toy Story. Pour ma part, le pari est raté. Le film est sympathique mais largement dispensable. L'aventure est des plus classiques, les gags beaucoup moins nombreux, de nombreux personnages passent au second voire au troisième plan et le final est loin de valoir la fin parfaite de Toy Story 3. Ce film vient donc entacher la mythique saga ce qui était malheureusement largement prévisible.
Woody le cowboy, Buzz le cosmonaute ou encore Rex le dinosaure reviennent dans un quatrième volet inespèrè de la franchise à succès, "Toy Story". Qui a dit que c'ètait l'èpisode de trop ? On croyait que c'ètait la fin en 2010 et puis les Studios Pixar ont eu envie d'y revenir avec une formidable idèe de jouet fabriquè en plastique : Fourchette! C'est donc reparti pour une èpopèe drôle et èmouvante avec de nouveaux personnages hauts en couleur tels que cette Fourchette attachante ou ce cascadeur canadien (et son Jaja) un peu fou! C'est menè à toute allure et l'histoire est finement dosèe et touchante quand il le faut
spoiler:
(cf. la gamine perdue dans la fête foraine)
. Bref, les adultes s'amusent autant que les enfants! Depuis sa crèation en 1995, ce Toy Story 2019 rèussit à garder sa fraîcheur, sa crèativitè et son trait d'humour tout en restant dans la lignèe des prècèdents volets que l'on a vu et revu! Et ça c'est fort surtout quand les codes sont respectès! Clap de fin rèussi en tout cas...
. Bref, les adultes s'amusent autant que les enfants! Depuis sa crèation en 1995, ce Toy Story 2019 rèussit à garder sa fraîcheur, sa crèativitè et son trait d'humour tout en restant dans la lignèe des prècèdents volets que l'on a vu et revu! Et ça c'est fort surtout quand les codes sont respectès! Clap de fin rèussi en tout cas...
Caine78
J'avais déjà été nettement plus mitigé que la très grande majorité concernant le troisième opus : impression confirmée par ce quatrième (et dernier?) volet de la saga consacrée à nos amis jouets. Alors attention : nous sommes quand même chez Pixar, donc niveau animation à la pointe, couleurs, fluidité, difficile de faire mieux, Josh Cooley parvenant un minimum à renouveler l'intrigue pour offrir de nouveaux décors, de nouvelles situations, le tout en faisant un minimum évoluer les personnages, l'aspiration de certains à une liberté retrouvée tout en prenant un virage « féministe » plus subtil que d'habitude étant plutôt sympathique. Mais bon... Sans passer un mauvais moment, que m'a réellement apporté ce « Toy Story 4 », surtout en comparaison des deux brillants premiers du nom ? Certes, c'est bien de s'éloigner de ses modèles, et certains nouveaux personnages savent s'intégrer pleinement dans l'univers (Gabby Gabby, au graphisme proprement impressionnant, Duke Caboom, doublé par un Keanu Reeves en grande forme, je n'en dirais pas autant de Ducky et Bunny, souvent d'une lourdeur presque gênante), j'ai eu du mal à me passionner par ce scénario presque redondant, affadissant considérablement des protagonistes pourtant si drôles à la base, presque aucun second rôle « historique » n'étant présent ici, la palme revenant à un Buzz l'éclair devenu totalement insignifiant : un comble. Du coup, tout en le voyant comme un spectacle bien mené où l'on est heureux de retrouver (certains) des héros ayant bercé notre enfance, je reste assez dubitatif sur la pertinence de ce « numéro quatre » professionnel jusqu'au bout des ongles, mais sans réelle saveur ni idées suffisamment porteuses pour en faire une conclusion digne de nos rêves d'enfant. Déception.
Cinéphiles 44
Sorti en 1996, “Toy Story” s’est vu offrir deux suites à succès en 2000 et 2010. Conclue avec beauté avec la transmission des jouets d’Andy à Bonnie, nous ne nous attendions pas à découvrir un quatrième volet en 2019. L’épisode débute neuf ans en arrière nous expliquant pourquoi Bo Peep la bergère est absente du troisième épisode. Lors du retour au présent, les jouets vont assister au premier jour de Bonnie à la maternelle. Woody sa cache dans son sac d’école pour veiller sur elle. Très imaginative, l’enfant va fabriquer un jouet avec une fourchette en plastique trouvée à la poubelle. Fourchette prend vie et a du mal avec sa nouvelle condition de jouet et tente par tous les moyens de retourner dans les détritus. Très attachée à son nouveau jouet, Bonnie le vivrait très mal s’il disparaissait. Lors d’un séjour en camping car, la joyeuse bande, Fourchette et de nouveaux personnages vont vivre une aventure incroyable teintée d’humour et de nostalgie. Les studios Disney Pixar réussissent leur pari de faire perdurer une belle franchise en développant de nouveaux thèmes comme la transmission et la volonté d’indépendance.
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