Toy Story 4
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644 critiques spectateurs

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Bearnais64
Bearnais64

38 abonnés 778 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 1 janvier 2020
Ces nouvelles aventures de Woody, Buzz et toute la bande commence par résoudre un mystère vieux de Toy Story 3 : où est passé Bergère ? Le film suit bien le troisième volet, plus d'Andy mais bien un nouvel enfant, Bonnie. Ce film suit les tribulations d'un nouveau personnage, Fourchette, que Bonnie a fabriqué à l'école maternelle. Fourchette est prisonnier et Woody va tenter de le libérer aider par son fidèle ami Buzz pendant que les autres jouets menés par Jessie tentent d'occuper la famille de Bonnie. Mais au détour d'un chemin, Woody fait une rencontre inattendue. Durant tout le film, Woody va faire une introspective sur sa vie. Je trouve que ce Toy Story est vraiment plus profond que les autres et peu être un nouveau départ ou une fin parfaite. De nouveaux personnages viennent remplir l'univers des jouets et ils sont très intéressants. Encore un nouveau succès dans l'univers de Toy Story.
Shiwamada
Shiwamada

45 abonnés 556 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 1 février 2020
Encore une fois, Pixar a géré. Réintégrant la Bergère à l'histoire, amenant avec Fourchette un sidekick rigolo (la promotion a peut-être un peu trop été tourné sur lui d'ailleurs, ce qui n'est pas forcément justifié) et présentant avec Gabby une poupée ayant mal tourné, à la recherche d'un enfant qui pourra l'aimer. Gabby n'en est pas pour autant un antagoniste aussi mal intentionné que Sid ou Lotso avant elle. Globalement tous les nouveaux personnages sont rafraîchissants (Ducky, Bunny, Duke Caboom surtout), sauf certainement les acolytes de Gabby qui feront avoir des cauchemars aussi bien aux enfants qu'aux adultes. Et peu importe la génération, ce sera toujours difficile de retenir une larme sur la scène de fin, clôturant une saga qui s'étend sur plus de 20 ans (même s'ils pourront toujours la continuer). C'est une page qui se referme sur ces jouets qui auront forcément marqué de nombreux enfants, la référence restant le 3 à titre personnel.
Wylan
Wylan

20 abonnés 169 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 11 août 2019
Toujours aussi bien Toi Story y'a rien à dire les scénaristes sont vraiment au top on s'en lasse pas je veux un cinquième mesdames messieurs. Génie scénaristes, humour, drame action on a tout dans ce petit bijou signé Disney YES WE CANADA
bobbyfun
bobbyfun

44 abonnés 1 265 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 15 mai 2020
Passé après l'étincelant prédécesseur peut en devenir réducteur. Cependant il suit sa course avec le panache et la finesse qui en découle. Là, où Woody était l'instigateur du groupe, il apparaît ici moins percutant et moins décideur dans les choix du groupe.
Mr.Wallace
Mr.Wallace

16 abonnés 55 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 5 novembre 2019
Dessin animé préféré de mon enfance, ce 4ième opus est sympa mais sans plus rien d'extraordinaire non plus, il n'apporte rien

l'histoire ma plutôt déçu pour ma part l'épisode de trop !

franchement je ne comprend absolument pas les notes, ce dessin animé est largement surcoté ...
Stephenballade
Stephenballade

413 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 8 août 2019
Neuf ans se sont écoulés depuis les dernières aventures de Woody et compagnie. Autant dire que nous n’attendions plus un nouvel opus. Aujourd’hui, "Toy story" quatrième du nom est arrivé pour le plus grand bonheur des fans de la franchise, et il n’est pas dit que ça s’arrête là. Ce qui me fait dire ça, ce sont les scènes incluses dans le générique de fin. Quatre en tout. Les trois premières sont dans la continuité de ce nouveau numéro, tandis que la dernière peut être vue comme annonciatrice d’une suite. Bon nous n’en sommes pas là mais autant ne pas les rater, ce serait dommage. De toute façon, les lumières de la salle ne se rallumeront pas avant qu’elles ne soient toutes passées. J’évoquais quelques lignes plus tôt le bonheur des fans de la saga. Pourtant on pouvait craindre le pire quand on sait que John Lasseter a disparu purement et simplement du projet. Mais les nouveaux scénaristes et le nouveau réalisateur ont su respecter l’idée originale alors vous pouvez être rassurés. Certes le film démarre doucement et directement sur une scène prégénérique dont on se posera des questions sur son utilité si ce n’est de remettre en scène la bergère, absente du troisième épisode. Mais force est de constater que les studios Disney/Pixar ont su s’adapter pour faire repartir la saga, en tout cas au moins pour nous offrir ce "Toy story 4" en tenant compte du temps écoulé. Neuf ans, ce n’est pas rien, et encore moins quand on est gosse car on a vite fait de changer en grandissant. C’est donc en toute logique que la transition d’Andy vers Bonnie se fait le plus naturellement du monde. D’ailleurs, l’histoire se met doucement en place, et c’est justement au moment où on commence à craindre d’être déçus par un rythme assez lent et la présence assez rapprochées de deux chansons que tout s’accélère. Et à partir de ce moment, c’est du pur bonheur : l’action répond présente, mais ce n’est pas tout. Quelque chose d’inquiétant (voire de terrifiant pour les plus petits) a été rajouté par l’intermédiaire des poupées. L’humour est toujours là, mais de façon plus édulcorée. Cependant il est mis en place principalement par l’intermédiaire de Duke Caboom à qui une certaine autodérision a été prêtée. Et puis une belle scène d’émotions a été apportée, la scène où un difficile choix, pour ne pas dire cornélien, doit être fait. Les larmes ne sont pas très loin. Mais c’est une scène au cours de laquelle on sent bien qu’une page est en train de se tourner. Et puis on retrouve aussi la morale, élément cher à la maison Disney : entraide, esprit de cohésion et solidarité en constituent l’essentiel, sans oublier l’importance pour ainsi dire vitale d’un jouet dans la vie d’un enfant et inversement. Après, la qualité d’animation est toujours irréprochable, en particulier dans les expressions des jouets. Mieux, on éprouvera aussi de l’affection envers Fourchette malgré son design horrible. Sans parler même pas du changement d'approche qu'on nous fait opérer auprès de la poupée Gaby Gaby. Et les chansons finalement pas si nombreuses que ça : six au total me semble-t-il, générique de fin compris. Une belle réussite finalement ce "Toy story 4", la (le) première (premier) sans Lasseter. Ce qui constitue, à mon humble avis, une performance car il n’est jamais facile de s’approprier l’œuvre créée par quelqu’un d’autre.
Audrey L
Audrey L

679 abonnés 2 664 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 28 juin 2019
Un vrai retour en enfance, Toy Story 4 signe avec poésie, humour et action un film qui plaira à toute la famille ! Les plus jeunes en auront plein les yeux de voir les jouets prendre vie et adopteront le petit nouveau : Fourchette. Pour les "moins jeunes", on s'étonnera de la justesse et de la sensibilité de ce personnage : doublé avec brio par Pierre Niney (il arrive à nous faire rire avec le seul mot "Poubelle" durant presque dix minutes, du grand génie !), à la fois innocent (il vient de naître et découvre le monde comme un bambin naïf) et attendrissant (il se traite de déchet et cours sans cesse vers une mort affreuse... Oui, ce personnage est pensé avec une maturité incroyable). Il permet surtout de souligner les problèmes existentiels de Woody, qui n'est plus le jouet favori de la petite Bonnie, et ne se remet pas de sa séparation d'avec Andy (l'enfant qu'il a suivi jusque-là, au prix d'un émouvant sacrifice sentimental avec la bergère). Si l'on devait vraiment chipoter, on ne sera pas tous fans des deux peluches "voyous" (le canard et le lapin) qui offrent des gags assez pauvres, dommage. On retient quand même leur "plan d'attaque de la vieille dame" qui est hilarant. De même que le doublage de Gabby la poupée est déprimant. Mais mille et une références sont à grappiller tout au long du film (vous avez reconnu Rosemary's Baby et Shining dans la boutique d'antiquité ? En tout cas, cela fait bien peur...). Et le final est tout ce que l'on attend d'un film "vraiment familial" : une belle morale, sans aucune niaiserie et avec un profond respect pour ses personnages. Fourchette sera pour ma part un véritable coup de génie, pas "Poubelle" !
QuelquesFilms.fr
QuelquesFilms.fr

287 abonnés 1 662 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 15 juillet 2019
Mignon, drôle, toujours inventif. Très bien écrit et orchestré. Intelligent dans le développement de ses thématiques (liberté, loyauté ; savoureuse réflexion "existentielle" sur la condition du jouet). Et joyeusement divertissant. Les cinéphiles y trouveront leur compte aussi en matière de références et de clins d'oeil. Bref, du très bon Pixar, pour tout public.
tisma
tisma

309 abonnés 2 063 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 1 juillet 2019
Vers l'infini, et au delà. Toy Story, la première des créations des studios Pixar revient pour un 4ème opus. Après un 3éme avec une magnifique conclusion, j'avais peur de me retrouver avec un 4ème opus de trop. Il est réussi, mais pas indispensable ! Alors, c'est un Pixar avec tout ces ingrédients : humour, émotions, joie, tristesse, (et un petit peu de peur tout de même, mais ça reste léger). Mais comme dans pratiquement tout les Pixar, la fin est attendue. La conclusion est belle voir même trés émouvante, plutôt douce et mignonne, mais elle nous laisse aussi un léger goût amer qu'on ne retrouvait pas dans la conclusion du 3ème et qui nous laisse un peu une boule sur la gorge. Ça reste tout de même un bon Pixar !
Michael R
Michael R

111 abonnés 1 304 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 24 novembre 2019
Une nouvelle aventure survitaminée en forme de remise en question et baroud d'honneur. Les nouveaux personnages sont excellents, les anciens toujours touchants et ne ratez pas les scènes post génériques, elles sont complètement démentes !
GrandSephiroth
GrandSephiroth

61 abonnés 727 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 16 juillet 2019
Près de dix ans après le retour fracassant de Buzz et Woody dans Toy Story 3, un quatrième épisode voit le jour avec une animation et un propos toujours aussi modernes. Le relais ayant été passé, c’est maintenant chez la petite Bonnie que les jouets ont élu domicile. Et pour la rentrée en maternelle, son inquiétude pousse Woody à se cacher dans son sac pour veiller sur elle. Dans ses activités, elle va fabriquer un objet qui va devenir fondamental pour son estime personnelle : il s’agit de Fourchette, création à partir de plusieurs matériaux que Bonnie va considérer comme un jouet. Mais ne comprenant pas l’importance qu’elle a pour Bonnie, elle ne pense qu’à retourner dans la poubelle d’où elle vient et finit même par s’échapper par la fenêtre lors d’un voyage en camping-car. Woody part alors à sa recherche et veille à ce que Fourchette ne redevienne pas un amas de déchets.

Après la maison de Sid, le magasin de jouets et la garderie, c’est dans un magasin d’antiquités que Woody va se retrouver prisonnier par Gabby Gabby, une poupée des années 1950, et ses quatre pantins aux visages rappelant certaines figures du cinéma d’épouvante ou de séries comme Chair de poule. Son apparence innocente laisse place à un personnage torturé qui a été déposé ici à cause de sa boîte vocale défectueuse. Projetant d’attirer Harmony, la petite-fille de la gérante, elle cherche à s’emparer de la boîte vocale de Woody mais prend Fourchette en otage lorsque ce dernier lui échappe. Le thème de l’attachement est alors notamment mis en avant à travers elle : n’ayant appartenu à aucun enfant, elle se persuade qu’une telle réparation lui permettra de vivre heureuse en quittant la boutique. En parallèle, c’est l’attachement que Bonnie éprouve pour Fourchette qui justifie la trame scénaristique.

Un nouveau Toy Story voit également l’apparition de nouveaux jouets ! Woody commence déjà par retrouver Bo, la bergère qui appartenait à Andy, devenue une femme indépendante et responsable auprès de ses brebis Bi, Bop et Loula. On trouve également le duo de peluches assez comiques sorties tout droit d’une fête foraine, Bunny et Ducky, ce dernier étant doublé par Jamel Debbouze. S’ajoutent à elles Giggle McDimples, une petite policière qui semble admirer le statut de shérif de Woody, ainsi que Duke Caboom, un motard à l’accent québécois particulièrement distingué. Gabby Gabby est quant à elle doublée par la chanteuse belge Angèle, avec une voix innocente parfaitement maîtrisée. Assez peu présentes, les chansons donnent tout de même l’occasion de retrouver le mythique Charlélie Couture pour une nouvelle version de « Je suis ton ami » en début de film.

Particulièrement convaincant, Toy Story 4 apporte un nouveau bol d’air frais aux productions Pixar en proposant une aventure trépidante parsemée d’humour et d’émotions dans une animation de haute volée. Tous unis pour récupérer Fourchette, les jouets font face à une Gabby Gabby implacable spoiler: qui finit néanmoins par être repoussée par Harmony bien qu’elle ait récupéré la boîte vocale de Woody
. Mais étant adoptée spoiler: par une autre petite fille
, elle se rend bien compte que sa valeur n’était pas celle qu’elle croyait. Il est cependant assez dommage qu’elle spoiler: ne reste pas méchante jusqu’au bout
, ou au moins que son background n’ait pas été davantage étoffé. La fin marque une nouvelle rupture scénaristique tandis que Fourchette accepter de retrouver Bonnie spoiler: alors que Woody choisit de rester avec Bo et les jouets abandonnés
sur l’aire de jeux où ils vivent. S’étendant toujours plus loin, la saga Toy Story ne cesse de se renouveler et d’apporter de nouvelles pierres au grand édifice de Pixar.
Fabios Om
Fabios Om

57 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 15 juillet 2019
au debut je me diser Un toys story 4 pourquoi faire la fin du 3 était tellement belle et concluer bien la saga . Le film démarre doucement mais surtout sans vraiment mettre en avant un personnage comme BuzzL'éclair . mais au fil du film buzz prend de l'importance et cela est parfait . Une fin qui conclu la saga de façon à ce que une suite ne soit franchement possible . le scénario parfois grotesque ou surperfu et les nouveau second rôle tenue par des célébrité STOP! mais un retour d'un personnage qui va bouleverser les amie de Bonnie . quelque passage drôle . buzz l'éclair diffèrent et drôle .
NarnoNarno
NarnoNarno

42 abonnés 651 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 20 juillet 2019
Et pourtant, les 30 premières minutes ne rassurent pas sur la conviction que “Toy Story 3“ n’aurait jamais dû avoir de suite, et que le 3ème opus, qui sonnait comme un épilogue magistral et poignant, en était la parfaite et ultime conclusion d’une saga inventive et surtout totalement innovante durant ses 24 dernières années. Ces 30 premières minutes donc, qui trouvent difficilement un rythme et une histoire, et qui surtout, ressassent ce vieux refrain du jouet abandonné vu déjà 3 fois, la même rengaine qui nous avait fait tirer une larme au dernier épisode, avec la promesse que cela ne nous reprendra plus. Alors, comme une longue passation obligée pour nous reconnecter, J.Cooley fait peur par son introduction en ressortant le levain de la vieille recette. Puis, les ingrédients se mélangeant, la méthode Pixar prend enfin son envol: images incroyables, aventures abracadabrantesques, scénario inventif et virevoltant, bourré de détails et de subtilité. La bravoure et les bons sentiments sont toujours bien présents, mais la magie prend le pas sur la miélitude. Ce qui prévaut encore ici, c’est ce casting foisonnant de personnages tous travaillés: que ce soit les nouveaux et hilarantes recrues (Fourchette, l’imparable Duke Caboom, les délires de Ducky & Bunny), voire les flippants (Gabi Gabi et ses pantins) et surtout les indétrônables (Woody & Buzz, mais aussi le retour musclé de la Bergère), la galerie de personnages se joue de malice et d’inventivité. Et son final ne manquera pas de titiller là encore notre canal lacrymal. La roublardise de ce 4ème opus est de faire passer un recyclage comme une série de nouvelles aventures, car le fond et l’essentiel sont toujours là et resservis à profusion. Mais, on ne ressent jamais la redite (même si objectivement elle est bien présente) et on reste encore pris au jeu. Même si l’émotion et la nostalgie mise à mal de l’adulte lorsqu’il visionne un “Toy Story“ sont toujours aussi vivaces ici, on pourra néanmoins regretter que les clins d’oeil, qui étaient toujours et subtilement destinés aux jeunes âmes enfantines qui sommeillent en nous tous, ces références sont moins présentes dans ce 4ème épisode, clairement plus ciblé vers nos chérubins que pour ceux qui les accompagnent. Malgré tout le jubilatoire que nous apporte ce 4ème opus, on espère juste que Pixar conclura définitivement cette saga ici et ne tirera l’élastique plus fort pour qu’il se retourne contre lui-même (mais, au fond, on n'y croit pas une seconde). Ce malin “Toy Story 4“ évite l’écueil de la déception tout en ravivant la flamme, on n’en demandait pas plus.
svetlana r.
svetlana r.

11 abonnés 31 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 1 juillet 2019
Parfait comme toujours . Un excellent moment de détente pour les enfants et pour les adultes. Une histoire drôle.
rogerwaters
rogerwaters

151 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 22 septembre 2019
Certes, les auteurs commencent à sérieusement tirer sur la corde et il serait bon que ce quatrième opus assez inutile soit le dernier. Toutefois, on se laisse une fois de plus piéger par ces histoires bien menées qui mélangent à la fois humour pour petits, réflexions pour les grands, passages trépidants pour les ados en mal d’action et émotion pour tous lors de passages un peu mélodramatiques. Cela sent vraiment la recette cette fois-ci, ce qui fait de ce volet le plus faible de la saga. Pour autant, l’ensemble fonctionne encore bien et l’on passe donc un excellent moment en compagnie de ces jouets trognons.
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